Partie 14

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       Ce sont des genres de romans que j'ai aimé lire.

    Quelques jours plus tard, nous nous sommes rencontrés à l'université, Alicia, Rayanne et moi. Il nous a surprises devant la voiture.

--Rayanne : Oh,les filles comment allez-vous ?

--Moi : Rayanne nous allons très bien espérons que tu vas bien aussi.

--Rayanne : waouh, quelle est belle votre voiture.

--Moi : Rayanne, elle n'est pas la nôtre, c'est juste que nous sommes venues nous arrêter près d'elle seulement.

--Rayanne ::ah, je sais, juste vous taquiner. Je sais que tu viens avec un frère à moto tout temps.

--Alicia : Merci bien de comprendre. 

  Nous avons bien causé, il est parti nous laisser toujours dans la cour. Ce jour nous avons décidé de lui rendre visite chez lui le soir Alicia et moi. J'ai mis la voiture dans un parking et nous sommes parties en taxi. Il avait donné l'adresse à Alicia.  Nous avons connu chez lui sans traîner dans le quartier. Il était surpris de nous voir. Il vivait dans une petite cour bien construite. Ces lui seul qui y habitait. Il nous a donné place. Rapidement, il s'est mis à faire un petit café pour nous,vu qu'il y avait un peu de fraîcheur.

--Rayanne : alors, les filles, vous voyez comment je vis ici, ?? La vie de célibataire n'est vraiment pas facile.

--Alicia : Rayanne, n'exagères pas
Vous les étudiants vous ne voulez pas vous marier, pourtant il y a pleines d'étudiantes à l'université.

--Rayanne :: Alicia, tu sais que ce ne sont pas les jeunes chômeurs comme nous que vous rêvez avoir dans votre vie.

--Alicia : Rayanne, tu te trompes, il y a des exceptions à toutes choses. Il y a celles aussi qui comprennent les choses. Souviens-toi que les riches ne sont pas nées avec des chèques de banque en mains.

--Moi : Rayanne, tu vois que tu as déjà Alicia comme un dossier en cours ?;

--Alicia : Linda, ne confonds pas les choses.

--Rayanne : vous êtes drôles les filles, vous me faites beaucoup rire. J'aime bien des comédiennes comme vous.

     En fin de journée, Alicia était satisfaite de cette causerie. Je l'ai accompagnée chez elle et je suis rentrée toute heureuse.  Ce Rayanne, il occupait beaucoup de place dans mes pensées. Je ne cessais de le regarder et de regarder ses photos qui sont dans mon répertoire.

  Il devait venir faire la connaissance à mes parents pour la première fois mais j'ai préféré que nous nous croisons en ville comme la dernière fois, je pourrai informer mes parents avant qu'il ne vienne. Il m'a encore donner l'adresse d'où je pouvais le trouver. J'ai fait comme d'habitude, j'ai laissé ma voiture de loin et j'ai avancé en marchant.

--Rayanne : bienvenue Linda, aujourd'hui tu n'as pas traîné.

--Moi : merci bien Rayanne, aujourd'hui il n'y a pas eu d'embouteillages.

    Nous avons bien mangé et bu. Il a promis venir faire connaissance avec mes parents dans trois jours. Mon père a plusieurs fois demander à faire connaissance avec lui. Il voulait voir qui était vraiment ce Rayanne qui écrit aussi de merveilleuses histoires. Lorsque j'étais sur le point de partir, il m'a encore tendu des billets d'argent pour mon transport de retour.

--Moi : Rayanne, tu sais que je ne t'ai pas demandé quoi que ce soit, je ne pense pas t'avoir dit aussi que je veux que tu m'aides avec mon transport.

--Rayanne : Oui c'est vrai, tu as raison, mais je connais les situations que tout étudiant traverse en ces moments, alors, prends le s'il te plaît.

--Moi : non, Rayanne, merci. Prochainement je le prendrai, pas aujourd'hui.

--Rayanne : tu m'as bien dit la dernière fois que tu le prendras la prochaine fois.

--Moi ::bref, donnes moi la clé de ta moto et attends moi ici, je vais me chercher quelque chose à l'alimentation et je reviens de suite.

Il m'a remis la clé sans doute. Je lui ai laissé mon sac pour qu'il ne se mette pas d'autres idées dans la tête. Je suis allée à la station service et remplir le réservoir de sa moto avec du carburant. Un réservoir qui était presque vide. À mon retour, je n'avais rien apporté. Mais, tu n'as rien acheté, Linda. Dit-il.

--Moi : oui, au fait je n'ai pas eu ce que je voulais, je la chercherai devant.

Je lui ai remis sa moto et je suis vite partie. Arrivée, en fouillant dans mon sac pour prendre mon téléphone, j'ai trouvé une somme d'argent qu'il avait laissé à mon insu. J'ai poussé un sourire, je pensais l'avoir piégé mais c'est lui qui m'a piégée. 

   Une heure plus tard, j'ai vu son message<< Salut Linda, tu es bien rentrée ? Merci bien pour le carburant mais tu ne devrais pas faire autant. Tu sais, tu es une fille, et nous n'avons pas les mêmes conditions. Néanmoins je manque de mots pour te dire merci. >>

       Le lendemain matin, nous nous sommes croisés encore à l'université, c'était pour une grève et tous les étudiants étaient concernés. Nous devons tous être présents pour que la grève soit de taille et que notre message soit pris au sérieux.

La fille du ministreOù les histoires vivent. Découvrez maintenant