partie 35

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   Un mois passé, tout allait bien. Ma mère n'avait pas voulu que je fasse un pareil travail, mais elle n'y pouvait rien car j'avais déjà fait mon choix. En dehors du salaire, c'était un privilège pour moi de collaborer avec de nombreuses personnes. Je vivais libre comme je l'ai toujours voulu au vivant de mon père.

      Je suis arrivée au bureau toute joyeuse. Je souriais toute seule devant mon ordinateur. Personne ne pouvait imaginer ma joie. Mon malheur est que mon père n'a pas eux la chance de me voir dans mon service. Lui qui pensait toujours que le bonheur se limitait au profil de la fortune de ses parents.  J'ai découvert maintenant le visage de la vie réelle. J'ai perdu mon père à cause de mes bêtises en amour. J'étais aussi loin dans mon imagination, quelqu'un frapa à ma porte, c'était Rayanne.

--Moi : Bonjour Directeur comment allez-vous ?

--Rayanne : Bonjour Linda, tu vas bien ?

--Moi : Je vais très bien merci. Qu'est-ce je puisse faire pour vous ?

--Rayanne : Linda, arrêtes, je n'aime pas ces goguenardises. Tu connais bien mon nom. Bref, je fais le tour des bureaux pour vous dire bonjour.

--Moi : Très bien, alors prends place, mon café de la pause est prête.

--Rayanne : Je voudrais bien mais je dois passer dans trois bureaux. Je reviens après avoir fini. J'oubliais, le Président m'a dit que toi et moi nous travaillons sur un même document.

--Moi : Oh, comme tu es là, j'ai travaillé sur ça hier j'espère.

--Rayanne : Vraiment ? Tu l'as déjà commencé ? Puis-je le voir ?

--Moi : Oui le voici, et j'ai remarqué que nous ne sommes pas la seule compagnie qui travaille sur ce projet.

--Rayanne : Mais, ça c'est la norme.

--Moi : Tu penses vraiment ?

--Rayanne : Oui.

--Moi : N'oublies pas que nous ne sommes pas les  seuls qui travaillons sur ça en Afrique de l'ouest, il y a aussi une société au Ghana et une au Mali, et toutes travaillent sur le même projet.

--Rayanne : Je ne te comprends pas Linda.

--Moi : Tu peux aller sur ton site web, tu verras la liste des compagnies qui sont retenues.

--Rayanne : Donc elles nous ont toutes battu ?

--Moi : Non, étonnant, nous sommes toujours retenus.

--Rayanne : J'aurais besoin de voir le président, je veux dire si nous sommes ceux qui sont en charge de leur marketing et leur distribution en Afrique de l'ouest, alors nous sommes bien positionnés pour ça.

--Moi : C'est ce que je m'étais dit.

--Rayanne : Il faut que je vois le président, je pense que nous devons rentrer avec ça à la maison, travailler dessus et revenir avec demain pour en discuter.

--Moi : Je pense bien aussi.

--Rayanne :: OK, alors passes une belle journée.

--Moi : Merci bien jeune homme. J'ai pris mon temps à le regarder sortir. Ce jeune,il m'étonne vraiment.

    Je suis arrivée à la maison, Alicia m'attendais sur la terrasse.

--Moi : Alicia, depuis quand tu es arrivée ?

--Alicia : Je suis là il y a à peine une heure. Je suis passé de l'autre côté ta mère m'a dit que tu as déménagé ici depuis avant hier.

--Moi : Et alors, pourquoi tu ne m'as pas appelée pour passer prendre la clé ?

--Alicia : Linda, ça n'a pas de sens, tu es déjà là c'est bon. Entrons s'il te plaît, je suis un peu fatiguée.

  Je me suis jetée sur les fauteuils très fatiguée.

--Alicia : Tu es un peu fatiguée Linda, un massage te fera vraiment du bien.

--Moi : Alicia, ne m'excites pas, qui va me le faire ? Vas vite m'apporter un verre de jus s'il te plaît.

--Alicia : Je veux dire, Rayanne peut le faire pour toi 😁

--Moi : Tu sais, Rayanne c'est le genre d'amis que toute personne doit avoir. Je veux dire, je ne saurais pas le sens du bonheur s'il n'était pas dans ma vie.

--Alicia : Vive l'amour.

--Moi : Alicia s'il te plaît, j'ai besoin de me reposer un peu, je dois repartir au service ce soir.

--Alicia : Parlons de Rayanne, je sais qu'il est en route.
    

Brusquement il arriva. Salut les filles, dit-il.

--Moi : Rayanne bonne arrivée.

--Rayanne : Alicia, pourquoi vous avez l'air triste.

  --Alicia : Ce n'est rien, juste la faim qui bât sa campagne.

--Rayanne : Bien, ça c'est entre vous les filles. Alicia, excuses nous juste quelques instants. Linda, j'ai besoin de toi, suis moi j'ai quelque chose à te dire.

   Il m'emmena dans la chambre puis.........................

La fille du ministreOù les histoires vivent. Découvrez maintenant