Chapitre 21 : Papa ?!

1.1K 45 13
                                    

Salut les copssss ! Surprise ! Nouveau chapitre ! En espérant qu'il vous plaira . N'oubliez pas de commenter et d'aimer mon chapitre !

Bonne lecture !!!

__________________________________

Pdv Nérée

J'étais repartie m'allonger discrètement pour ne pas réveiller Maël de son sommeil. Je fixai le plafond en me posant mille et une question, mais une revenait sans cesse : Pourquoi est-elle là ?

Cette question me tourmentait l'esprit . En quittant l'orphelinat, je pensais ne jamais la recroiser, elle et ses yeux. Mais la voir avec lui dans son lit, cela m'a tuée. Moi qui pensais que notre relation s'arrangeait, je me suis bien voilée la face. Il ne pensait qu'à lui et à son bien-être avant celui des autres.

- Quel connard !

Ma réflexion que je voulais basse se fit forte et cela réveilla mon ami, qui ouvrait petit à petit les yeux.

- C'est qui le connard ? Me demanda-t-il, la voix fatiguée.

- Je t'expliquerai demain, rendors-toi Maël.

Il m'écouta et reposa sa tête sur ses bras croisés. Ça m'a réchauffé le cœur qu'il soit resté toute la nuit à mes côtés pour vérifier si j'allais bien. Mes paupières se refermaient aussi, m'emportant vers les bras de Morphée.

Je me réveillai peu à peu sous les rayons de soleil qui traversaient ma fenêtre sans store évidemment.

Maël n'était plus à côté de moi, j'entendais un gros raffut qui venait du salon suivi de cris. Mon angoisse augmentait en pensant que cela pouvait dégénérer s'il s'agissait de Jayden et Maël, alors je me suis levée brusquement du lit. En contournant celui-ci, je me suis cognée au bord, poussant un cri de rage et de douleur. Ma blessure s'était rouverte, faisant couler mon sang à flots, mais je n'y prêtais guère attention, les cris continuant en provenance du bas.

Je me suis précipitée hors de ma chambre en essayant d'ignorer la douleur et me suis précipitée vers le salon. En descendant rapidement les escaliers, j'ai glissé et failli tomber à la renverse jusqu'à ce que des bras me rattrapent. Je me suis retournée pour regarder la personne qui m'avait sauvée d'une chute mémorable. Mes yeux se sont bloqués sur les siens. Ses yeux bleus avec une touche de marron.

Je les ai admirés avant qu'il me redresse et ne passe devant moi. Je me suis sentie déstabilisée un instant par ses magnifiques yeux saphir. J'étais faible devant eux, énormément faible. Malgré la honte que j'ai eue à le laisser me toucher, j'ai réussi à lui dire :

- Ne me touche plus !

Il s'est arrêté alors qu'il s'apprêtait à monter sur une haute marche et s'est retourné lentement pour croiser mon regard.

- On joue les femmes fatales ? Dit-il en riant doucement.

- On joue l'homme insupportable.

Il a arrêté de rire et m'a regardée de ses yeux perçants.

- Fais attention à ta grande bouche et à ta langue bien pendue, je te l'ai déjà dit.

- Et toi, fais attention de ne pas me traiter de pute une fois de plus, je te l'ai déjà dit.

J'ai continué à descendre les marches sous son regard électrique. Arrivée à sa hauteur, je me suis redressée et lui ai chuchoté doucement à l'oreille :

- Et pour le "hija de puta" hier, je n'ai pas de mère et elle n'est pas une pute contrairement à la fille que tu n'as pas hésité à baiser la veille.

TEMPTEDOù les histoires vivent. Découvrez maintenant