Je ne sais pas ça fait combien de temps que je suis là, mais toujours personne ne m'a enlevé ce fichu sac de ma tête. Je ne sais pas si je suis seule ou pas, si je suis dans une pièce, ou en face d'un tueur en gage.
En tout cas, je sens des regards sur moins, même trop. Comme s'ils étaient plusieurs.
Encore de longue minute pour qu'on vienne m'enlever le sac, j'essaye de débattre sans regarder autour de moi, mais je vois mes mains attachées avec une corde, qui celle-ci est bien serrée à m'en couper la circulation du sang.
Je tourne ma tête pour voire où je me trouve, mais je tombe sur deux prunelles ténébreuse de couleur brun. Devant moi se trouve un homme de la quarantaine, une barbe peu grise, cheveux noirs, habillé d'un costume noire ainsi qu'une chemise noire. Les traits de son visage sont croustillants. Après une bonne minute à l'observé, il se racla la gorge et décidé d'enfin parler :
- Je suis désolé que mes hommes t'on pris par surprise et ton enlèvement, a-t-il commencé , mais nous n'avons pas eu le choix.
Je rie jaune, encore heureux qu'il s'excuse, je lui lance un regard noire, avant de dire :
- Vous au moins vous vous excusez mais c'est pas pour ça que vous pardonnez, dit-je sans le lâcher du regard, vous m'avez kidnappé pour je ne sais quelle raison est vous oser vous excuser, et vous me parlez comme si vous me connaissez mais je vais vous expliquer, je ne vous connais pas donc laissez moi partir.... sinon vous regretterez.
Je vois qu'il ne bouge pas, il ne fait rien.
Quelqu'un vient me retirer la corde qui tenait mes mains prisonnière. Je ne quitte toujours pas l'homme des yeux, je ne cherche même pas à savoir qui m'a enlevé cette merde de sur mes poignets.
Il commence à me faire chier.
Je vois qu'il ne bouge toujours pas, donc je cherche mon téléphone dans les poches de mon jean, je l'avais mis dans ma poche avant que ces cons me kidnappent. Mais je ne le trouve pas.
Mais putain il est où se foutu téléphone de merde.
- C'est ça que tu cherches, entendais-je une voix derrière moi que je reconnaissais entre mille. Celle du Connard.
HA. Tu décides maintenant d'ouvrir ta gueule, enfoiré.
Je me retourne pour le regarder, et je vois MON téléphone dans sa main. En plus il me regarde en souriant. Quel connard.
Il n'a pas osé toucher MON TÉLÉPHONE.
Je m'avance vers lui pour le récupérer mais il tend sa main en l'air pour pas que je le récupère. Putain mais il est grand sa mère. Il fait au moins trois têtes de plus que moi. Je dois lui faire pitié. Non, je m'en fous en fait.
-Rend moi mon téléphone, TOUT DE SUITE, prononçais-je à voix haute.
Il ne bouge pas d'un poils, il commence à m'énerver celui la :
- MAIS REND MOI MON TÉLÉPHONE PUTAIN DE MERDE, hurlais-je.
Je lève ma main pour lui mettre une gifle, qu'il mérite terriblement. Mais il me stoppa avant que je puisse toucher sa joue.
- Bon maintenant tu vas te calmer la miss et retourner t'asseoir avant que je te foute une balle dans ton putain de crâne, dit-il la voix plein de rage.
Il ose être énerver alors que c'est lui qui me traite comme une merde.
-Ouais ouais, c'est ça fait voire qu'on rigole, dis-je sarcastiquement.
Il me regarde en souriant avant de diriger sa main libre vers :
Q..Quoi, une arme.
A ce moment la je me crispe et avala difficilement ma salive puis partie sans broncher m'asseoir sur la chaise en face du bureau, avant de me prendre une putain de balle dans ma petite tête qui n'a pas demander de souffrir.

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The Wilson
RomantizmPour une fille banale, avec un passé douloureux, Alina Magazzino supporte sa mère depuis son arrivée dans ce monde douteux. Mais sa vie tourne au désastre, elle se trouvera liée avec l'une des plus grandes mafia du monde. Kidnappée par la mafia ital...