PDV Natsu
Dites-lui que quand elle boude, elle est encore plus mignonne, la journée s'était bien passée pour une fois avec eux, elle apprenait à connaître les membres de ma famille, elle avait insisté pour une raison qui m'échappait. À ce que je vois, ils avaient l'air de bien s'entendre.
*
J'entrais dans la chambre, mon regard se posa instinctivement sur elle, inconsciemment je me mis à sourire en refermant la porte. Elle leva les yeux vers moi, elle se distrayait par son téléphone. Il devait être vingt deux heures ou plus tard quand je suis rentrée dans la chambre, je jouais à Fifa avec mes cousins, je devais leurs rappeler l'expression qu'ils avaient à chaque fois quand ils perdaient.
— Tu t'habilles aussi légèrement pour moi ? demandé-je en retirant mon haut, amusé par le fait que j'allais encore une fois la faire répliquer.
— Un jour peut-être, continue de rêver en attendant, rétorqua-t-elle en souriant en coin, les yeux rivés sur son téléphone.
— Tu pourrais pas être tendre comme les autres femmes ? soupiré-je en la rejoignant dans le lit, je mettais mes mains derrière mon crâne en la fixant.
— Les autres femmes n'ont pas un mari qui... non laisse tomber...
— Sont aussi beau que moi ? Oui ça se comprend, répondis-je à sa place.
— J'ai même pas envie de te contredire pour que ça n'aille pas plus loin, reprit-elle dans un soupir.
— Tu n'as pas besoin de me le dire, je le sais et toi aussi, et encore je suis modeste, rétorqué-je en regardant sa réaction.
Elle se retourne et pose son téléphone pour venir vers moi, avec un sourire que je ne connaissais pas d'elle.
— Admettons que cela soit vrai... susurra-t-elle d'une voix mielleuse en se rapprochant doucement de moi, un sourire étirant ses lèvres. Tu penses qu'on t'aurait doté de la modestie de juste dire merci ?
Je la regarde sans rien dire, captivité par autre chose...
Elle se rapproche avant de finalement me donner un coup dans le ventre, elle se lève d'un coup et court vers le balcon de notre chambre.
— Tu vas le payer ça ! grogné-je en me redressant.
PDV Lucy
Pour une fois que mes longues jambes me servent à quelque chose. Je cours du plus vite qu'elles me le permettent, en riant aux éclats, il faillait que je lui fasse ravaler sa fierté, j'ai continué de courir pendant environ cinq minutes avant de finalement me faire rattraper. Il emprisonna ma taille avant de me plaquer contre le mur, j'arrêtais progressivement de rigoler, j'affichais mon plus beau sourire, désormais, comme pour lui montrer que je n'avais pas peur.
— Tu pensais pouvoir m'échapper ? déclara-t-il en rapprochant son visage du mien.
— J'ai essayé, c'est le plus important, répondis-je toujours en essayant de me débattre, mais bien évidemment que ça n'a pas fonctionné comme prévu.
— Le plus important c'est ce que je fais te faire maintenant, murmure-t-il non loin de mon oreille.
Je déglutis, en effaçant complètement mon sourire, je le regarde désormais droit dans les yeux, la respiration lourde et le cœur battant à la chamade. Je commençais à avoir peur, mais il est hors de question que je le lui montre. Il est vraiment capable de tout et c'est ce que je redoute de lui, je n'aurai rien à dire parce que je l'ai cherché.
— Ne me fais pas mal, soufflé-je dans un murmure en le toisant du regard.
— Normalement non, tu n'auras pas mal...
Mes joues s'empourprèrent pendant que mon cœur venait de rater un battement à l'instant où j'avais compris à quoi il voulait de faire allusion.
— Qu-qu'est-ce que... tu veux me faire ? bafouillé-je en rivant mon regard dans le sien qui me détaillait de ma tête aux pieds.
