Chapitre 15

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Quelques jours plus tard.

En effet, ces lames sont bien meilleurs que celle donné par Zaïmyr. A peine rentré dans la chair de mes victimes que la plaie pourris et qu'ils hurlent de douleurs. Ce soirs, ils sont deux, loin de Zald et du château. Je crois bien que Zaïmyr ferais une crise cardiaque si il savait que je suis presque vers la Belgique et autre.

Leurs sang s'éclaboussent sur ma peau et rien que de sentir leur odeur me donne envie de vomir. L'odeur de cigarette et d'urine me file la nausée et mélangé à leurs sang, c'est irrespirable. Mon corps se couvre de sueur froide une nouvelle fois et je recule en regardant leur corps à moitié rongé par la pourriture que leur cause les lames. Elles sont vraiment de bonnes qualités.

Un bruit dans mon dos me fait relevé la tête et une odeur d'haleine nauséabonde me vient droit dans le nez. Je me retrouve presque encerclé de plusieurs créatures poilus avant de longues dents. Des loups garou. Heureusement que la meute du mari de Lisianna, Luke, sont plus évolués qu'eux et bien plus propre.

- L'hygiène, vous connaissez? Vu l'odeur de vos bouches, c'est peut probable.

D'ailleurs, il est bien rare que je les rencontre pendant mes tueries. Et c'est bien plus chiant de les battre, vu que leur force approche celle des vampires.

- Vous êtes mal placés pour ouvrir votre bouche, on peut faire une bouché de vous, sale humaine.

- En ce qui concerne la propreté, ce sang n'est pas le mien et quand bien même, je suis bien plus propre que vous.

Il n'en faut pas plus à un d'entre eux, pour m'attaquer. Je me décale rapidement face à leur vitesse et plante une de mes lames dans la jambes de celui ci. Il hurle et puisque je suis plus petite, plus rapide et plus fine qu'eux, je peux facilement me faufiler entre eux. Son sang gicle sur moi et j'évite de peux un coup à la tête. Je me retourne et lui plante dans la jugulaire. Il s'étouffe dans son sang alors que je tombe sur lui pour finir de lui découper la gorge.

Je ne suis plus qu'une boule de rage. Et quand bien même ce ne sont pas des violeurs, ils ont voulus m'attaquer alors que j'aurais pu en rester là. Je roule sur le côté et me relève. Deux d'entres eux me fonces dessus en même temps. Je coupe net les doigts et griffes du premier alors qu'une griffe du second passe sur mon épaule.

L'odeur de mon sang semble les énervés encore plus.

- Non, sentez bien. Dit l'un d'entre eux. Elle a les même caractéristique que la reine écarlate.

Eh bien, puisque je ne sors pas, c'est sûr qu'il ne peuvent pas me connaître. Enfin, ils savent surtout que j'aime tué les hommes qui ne méritent pas de vivres sur cette planètes.

Les doigts de l'autre ont repoussés et bordel, qu'est-ce qu'ils sont fatiguant. Cette fois, je redouble à peine de force pour pouvoir les tués. Je coupe brutalement dans sa longueur la colonne vertébrale de l'un d'eux, qui tombe non seulement sans bougés par terre mais presque raide mort.

Je les combats en même temps ou l'un après l'autre. Je recule, sentant déjà la pression du prochain coup que l'un d'eux va me porter dans le dos. Je n'ai pas fait attention à celui là. Je me retourne rapidement, prête à le tué mais celui ci tombe net devant moi, la nuque anormalement brisé. Je relève les yeux vers l'individu non loin de moi et grimace sa simple odeur.

- Qu'est-ce que vous faites là? Crachais-je. Je n'avais certainement pas besoin de vous.

Ses yeux argentés miroite alors que les loups garous se sont arrêtés dans mon dos. Il n'est peut être pas aussi fort que Zaïmyr mais c'est un vampires qui a presque un millénaire.

- Je me balade la nuit pour prendre l'air, votre grâce. Et puis, rien ne m'empêche, même si vous ne m'acceptez pas, de vous protégez.

Me... Protégez? Mes poils s'hérissent sur tout mon corps à l'entente de ses mots. Je peux le faire toute seule désormais et j'y tiens. Je me retiens de lui lancer une lame dessus.

- Je n'ai pas besoin de votre protection.

Il se contente de s'incliner devant moi et repars comme il est venu. Les loups garou dans mon dos me grognent dessus et partent, ne voulant certainement pas s'opposés à lui. Je grogne de rage et range mes lames. Voilà qu'il vient gâcher ma petite tuerie, celui là.

De retour au château, après m'être lavé et changer, je saute sur mon lit, prête à dormir mais les coups à la portes m'annoncent que je ne vais certainement pas dormir maintenant. La blessure à mon épaule à totalement guéris.

- Entrez.

Zaïmyr entre et grimace aussitôt, surement dû à l'odeur de mes vêtements ensanglantés qu'Isabella n'est pas encore venue chercher.

- Moelly. Il est bien de te battre mais sa serait bien de ne pas se blesser.

- Je ne suis pas blesser.

- Ce n'est pas ça que me dit l'odeur de ton sang sous tout ce sang de loup. Crache-t-il.

- Qu'est-ce que tu me veux, Zaïmyr?

Il s'assois à un mètre de moi, sur mon lit, le visage soudainement sérieux et je sens que la suite ne va pas me plaire.

- Il n'y a aucune personnes du nom de J. Deferd dans les registres.

Guerre de sang. TOME 1.5Où les histoires vivent. Découvrez maintenant