Chapitre 33 : Tire !

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Salut les copssss ! Nouveau chapitre ! En espérant qu'il vous plaira . N'oubliez pas de commenter et d'aimer mon chapitre !

Bonne lecture !!!

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Pdv Nérée

- Alors on bande comme un gamin ?

- Oui et si tu continues à me chauffer comme tu l'as fait, c'est derrière l'avion qu'on va finir. Entendido ?

Mes joues devinrent écarlates et je me levai alors rapidement pour retrouver ma place initiale. J'entendis son rire moqueur et cela me fit étirer mes lèvres. Son rire était tellement doux et... et... il fallait qu'il sorte de ma tête.

Quand était-il rentré au point où je ne puisse même pas arrêter de commenter tous ces faits et gestes.

L'hôtesse se releva et passa devant nous sans nous adresser ne serait-ce qu'un seul regard. Tout ce que j'aperçus est son talon maintenant à moitié cassé. J'étais devenue une telle conne à me moquer des personnes. Mais elle, je n'avais pas le moindre remords. Ce monde m'avait fait changer ma manière de parler, de me comporter ou même d'agir.

Ce monde m'avait transformé.

Lorsque des personnes détachèrent leur ceinture et commencèrent à se lever, je compris que l'avion venait d'atterrir. Je restai sur mon siège attendant que chaque personne prenne sa valise et descende. Une fois que la moitié des individus présents dans cette classe étaient descendus, je me levai à mon tour et traversai l'allée.

Je recroisai cette pétasse, j'espère pour la dernière fois, et lui lançai un faux sourire teinté de mépris, mais alors qu'elle tenait un verre de vin en main, elle renversa le contenu sur mon jean.

- Mince! Je suis vraiment désolé, je n'ai pas fait exprès!

Cette pute alors ! Mon jean me collait à présent et était mouillé. Heureusement que le contenu n'était que de l'eau, enfin je pense. Et alors que j'allais répliquer pour lui prendre le verre des mains et lui verser à la gueule, Jayden passa devant moi me tirant par le bras pour me faire sortir.

- Putain, qu'est-ce que tu fais! Lui criai-je.

- Je t'évite de casser les couilles.

- ELLE M'A REVERSÉ SON PUTAIN DE VERRE.

Il me tenait fortement le bras, m'obligeant à rester devant lui.

- yo se. y entonces? No me importa.

- Arrête de parler espagnol! Tu me fais putain de chier!

Ça le rendait tellement plus...

- No. Y desde cuando me dices que hacer mi bonita. No eres nada para mi. NADA. Entonces si tu me faltas el respeto otra vez et te mataré ici. ¿Comprendido? (Tu n'es rien pour moi. RIEN. Donc si tu me manques encore de respect, je te tuerai ici. Compris?)

Tout à coup, je lançai mon pied et lui donnai un coup dans ses couilles. Il détacha son emprise de mon bras avant de fermer les yeux et souffler lourdement.

- Ce coup t'évitera de bander comme un gamin quand tu me vois, histoire que tu me montres vraiment que je ne suis rien pour toi.

Alors que je commençai à descendre les escaliers de l'avion, ce fou m'interpella en criant :

- NERÉE!

Je ne me retournai même pas pour lui adresser un regard. Mais quand je continuais ma descente, ses mains vinrent prendre mes côtes pour me retourner vers sa personne.

TEMPTEDOù les histoires vivent. Découvrez maintenant