— Ça dépendra de mes envies, dit-il, le regard regardant mon corps, ma tenue rendait mes cuisses ainsi que mes jambes visibles, totalement à sa portée.
— T'as pas intérêt à me toucher-
— Rien de ce que tu penses que je te ferais n'est pas dans mon droit et tu le sais, susurra-t-il en mordillant mon lobe.
*
Il ne m'avait rien fait, il avait tenu en compte ma panique et mon mal-être, non pas sans se moquer il m'avait relâché, nous nous souhaitâmes la bonne nuit en nous couchant l'un à côté de l'autre. Je pouvais sentir la chaleur de son corps réchauffer progressivement le mieux. Ce n'était pourtant pas la première fois que nous dormions aussi proche l'un de l'autre, mais c'était bien la première que je ressentais le besoin de le savoir près de moi, doucement ses mains se hissèrent jusqu'à ma taille. Je le laissais faire, ce que m'avait aidé à dormir.
Le lendemain
Ça faisait un petit moment que je m'étais éveillée, je n'étais pas gênée de la situation, ses mains se trouvaient toujours sur ma taille, sa respiration dans ma nuque.
— Presque 10 heures, soufflé-je en regardant l'heure.
Natsu n'avait pas l'air de vouloir se réveiller, hormis quelques grognements quand mes doigts entraient en contact avec ses cheveux mais aucun signe de réveil, alors il fallait que je procède autrement.
Quelques longues minutes plus tard...
— Hmmm... t'aurai pu demandé, j'étais bien moi, dit-il en grognant, il ouvrait les yeux.
— Excuse-moi de vouloir reprendre l'usage de mon corps, m'écrié-je en le sentant resserrer notre étreinte.
— Demande mieux, souffla-t-il en plongeant sa tête dans mon cou.
Mon corps se raidit au contact, ma tête basculait en arrière en sentant ses lèvres chaudes déposer des baisers dans mon cou.
— Pourquoi pas se doucher ensemble, tant que tu y es, m'exclamé-je en essayant de me débattre, doucement.
— C'est pas une mauvaise idée au fond-
— Dans le monde de Narnia un jour et lâche-moi maintenant, venais-je d'exiger dans un soupir las, en le coupant.
Il sourit contre ma peau ce qui me provoqua d'énormes frissons, je sentais la chaleur grimper à grande échelle, sa main se mit à caresser mon flanc, je me crispais au contact de sa paume contre ma peau nue, une sensation qui me procurait d'innombrables frissons.
— J'aime ton sale caractère, avait-il dit dans un murmure.
— A-Arrête... s'il te plaît, le supplié-je dans un murmure.
— S'il te plaît qui ?
— S'il te plaît... chéri, soufflé-je doucement en sentant ses lèvres quitter mon cou, s'en suivit de ses mains.
Je quittais le lit pour me réfugier dans la salle de bain en ne laissant rien paraître, une fois dans celle-ci, je m'appuyais contre la porte, je sentais mon cœur battre à mille à l'heure.
Tu n'as pas intérêt à perdre à ce jeu...
*
Excusez-moi pour l'heure à laquelle il est poster, il devait l'être hier mais je tenais à ce que tout soit parfait raison pour laquelle je l'ai entièrement réécrit, ce qui a pris beaucoup plus de temps que prévu, excusez ce léger contretemps même si de vous à moi, nous savons que vous ne dormez pas... du moins pas encore.
Je vous posterais la suite tout à l'heure comme d'habitude, un par jour.
Et aussi la semaine bonus se termine aujourd'hui j'espère que cette semaine de publication vous aura plu, j'essayerais de garder un rythme régulier dans la publication des chapitres mais j'en profiterais pour me reposer un jour avant la publication d'un nouveau.J'espère que vous me comprenez, bis ! ❤️
VOUS LISEZ
Mari et femme《 Nalufiction 》
FanfictionEntre amour, tromperie, possession, trahison, sexe et argent. Correction 10/82