The Wilson

prologue

Si quelqu'un m'ose demander ce que je fais ici bah, je ne sais pas.

Je me trouve dans un bureau avec je crois sept hommes en tout.

Ouais sept hommes!

De plus ils me foutent la trouille surtout le plus âgé, je dirai la quarantaine, et les autres la vingtaine.

Peut-être je me trompe, j'en ai aucune putain d'idée.

En plus de ça je ne les connais pas, je sais même pas où je me trouve, cette pièce où je suis est immense, il y a un énorme bureau au milieu avec plusieurs commodes autours avec des document dessus, la pièce était dans les tonds noires, gris, blanc qui ce derniers n'es pas beaucoup présent, derrière on peu voire une vue magnifique à travers des vérandas.

Je ne saurais pas vous dire où je me trouve.

Bon retournons à nos moutons

Flashback de 1 jour avant :

- PUTAIN YA PU A MANGER DANS CETTE BARAQUE DE MERDE , hurlais-je en ouvrant le frigos, qui lui est vide.

A ce moment-là, la porte de la maison s'ouvre sur ma mère avec son sac à la main, elle me regarde est ce marre.

Connasse va.

- Ma Alina chérie, va acheter à manger, je suis presque jamais à la maison, donc la seule coupable c'est toi, me dit t'elle en rigolant ce qui lui vaut un regard noire de ma part, pourquoi tu me regardes comme ça, j'ai rien dit de mal ma puce.

Je croise les bras avant de lui répondre :

- C'est pas toi hier, avec Jonathan qui avait tout bouffé pendant que moi je suis sortie hein, fou toi de ma gueule aussi Sophie, lui dis-je un peu énervée.

- Mais appelle moi maman pas Sophie, et en plus entre toi et moi toi tu n'as pas besoin de manger regarde ce corps que tu as, prend exemple sur moi, dit-elle en tournant sur elle même .

Je garde ma patience mais elle a des limites, j'essaye de ne pas pleurer mais trop tard mes larmes coulent le long de mes joues pour s'échouer au sol.

C'est toujours comme ça avec elle, elle me rabaisse tout le temps, elle me critique tout le temps.

Je me dirige en pleure vers l'entrée je mets mes bottes noires, avec ma doudoune noire elle aussi, je prends mon écharpe Louis Vuitton et mon sac aussi Louis Vuitton et sors de la maison, quand j'ouvre la porte l'air froid me fouet le visage, de plus j'avais qu'un legging avec un sweat shirt.

Comme je n'avais pas de voiture, parce que ma mère me la pris et me la casser, et elle ne veut pas la réparer, je me rappelle qu'elle ma dit :

"Oui mais c'est pas moi, c'est ta voiture qui est nulle, c'est pas de ma faute si elle est cassée... Au est puis je mens fou, c'est pas moi qui la paye de toute façon ..."

C'est ma mère mais elle ne doit pas me parler comme ça, j'encaisse beaucoup de choses mais après j'en ai marre.

Je marche dans cet hiver glacial, il à plutôt donc maintenant tout est gelée. J'ai mis mes écouteurs, c'est vraiment une chose que j'aime faire quand je suis pas bien. Je me dirige vers un endroit calme de la ville, un parc...

Plusieurs souvenirs m'ont renvoyé mais je n'ai pas envie d'y penser, je marche dans les oreilles avec « A Lonely Night » de The Weeknd, toujours jusqu'à la mort de ce chanteur. La musique résonne dans mes oreilles, je commence à la fredonner , cette musique me fait vite redevenir heureuse, c'est la seule chose en plus qui me fait plaisir en ce moment....