Guerre de sang. TOME 1.5

Chapitre 43

Bonjour à tous, ça faisait longtemps.

⚠️⚠️Ce chapitre traître de traumatisme liés à des agressions sexuelle, d'inceste et de forme de psychose. Les scènes de ce chapitres ne sont pas tirés de recherche, mais d'information tiré de documentaire et de mes souvenirs donc  il se pourrait que certaines choses ne correspondent pas à de vrai information et puisque c'est un roman fantasy, je peux plus ou moins m'éloigner de la réalité. Je ne cherche aucunement à me moquer ou quoi que ce soit d'autre, il s'agit d'une forme d'illustration de sujet réel et si cela ne vous convient pas, vous pouvez tout à fait ne pas lire ce chapitre.

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Cette conversation était douce, et simple et j'ai été soulagé en lui révélant ce lourd secret. Son regard n'a pas changer à mon égard. On dit qu'après une tempête, il y a toujours un arc-en-ciel. J'aurais pu croire qu'après cette tentative d'assassinat à son égard, tout serait rentré dans l'ordre. 

Mais c'est loin d'être le cas. Encore faible, surtout mentalement après cette conversation, je suis allé me balader dans le jardin en compagnie de Quincy. Et ce n'était qu'une autre attaque qui m'y attendait. Et Zaïmyr m'avait prévenu. Il m'avait prévenue de faire plus attention. Et je ne l'ai pas écouté. 

Il ne viendra pas me sauvé...

Je n'arrive pas à croire où je suis, encore dans les vapes. Un endroit que je ne reconnais pas. Il n'y a personne autour de moi. Je suis allongé sur un lit au drap blanc. Je n'arrive pas à comprendre comment je suis passé d'une discussion avec Jayce, d'une balade au jardin... A ici. Pourquoi n'ai-je pas fait plus attention? Pourquoi ce qu'il pouvait pensé de moi m'a mis dans un état aussi catastrophique? Je n'ai pas mes lames avec moi. Quel utilité pour aller parler à Jayce, alors que je les ai toujours sur moi, même pour lui? Face à lui, j'ai complètement baissé ma garde... Je ne suis pas allé les récupéré avant d'aller dans les jardins et mon côté hybride... N'as pas servit à grand chose.

Je me suis fait avoir bêtement. Les bruits me parviennent, des bruits de pas, mais aucune conversation. Depuis combien de temps suis-je ici. Je retrouve peu à peu la maîtrise de mon corps et me lève de ce lit. Je suis à peu près propre et on ne semble pas m'avoir réellement touché. Je ne sens aucune douleur sur mon corps, appart les effets des produits utilisé pour me capturer.

J'essaye de garder mon calme et reste assise. Quelque mèches s'échappe de ma coiffure. Je reprends mon souffle. Une chose est sûr, je dois sortir d'ici, par tout les moyens. J'entends des pas s'approcher de moi, un vampire, et la porte de cette salle qui est propre s'ouvre sur quelqu'un. Un homme. Presque sans odeur. Mais cette fois, je vois son visage. Des yeux noirs et des cheveux châtains clair. Son teint est pâle et sa bouche s'étire en un sourire heureux qui me fait aussitôt frissonner de dégoût. Voilà enfin le visage que je peux mettre sur ce J. Deferd.

- Enfin, tu es réveillée. Tu sais, je n'aurais pas eu à faire tout ça si tu avais décidée de me suivre dès la première fois. Maintenant, il ne reste plus que la destruction de la famille royale pour que tu ouvres enfin les yeux.

Je lui lance un regard noir, l'air calme. Rien ne sert de paniqué pour le moment.

- Mes yeux sont déjà ouvert. Je n'ai qu'une seule famille, ma soeur, la famille de son mari et ma nièce et personne d'autre.

- NON! Tu as tord, je suis ta seule famille et seule leur mort te le montrera.

- Parce que tu espères qu'en tuant MA famille, je te considèrerai comme ma nouvelle famille.

