4-Nuit inimaginable

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Melvin

    Elle s'assit à califourchon sur moi et m'ôta mon t-shirt. J'en fis de même avec sa robe en la jetant et remarquant qu'elle ne portait pas de soutien-gorge. Je regardai sa poitrine avec attention, ma main droite s'empara de son sein gauche tandis que mes lèvres s'amusaient à titiller le droit dont le téton s'était endurci. Elle bascula la tête en arrière et marmonna quelque chose d'incompréhensif.

    Son string prit le même itinéraire que sa robe. Je l'allongeai puis elle écarta les jambes pour me donner un meilleur accès. Un coude posé près de son visage, d'une main, je tins ma verge. Dans cette pièce où la température était élevée, couvert des draps dans cette chambre sombre éclairée par la lune où le désir était à son paroxysme, nous fusionnâmes.

   Un son satisfait s'échappa de ses lèvres, je bougeai lentement pour l'habituer à la forme et à la taille de ma verge.

Moi: T'es tellement serrée putain.

    Elle gémit à nouveau en se mordillant la lèvre inférieure. Plus les secondes passaient et plus j'accélérais tout en continuant de l'embrasser. Ses ongles s'implantaient dans la peau de mon dos y laissant des marques qui je crois ne s'en iront pas de sitôt.

    J'y allais de plus en plus vite, ses jambes se refermèrent sur ma taille nous rapprochant encore plus.

    Sans m'y attendre, elle me fit basculer sans rompre notre étreinte. Elle avait décidé de prendre les choses en main et j'aimais ça, je ne pouvais que la trouver davantage sexy.

    Elle dégagea les mèches de cheveux qui lui brouillaient la vue puis elle plongea son regard dans le mien. Tout doucement, elle commença à onduler des hanches lentement, ses mouvements étaient précis, exquis. Elle ferma les yeux savourant cet échange, sa poitrine ferme et généreuse s'offrit à moi sous tous les angles possibles , mes mains se posèrent sur ses hanches la guidant dans ses mouvements qui me faisaient perdre la tête.

    Je me redressai sans pour autant changer la position dans laquelle elle est, elle croisa ses jambes autour de ma taille tandis que je continuai de mener la danse par des coups de rein plus brusque, plus profond.

Moi:Tu es tellement belle putain.

    Ses gémissements sonnaient comme une douce mélodie à mes oreilles, ses doigts passaient derrière ma nuque et tiraient sur mes cheveux. Je reposai à nouveau mes lèvres sur les siennes qui avaient un goût particulier, me donnant sans cesse l'envie d'y goûter encore et encore.

    Les paroles qu'elle prononçait étaient incompréhensibles mais témoignaient du plaisir qu'elle prenait. Elle passa ses bras autour de mon cou puis se resserra autour de ma verge. Je lui administrai un dernier coup de rein  plus profond que les autres, je me sentis atteindre sa percée.

    Mes couilles relâchèrent tout ce qu'elles retenaient dès l'instant ou j'avais fusionné avec Ariane.

   Dans un son étouffé, elle haletait, elle prononçait mon prénom atteignant l'orgasme. Nos respirations étaient toutes les deux saccadées, elle reprit son souffla puis rompis notre étreinte en s'allongeant sur le lit.

Moi: Tu ferais mieux de dormir. Lui dis-je remarquant l'épuisement et la satisfaction dans son regard.

    Elle opina du chef puis ferma les yeux se laissant guider dans les bras de Morphée.

    Son corps nu s'offrait à moi une seconde fois et là j'avais plus de temps pour la contempler, pour l'admirer. Elle est divine, ses courbes se dessinent parfaitement sur son corps marquant ainsi sa fine silhouette. Sa poitrine monte et redescend au rythme de sa respiration qui est lente et régulière. Mon regard s'attarda sur sa poitrine, précisément sur ses seins. Ils sont de tailles moyennes et ronds ce qui s'unit à merveille avec son frêle corps digne d'une mannequin. Son visage rond caché par quelques mèches de cheveux lui donne une allure d'ange. Je dégageai son visage de sa douce chevelure brune pour prêter attention aux dernières parties de son corps que je n'avais pas pris le temps de détailler. Elle a des lèvres fines et charnues d'un rosé naturel, un fin nez et la courbe de ses yeux est étirée.

     Je me remarquai ma semence toute chaude et encore fraîche dégouliner d'entre ses  cuisses, je pris un mouchoir au chevet du lit et nettoyai les traces de spermes qui se répandaient sur son pubis. Je le jetai dans la poubelle et revins prendre place sur mon lit auprès d'Ariane

    Son visage exprimait l'apaisement, elle devait sûrement faire de beaux rêves. Je fermai les yeux tout aussi épuisé en gardant en tête ce beau visage.

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Mon boss 1&2Où les histoires vivent. Découvrez maintenant