Chapitre 31 : Entre rage et frisson

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Salut les copssss ! Nouveau chapitre ! En espérant qu'il vous plaira . N'oubliez pas de commenter et d'aimer mon chapitre !

Bonne lecture !!!

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"Ceux qui flirtent avec le danger en paient toujours le prix."

                                 Pdv Nérée

- Les excuses ne résolvent pas tout, la preuve, tu m'as perdue.

« Clac »

Le bruit de la porte qui se fermait, fermant le tunnel menant mon cœur à lui.

« Crac »

Le bruit de mon cœur qui se brisait après la fermeture de cette porte.

Mes larmes coulaient, ne cessant pas de glisser tout au long de mes joues désormais trempées. Mes pas rejoignirent rapidement la chambre d'amis vide. J'entrai et claquai la porte avant de plonger sur le lit. Mes pleurs redoublèrent, pensant une nouvelle fois à tout ce qui s'était passé.

En lui disant qu'il m'avait perdu, je savais pertinemment que pour lui, dès le départ, il n'avait rien gagné. Il s'en fichait complètement de ma putain de gueule et même mon cœur s'autorisait à le dire. Voir de mes propres yeux sa détermination hier soir face à ce qu'il me crachait en pleine figure.

Je le hais.
Je le déteste.

Mais je l'ai...

C'était impossible. Impossible que je puisse ressentir ne serait-ce qu'une seule petite chose pour un tueur et un successeur de la mafia.

IMPOSSIBLE.

Je me couchai un peu plus confortablement sur mon matelas et laissai mes paupières se fermer lentement petit à petit sous mes pensées négatives.

                                      ~~~

- ON PART EN ESPAGNE MA BELLE !

Mes mains essuyèrent mes yeux encore endormis et j'avalai ma salive plusieurs fois pour assimiler ce qu'il venait de dire.

- On-on part où ?!

- EN ESPAGNE BÉBÉ. BONJOUR LA BRONZETTE ET LES BEAUX PETITS !

Je rigolai sous ses hurlements.

- ALORS ! TU PRÉPARES TA VALISE !

Il se précipita vers moi et tira mon bras pour me sortir du lit.

- C'est bon, c'est bon Maël...

Je quittai mon lit et marchai en direction de la sortie de la chambre. En descendant les escaliers et en entrant dans la salon, je vis assise sur le canapé Lotis.

Je n'avais même pas pris de nouvelles depuis qu'elle s'était évanouie hier soir.

Putain égoïste que je suis.

Égoïste. Égoïste. Égoïste.

Égoïste. Égoïste.

Putain d'égoïste.

- D'ailleurs Lotis, ça va ? Maël m'a expliqué que tu avais un problème avec le sang ?

- Oui, mais c'est aussi la combinaison de la fatigue, de la peur en rajoutant le stress.

- Mais comment fais-tu dans ce métier avec cette phobie?

- On s'y fait, enfin... presque.

Je lui fis un sourire compatissant, n'oubliant pas au passage de remarquer la présence de Jayden. Purée! Il fallait qu'il sorte de ma tête! Son visage! Son torse! Son parfum! Ses yeux! Tout.

TEMPTEDOù les histoires vivent. Découvrez maintenant