Je me retrouve allongée sous le corps musclé d'un métis directif. Ses genoux prennent place entre mes cuisses me forçant à les écarter pour lui faire place. Docile et obéissante est l'humeur de Joy, ce soir. Ses gestes sont coordonnées et savent exactement ce qu'ils doivent faire. Heureusement d'ailleurs. Ma seule crainte est que nous soyons encore dérangés. La personne sera morte guillotinée sur place. Je me chargerais d'être son geôlier, son juge et également son bourreau.
- Règle numéro un commence Christopher en observant la scène qui se déroule dans son salon.
- Toujours écouter Buck ? dis-je en souriant.
Un soupir d'exaspération venant de la direction de mon ex-tuteur se fait entendre. Ses pas nous indiquent qu'il quitte le salon, pour aller où ? Je n'en ai aucune idée. Mon débardeur passe au-dessus de ma tête et vient rejoindre le sol avec le tee-shirt que je viens de retirer à l'homme qui me surplombe. Nos lèvres viennent se rencontrer. Je le mordille et capture sa lèvre avant de céder à son regard de braise. Ma langue passe sur sa lèvre qui avait été emprisonnée de mes dents quelques secondes auparavant. Ekemona vient s'asseoir au niveau de ma tête et capture mes mains pour les maintenir dans les siennes. Je sens à ce moment que ce qui m'attend va être plus épicée que je ne le pensais et ne peux m'empêcher de mouiller à cette pensée. La bouche d'Alexander descend doucement dans mon cou en le parsemant de baisers. Il effleure mes seins puis vient les emprisonner de ses dents. Il tire sa tête en arrière en les gardant en bouche me forçant à me cambrer. Je gémis à ce châtiment. Un doux mélange de douleur et de plaisir réunit. Il recommence la même opération et lorsque je sens la douleur prendre le dessus étant très sensible des tétons, Eke vient m'embrasser pour me faire penser à autre chose. Je gémis plus fort contre ses lèvres sentant la pression accentuée sur ma poitrine. En petite maso que je suis, mon entrecuisse s'humidifie sévèrement. Mon short suit le même chemin que mon débardeur et je me retrouve totalement nue face aux deux époux.
- Tiens.
Je tourne la tête vers Christopher qui tend un martinet à Alexander tout en me toisant directement dans les yeux.
- Merci. Tu sais ce que c'est, Joy ?
- J'suis pas conne quand même!
Un coup s'abat sur l'intérieur de ma cuisse me fait lâcher un "Aie" mélangé entre douleur et rire.
- Sais-tu à quoi ça sert ?
- Il me semble qu'au temps de jadis, les daronnes corrigeaient leurs mouflets avec un martinet. Tu as ramené cette antiquité de ton enfance? demande-je en riant. Bien plus tard ce fut pour les chiens.
Je prends deux coups sur chacune des cuisses. Je comprends mieux pourquoi je suis maintenue par Ekemona maintenant. Je suis offerte impudiquement à trois hommes et une séance comme lors de la soirée en club va se dérouler dans le salon de Christopher. Je n'ai pas mal à en souffrir. Je ressens la chaleur de la morsure sur l'épiderme et j'aime beaucoup cette sensation. Tantôt elle peut être douloureuse mais toutefois elle reste délivrante et me permets de lâcher totalement prise.
- Tu aggraves ton cas, princesse. me prévient Campbell. La politesse, c'est le respect d'autrui. Le courage, c'est faire ce qui est juste. La sincérité, c'est s'exprimer sans déguiser sa pensée. L'honneur, c'est être fidèle à la parole donnée. Le respect, sans respect aucune confiance ne peut naître. L'amitié et l'amour sont les plus purs des sentiments. Retenez bien ce que je viens de vous réciter. C'est la base de toute relation vraie et sereine.
Les lanières du fouet viennent s'échouer doucement sur mes épaules. Alex les fait glisser le long de mon corps. Ce geste me chatouille. Mes seins ressentant encore la pression des dents du métissé sont toujours sensibles et réagissent immédiatement en sentant le cuire les frôler. Je me cambre à nouveau en étant parcouru de frissons. Il joue avec mes nerfs en le faisant parcourir sur tout mon corps. La patience n'est pas mon point fort. On me teste...
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Sexy Chocolat
RomanceCinq ans, c'est le temps qu'il aura fallu pour que les jumelles réapparaissent indépendamment de leurs volontés. Un coup de téléphone, le mauvais destinataire qui répond. Bien entendu Charlie n'avait pas pensé à masquer son numéro, heureuse de souha...