Sauvez par mon futur amour.

A farewell ?

Jessica Wilson's point of view.

Je viens d'arrivé à la maison, les ouvriers sont censés être ici, quand j'arrive devant effectivement ils sont là.

Moi- Je peux savoir ce qu'il sais passer ?

??- Nous devions travailler dans le jardin mais on a remarqué une fuite à l'intérieur de chez vous.

Moi- Merde !

Je prend les clés que j'ai sur mes clés de voiture et ouvre la porte, effectivement mais c'est une fuite de rien du tout.

Moi- Vous m'avais appeler pour ça ?

Jim- Non, ils n'ont pas appelé pour ça.
Je me fige sur place.

Jim- Content de te revoir.
Il se mets devant moi.

Jim- Toujours aussi belle.
Aller me réparer la fuite, vous préparer les voitures, vas voir les caméras.

Moi- Qu'est-ce que tu fais ici ?
Il s'assoit a table.

Jim- Je viens te chercher.
Tu le sais autant que moi, une fois dans ses griffes personne ni sors.

Moi- Qu'est-ce que tu fais ?

Jim- J'écris une lettre à ton cher Chris.

Moi- Quoi ?

Jim- Ça dois bien être réaliste non ?
Hm.. op, ton téléphone.

Moi- Je l'ai pas sûr moi.
Il me regarde.

Jim- Ah bon ?
Il sors son téléphone.

Jim- Donne ton téléphone ou je t'appelle et je serais si tu me ment.
Je fini par lui donné.

Moi- Pourquoi tu fais ça ? Il est en prison ! Tu crois pas que je vais aller le rejoindre.
Je vois qu'il me regarde et sourit.

Moi- Quoi ?

Jim- C'est Warren, tu sais très bien qu'il est capable de tout.
Ton collier aussi, tu me le donne.

Moi- C'est hors de question.
Je sais qu'il perd patience.

Jim- Regarde moi ça, en direct.
Il sors son téléphone et je vois Chris, Tom et tout le monde.

Moi- Je t'interdis de les approcher.

Jim- Fais ce que je te dis alors.
J'enlève le collier et lui donne.

??- C'est bon, tout est fini. 

Jim- Bien, j'espère que tu as bien profité, retour à la maison.

Moi- Je te suivrais pas.

Jim- Bien sûr que si, Tom.
Je regarde le téléphone.

Jim- J'ai juste à appuyer ici et ta cher petite famille pars en éclat.

Moi- Tu.. m'amènes ou ?

Jim- Je peux rien te dire.
Il sors un bandeau.

Jim- Je te promets que je te ferais pas de mal.

Moi- Comment je peux en être sûr ?
Il souffle.

Jim- Je sais que je suis un abrutis à faire ça mais il me tiens aussi, tu le sais autant que moi, je ne t'ai jamais fais de mal et je t'en ferais jamais.

Moi- Pourquoi tu me mets ça alors ?

Jim- Il veux pas que tu saches t'amènes mais on vas prendre l'avion d'accord.