44 : forgiveness

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A N E E K A

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A N E E K A













— Et tu lui as répondu quoi ?



Vicky surexcitée ne tient plus en place sur le siège du métro. Je souris en ramenant ma valise vers moi, pour laisser passer une dame.




—   Je ne lui ai rien répondue.



Elle ouvre grand la bouche, et se prend la tête entre les mains en répétant plusieurs fois mon prénom.



—   Ne me dit pas que tu as fais ça Aneeka ?! Comment il l'a prit ?


—   Il ne l'a pas mal prit, c'est lui même qui m'a dit que je n'avais pas besoin de répondre maintenant, et qu'il m'attendrait. C'est arrivé brusquement Vicky, comment tu voulais que je réagisse ?

—   Parce que tu ne voyais pas tous les signaux qu'il t'envoyait depuis ? Elle fait ennuyée.

—   Quelles signaux dis moi ?

—   Oh, peut-être que lorsque tu as besoin de quelques chose il fait en sorte de se rendre disponible pour te le donner. Ou qu'il te gâte à chaque occasions qu'il trouve, que ça soit en boîte, au restaurant partout. Tu n'as pas remarqué par hasard, qu'il c'est hyper ramollie avec toi madame ? Tout le monde l'a remarqué mais apparemment, tu es la seule aveugle du groupe. Viens, on descend là.


Alors que je continue à penser à ce qu'elle vient de me dire, la sud africaine prend ma valise et mon bras et nous guide vers la sortie après qu'on ait joué un peu des bras, et épaules pour sortir du métro un, remplie de monde. Vicky et Kent  habitent à l'arrêt nommée Franklin D. roosevelt.

Une fois sortie de la bouche de métro, j'insiste auprès de la sud africaine pour qu'on aille dans une boulangerie acheter des viennoiseries et une tarte à la fraise. En arrivant dans la boutique, je salive presque, en regardant les vitrines. Dans un français parfait, elle commande plusieurs viennoiseries et la fameuse tartelette à la fraise qui me faisait de l'œil. Une fois le tout payé, nous commandons deux pizzas et avons à marcher cinq minutes avant d'arriver à son immeuble. Une fois confortablement installées dans son appartement, nous nous posons sur le tapis et mettons en bruit de fond les informations.





— Alors, la vie à Paris ?

— Tout le monde dit que les parisiens ne sont pas agréables, faut juste les comprendre, y'a des problèmes de transport tout le temps, normal que ça influe sur leurs humeurs. Je souris amusée. Mais sinon j'aime trop, j'ai pris mes petites habitudes avec Kent. La petite baguette qu'on achète le matin et le soir, moi aller prendre un verre avec les amis que je me suis fait, Kent rentrer du bar à deux heures du matin, aussi excité qu'une puce, j'adore, mais voir vos grosses têtes ça me manque.


𝐊𝐏𝐒 𝐋𝐈𝐒𝐓 ; 𝘯𝘺𝘤 𝘤𝘪𝘵𝘺 𝘦𝘥𝘪𝘵𝘪𝘰𝘯 Où les histoires vivent. Découvrez maintenant