No more feelings, no more love [ PLK ]

Chapitre 48 - Pute

Je comptais bien le pousser à bout alors je continua de surenchérir :

- Ohh, mon pauvre petit coeur c'est vrai que je te fais vivre un enfer

Il ne pu s'empêcher de rire.

Alors je répliqua :

- Je croyais que c'était pas drôle !

- J'te parle même plus. S'exclama t-il

Je lui sauta dessus en cria :

- Non ! C'est bon, j'arrête, promis !

On se mit à rire tous les deux en même temps.

- Tu vas me manquer Dit-il subitement.

Je lui me suis mise à sourire comme une idiote, car la vérité c'est que même si entre lui et moi c'est compliqué, je tient à lui.

Je mentirai si je ne lui aurais pas répondu :

- Toi aussi...tu vas me manquer Mathieu

Un sourire s'esquissa soudainement sur son visage, je ne l'avais jamais autant vu sourire, il illuminait la pièce à lui tous seul.

Je me rapprocha légèrement de sa bouche, lui, sans hésiter une seconde, entoura une de ses mains sur mon cou et m'embrassa sans ma lâcher pour autant.

Notre baiser commençait à s'intensifier au fil du temps mais je crois que Mathieu ne voulait pas tenter quelques choses d'autres, surement à cause de ce que je lui avais dis dans la voiture.

Je ne pensais pas que ces 24h pourrait nous rapprocher, je ne voulais vraiment pas sortir avec Mathieu au début de ces 24h mais maintenant, je ne suis plus sur de rien.

Je ne veux pas lui faire de mal mais qu'il se passe quelques choses ou non avec lui, ça le brisera quand même.

Je passa sans le prévenir mes mains sous son tee-shirt.

Il fronça immédiatement les sourcils quand il sentit mes mains contre sa peau.

Il coupa notre baiser toujours en fronçant ses sourcils.

- T'as oublié ce que tu as dis dans ta voiture ? Me demanda t-il confus.

- Si tu veux bien, je voudrais qu'on oublie ce que j'ai dis dans ma voiture.

Il se remit à sourire puis s'exclama :

- Alors là ! Aucun problème !

Je me mis à rire à mon tour.

Je posa mes lèvres contre les siennes pour la 5467 fois de la journée.

Mais je savais que lui comme moi, nous étions heureux d'être ensemble.

Pendant que nous nous embrassions, une de ses mains glissa sur ma hanche puis elle continua son chemin jusqu'à mes fesses.

Je coupa notre baiser pour enlever son tee-shirt, je posa alors mes mains sur son ventre musclé.

Il retira à son tour mon haut puis bizarrement, il ne bougeait plus.

Ses yeux regardaient ma poitrine découverte.

Il me fit rire une fois encore, il me demanda avec un regard interrogatif :

- C'est moi ou tes seins ont grossis depuis la dernière fois ?

- C'est la pilule. Dis-je simplement.

- Putain, c'est cool la pilule alors.

J'haussa juste les épaules, ce n'était pas le moment de lui expliquer que la pilule n'était pas si cool que ça.