Chapitre 15 : L'art du double jeu

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Salut les copssss ! Nouveau chapitre !  En espérant qu'il vous plaira . N'oubliez pas de commenter et d'aimer mon chapitre ! Celui ci est d'ailleurs deux fois plus long que les autres donc j'espère que vous aimerez .

Bonne lecture !

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« Les apparences sont parfois trompeuses »

Jayden

Trente minutes avant le drame...

On était arrivé à la soirée. Je voyais Nérée contempler la salle et ses décorations. Je ne lui avais pas dit quel était le plan, et c'était le mieux parce que je n'avais pas envie qu'elle gâche tout lors de la vente aux enchères.

Maël était déjà parti pour peaufiner la mission. Notre cible ce soir était le gars sur la scène qui allait présenter les femmes. Si tout se passait bien pendant que Nérée se faisait vendre, le lustre devrait tomber et faire un énorme bruit.

C'était en attirant l'attention sur le lustre que mes hommes cachés dans les différents recoins du château devraient jeter des bombes à fumée. Ensuite, je tirerai sur le vieux à l'aide de mon glock caché entre mon jean et ma ceinture et Maël sera sur le côté pour partir avec Nérée. J'en profiterai pour libérer ces femmes, mais ça, ce sont mes hommes qui s'en occuperont.

Je savais... ce plan est l'un des plus débiles que je n'avais jamais faits mais bon il en faut bien un à la hauteur du vieux con que je dois buter.

La raison de sa mort ce soir était le fait qu'il n'ait pas payé depuis un certain temps ma drogue et en plus qu'il en volait dans ma réserve. Ce fils de pute va devoir payer de sa vie.

Je dis à Nérée de se la fermer et nous allions en direction d'un groupe de petits cons. Je les saluai tous et nous discutâmes jusqu'à ce que cette petite salope ouvre sa putain de bouche :

- Et qui est cette belle jeune femme à côté de toi ?

- Personne. Répondis-je.

- Si tu es venu là avec elle, c'est que ce n'est pas personne.

- Pour l'instant, elle m'appartient.

Je vis qu'elle m'envoyait un regard d'incompréhension comme si elle venait d'apprendre que le père Noël n'existait pas.

- Pas pour longtemps... à mon avis, si vous êtes là, c'est que vous êtes prêt à lâcher la laisse de la chienne.

Je vais le tuer.

Je ne sais pas pourquoi, mais j'avais une de ces envies de le tuer pour avoir insinué qu'elle était une chienne. Mais en fait, je pense que cela devait être à cause de l'accumulation de conneries qui étaient sorties de sa bouche de petite salope.

- Salut mi bonita, ravie de faire ta connaissance.

Elle lui tendit sa main mais je l'interceptai et la lui tins.

Après un blanc, elle décida de le casser en ouvrant sa gueule.

- Pourquoi vous m'appelez mi bonita ?

Pourquoi elle l'ouvre celle-là, on ne lui a jamais appris à la boucler.

Je lui lance un regard noir et ils rigolent tous avant que
l'un d'entre eux prenne la parole.

- C'est comme ça qu'on surnomme celles que l'on considère comme des putes.

Putain de merde, pourquoi il l'ouvre lui aussi. Je la regardai et vis ses yeux briller, preuve qu'elle voulait pleurer. Et merde, si ça continue, elle allait faire capoter le plan à cause d'un petit surnom débile.

TEMPTEDOù les histoires vivent. Découvrez maintenant