T/W : Description d'un acte sexuel.
@Bolo99farouk (gagnant.e) bravo.
Coucou, si vous n'êtes pas à l'aise avec ce genre de chapitre, celui-ci n'est clairement pas fait pour vous. Alors je vous dit, rendez-vous pour le chapitre qui suivra celui-ci, un bref résumé y sera transcrit. Merci mes lecteurs chéri.e.s ❤️.
* Je suis la maman de ce que j'écris, pas la votre alors ce que vous lisez ne regarde que vous !
PDV Natsu
Cela devrait un crime d'être autant sexy.
Je regardais avec attention chaque courbe de son corps magnifique, chaque millimètre de peau nue. La simple vision de son corps dans cette légère tenue faisait grimper à haute échelle ma température corporelle.
Ma femme était réellement magnifique, à mes yeux, elle était la plus belle d'entre toute, la plus parfaite.
À son tour, elle fit de même en me regardant avec intensité; qu'est-ce j'aimais ses grands yeux bruns et les regards qu'elle me lance, ses sourcils complets typiquement féminin qu'elle fronce lorsqu'elle ne comprend pas, ses longs cils qui enjolivent son regard, ses joues qui rougissent quand je lui fais un compliment ou qu'elle gonfle lorsqu'elle boude, ses lèvres roses et pulpeuses qu'elle mordille lorsqu'elle réfléchit ou quand elle est ailleurs, sa fine mâchoire (...), son sale caractère, son humour, sa voix. J'aimais la voir en colère ou joyeuse, en fou rire mais pas malheureuse. Qu'est-ce que je l'aimais elle tout simplement. Et ça tout le monde me connaissant pouvait en témoigner, je n'avais jamais au grand jamais été aussi patient avec une femme. Avec elle, je voulais y aller doucement de peur de la brusquer, nos débuts n'étaient pas fameux, certes, mais aujourd'hui je ne vois pas ma vie, je ne me vois pas moi, sans elle à mes côtés. C'est celle dont je suis tombé amoureux, celle que j'aime, celle que mon cœur chérie et celle que mon corps désire.
D'un mouvement presque spontané, je l'attirais jusqu'à moi, juste assez pour que nous soyons à la même hauteur. Elle semblait surprise de mon geste, mais cela n'avait pas l'air de la déplaire.— Dis-moi si tu n'es pas à ton aise, ai-je murmuré à son oreille, avant d'arrimer mon regard au sien.
— Entendu, dit-elle, d'une voix mielleuse.
Je souris en sachant pertinemment que c'était moi qui la mettait dans cet état là.
PDV Lucy
La chaleur de son corps avait d'éteint sur le mien, si bien que cette eau dans laquelle nos corps trempaient, ne me semblait de plus en plus tiède.
Je sentis ses mains se glisser avec doucement sur mes hanches, c'est le corps encore pris de frissons que j'enroulais timidement mes bras autour de sa nuque. Mon geste avait réussi à lui arracher un sourire en coin.— On est déjà très bien comme ça, mon cœur, ne te force pas pour le reste, dit-il sans me lâcher du regard.
Je lui souris faiblement sans non plus arrêter de le regarder dans les yeux.
Que j'aimais cet homme;
il est et restera mon mari, alors je ne devais pas me montrer aussi timide dans l'intimité avec lui.
Je rapprochais mon visage du sien, si bien que nos respirations se mêlaient entre-elles. Dans son regard, je pouvais y lire une pointe d'excitation ce qui fit rater un battement à mon cœur. Lui devait être habitué à ce genre de situation et devrait être beaucoup plus expérimenté, pour mon cas, c'était bien la première fois que je le faisais.— À ton rythme chérie, il me rappelait dans un murmure.
Je réduis la distance encore nos corps, jusqu'à ce que ma poitrine se retrouve plaquée à son torse. Lui commençait doucement à me caresser descendant puis remontant ses mains sur mes cuisses, sans pourtant me lâcher du regard. Je le pris de court en l'embrassant la première, mais c'était de loin lui qui menait la danse, si bien que le simple baiser se changeait en langoureux baiser. Nos lèvres bougeaient lentement l'une contre l'autre, de manière parfaitement synchronisée. Je sentais les mouvements qu'il effectuait avec ses mains sur mes cuisses lentement remontrer jusqu'à mes fesses.
Une fois à cours d'air, je décollais doucement mes lèvres des siennes. Nous ne nous quittions pas des yeux une seule seconde, et pourtant ma peau frissonnait à chacun de ses gestes.
— Lorsque tu atteindras ta limite, fais le moi savoir, et je m'arrêterai, dit-il d'une voix rassurante.
J'acquiesçais d'un signe de tête. Je sentis par la suite ses gestes s'accentuer, ses mains se logèrent dans l'intérieur de mes cuisses, puis l'une d'elles entra en contact avec mon intimité, je fermais les yeux me faisant envahir par les sensations que me procurait son geste. Je lui faisais entièrement confiance.
Ses doigts frôlaient ma féminité avec une grande douceur, puis il entra l'un de ses doigts dans mon sexe. J'eus un hoquet de surprise ce qui était tout à fait normal car il ne l'avait jamais fait auparavant. Toutefois, sans prendre en compte ma surprise, il se mit à exercer des mouvements d'avant en arrière, sans une seule fois me lâcher des yeux. C'était la première fois que nous allions aussi loin lui et moi, au bout d'un certain nombre de va-et-vient, je commençais à m'habituer à ses gestes. Au fur et à mesure qu'il bougeait en moi ses doigts, de petits soupirs commencèrent à m'échapper, alors que je tentais tant bien que mal de les retenir et de me faire la plus silencieuse.— Ne te retiens pas, mon ange, il me soufflait à l'oreille, en changeant de rythme, il accéléra ses mouvements.
Ma bouche s'entrouvrit laissant alors ses soupirs devenues de plus en plus bruyant s'en échapper. Mes pensées étaient embrouillées, et tout ce que je voulais c'était atteindre ce plaisir pour lequel mon bas-ventre se contractait. Mes mains elles, ne restaient pas immobiles, elles s'étaient plantées plus d'une fois dans sa chaire, tant le plaisir qu'il m'offrait était grand; mes soupirs s'étaient changés en gémissements pour son plus grand plaisir. Arrivé à un moment, je sentis mes jambes flageoler et mon corps se mettre à trembloter tout seul, et seulement à ce net moment, je sentis l'orgasme m'atteindre. Il l'avait remarqué, alors il arrêta ses mouvements puis retira ses doigts, fier de m'avoir fait atteindre cet état.
VOUS LISEZ
Mari et femme《 Nalufiction 》
FanfictionEntre amour, tromperie, possession, trahison, sexe et argent. Correction 10/82