Mon boss 1&2

3- Délicieux préliménaires

Melvin

20 minutes plus tard

Nous avons aussitôt quitté le night-club y laissant nos amis. Ma maison n'était pas loin du night-club, nous montâmes dans la voiture et en 15 minutes nous arrivâmes. Le quartier était calme. Nous nous embrassions dans l'allée en nous dirigeant à l'entrée de la maison. Elle me prit les clés des mains et inséra la bonne dans la serrure en se frottant contre moi.

Dieu qu'elle est bonne.

Elle déverrouilla la porte et retira la clé de la serrure.

Ariane : Vous êtes endurant ?

Moi : Oui répondis-je entre deux baisers.

Elle ouvrit la porte et se détacha de moi en arborant un sourire provocateur. Elle s'approcha de mon oreille et me murmura.

Ariane : Essayes donc de me rattraper.

Elle se mit à courir dans la pièce en gloussant ce qui la ralentissait. Je la suivais dans son délire et lui criais : à droite. Pour atteindre les escaliers menant à l'étage de ma chambre. Je la rattrapai rapidement en enlaçant mes bras autour de ses hanches. Un rire s'échappa de ses lèvres tandis quelle se retourna et me regarda.

Ariane : On passe maintenant aux choses sérieuses ?

Moi : Cest comme si c'était fait.

Je ne sais pas ce qui m'arrivait, ce n'est pas mon genre de parler avec une inconnue, je n'avais jamais connu ça, cette alchimie aussi folle qu'elle soit intense, cette envie irrépressible de connaître cette fille et de la faire mienne, cette envie de faire connaissance avec elle.

Toujours dans notre monde à quelques pas de l'escalier, notre baiser s'intensifiait, ses mains passaient derrière ma nuque ce qui nous rapprochaient un peu plus. Je la soulevai en passant mes mains en dessous de son fessier, je gravis les marches de l'escalier en portant Ariane tout en continuant de l'embrasser, mes lèvres abandonnaient les siennes pour marquer son cou, elle inclina la tête pour que j'ai un meilleur accès à sa peau qui avait une odeur particulière à la fois attirante.

Un gémissement s'échappa de ses lèvres au moment où je mordillai sa peau. Nous arrivâmes à l'étage, la tenant fermement d'une main, je fis pression sur la poignée avec l'autre et ouvris la porte de ma chambre.

Elle descendit et entra dans la pièce la première. Je la plaquai contre la porte et déposai un baiser dans son cou puis un autre sur son épaule dénudée. Je remontai légèrement sa robe et frôlai du bout des doigts son intimité toute humide. Je fis glisser un doigt en elle, elle gémit puis se mordit la lèvre. Sa voix était tremblante, elle était proche de l'orgasme et ne cessait de me demander de continuer, elle se mordait la lèvre pour ne pas que je l'entende.

Moi : Je veux tentendre gémir.

Ariane : Les vois-voisins ils. Elle fut coupée lorsque j'accélérai la cadence de mes doigts. Ils se plain-plaindront.

Moi : Personne ne nous dérangera.

Elle laissa échapper un son qui me satisfit. Elle se retourna pour me faire face, sa poitrine se gonflait dû à sa respiration saccadée, un sourire se dessina sur ses lèvres tandis que je m'en emparai. Sa main prit plaisir à malaxer mes boules ce qui augmentait mon plaisir faisant de plus en plus grandir ma queue qui n'attendait qu'une chose : fusionner avec elle.

L'on marcha dans la pièce en s'embrassant tandis qu'elle jouait avec la boucle de ma ceinture puis elle me poussa sur mon lit.

Ariane : A mon tour de m'occuper de toi. Annonça-t-elle d'une voix sensuelle.

Elle enleva ma ceinture puis mon jeans, elle joua avec l'élastique de mon sous-vêtement et se mit à genoux en le faisant glisser par la même occasion. Ma verge se dressa fièrement, dure et impatiente, elle la regarda attentivement, massa toute la longueur avant d'approcher ses lèvres du gland. Elle encra son regard au mien et déposa un baiser chaud et humide sur le bout puis sur toute la longueur avant de l'engloutir.

Putain !

Elle était précise dans ses gestes, un gémissement m'échappa quand elle tint mes testicules. Elle continua ses vas et vient sur ma verge.

Moi : Je Je vais ve-venir Ariane. Dis-je essoufflé en passant une main sur mon visage.

Elle mit tout en bouche, me lança un regard puis je laissai ma semence remplir sa magnifique bouche. Elle avala tout puis s'essuya le coin des lèvres en se relevant.

Moi : Putain viens ici.

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