- Mon père te considérai comme sa famille. Il t'a donné de l'amour! Tu l'a refusé et aujourd'hui, lui et mon petit frère sont mort! Mais je ne t'en veux pas, il ne me reste que toi, puisque mère à mis fin à ses jours.

Alors.... Il s'agit bien de son fils. Et sa mère, s'est suicidé. Il faut que j'en sache plus.

- Alors pour toi, tout le mal que ton père m'a fait, il s'agit d'amour?

Je crois que je vais vomir. Rien que le fait d'avoir une conversation normal avec cet individu me rend dingue.

- Oui! Voilà! Tu comprends enfin, Moelly! Je te l'ai déjà dit, certaines personnes, comme mon père, il ne savent pas comment montrer leur amour, alors ils le montrent d'une certaines manière... C'est peut être... Douloureux, j'ai eu mal aussi, mais je le comprends.

Je crois défaillir à ses mots. " J'ai eu mal aussi"?! Il a été victime de....

- Si il t'aimait vraiment, pourquoi te faire du mal? Quand on aime quelqu'un, on ne lui fait pas de mal, on le protège.

- Tu as eu une bonne éducation dans ce château mais tu n'arrives pas à comprendre quelque chose d'aussi simple? Crache-t-il.

Il semble maintenant complètement énervé et ses traits se sont durcis. Je savais qu'il n'était pas saint d'esprit. Mais ce n'est pas que ça. Ce que Marius Deferd lui a fait... Nous a fait. Je ne peux pas appeler ça un être humain et encore moins un père. 

- Je comprends. Mentis-je. As-tu... Grandis avec lui?

- Oui, jusqu'à sa mort. De ton fait. Tu n'as pas compris son amour! Comme ma mère! Et tu l'a fait tué, la seule personne qui me montrait de l'amour.

Il est né.... D'un viol. 

- Ta mère, tu as dit qu'elle est mort, ne t'a elle pas donné d'amour?

Son visage se renfrogne encore plus et il me lance un regard remplis d'amertume.

- Je te trouve bien curieuse, Moelly. Toi qui disait que tu ne voulais rien avoir à faire avec moi. Ne crois pas me poser ses questions et pouvoir espérer t'enfuir. Tu es ma famille, tu es a moi, tu resterais avec moi. Mais je vais tout de même répondre à tes questions. Ma mère me donnait de l'amour, un amour fade, comparé à celui de mon père.

Je crois que moi-même, je pourrais devenir folle en l'écoutant. Mon cœur bat un peu plus vite et je sens que tout ça, ça va mal finir, pour moi. Je ne sais pas dans quel autre circonstance il a grandit pour que Marius Deferd n'est été envoyé en prison. Il a l'air de parlé de sa mère, comme si celle ci l'avait éloigné de son " géniteur ". Mais sans succès.

- Quel est ton nom? Je demande.

Lui qui était resté à l'entré de la porte à 4 mètre de moi se décide à avancé. Cette fois, je ne peux rester assise et me lève. Il représente un danger que je ne peux pas sous estimer. Son visage, maintenant que je regarde de plus prêt est plein de petite cicatrice. Et la peau de son cou aussi. Toute ces cicatrices remontent avant sa transformation en vampire. Un enfant autrefois maltraité. Il a grandit avec ce détraqué. Et l'es devenu aussi. Car tout mon corps se fige à sa réponse.

- Je ne m'appelle pas J. Deferd. Mais Steve Barnet. Du moins, comme je l'aurais voulu, Steve Deferd. Maintenant que tu es avec moi, Moelly, je vais finir de t'ouvrir les yeux. Et te donner de l'amour.

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Je ne sais pas si ce chapitre vous as plu mais en tout cas, sa rédaction m'a fait froid dans le dos. Alors, que pensez-vous qu'il se passera?

Comment Moelly se sortira de là?

C'est peut être la fin pour elle....

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