7h30, tour du château royale, 1er juin.
Le liquide rouge s'écoule lentement dans la baignoire en des nuances de roses pâles à bordeaux.
Cette odeur est tellement répugnante.
Du sang frais qui aurait pu être murement récolter par le décret de ma sœur la reine, mais qui rien que par la nature de cet homme, aurait été que dégoûtant sur le palais. Et puis, il est clair que je n'ai jamais pu boire autre chose que du sang animal ou tout simplement, ce que mon organisme à vraiment- et toujours - accepté: De la nourriture.
Le son de l'eau qui coule m'apaise et le sang dégouline lentement de mon corps. Peut être que celui là à vraiment souffert. Mais sa m'importe peux, puisqu'il l'a mérité.
Je passe mes doigts dans mes boucles pour enlever toute trace potentiels de ses morceaux de chair. Quand je finis, je ne sens plus qu'une douce odeur de pêche et mangue qui sont bien plus agréable à mes sens.
Je sors de la baignoire et me regarde un instant dans la glace, mes boucles blondes m'arrive tout juste à la poitrine et mes yeux bleus sont plus pâles qu'ils ne l'ont jamais été. Et puis, mes yeux descende plus bas, sur mes seins qui tombent un peu et ses légères vergetures.
Et encore plus bas, pour voir cette cicatrice juste au dessus de mon pubis.Cette cicatrice me fait encore plus sainte horreur que le reste. Mais je me force à la regarder. Parce qu'elle est sur mon corps et j'ai réappris à regarder mon corps jour après jour pour qu'il m'appartiennent à nouveau, malgré qu'il me dégoûtais.
Je me dégoûtais.
Et peut-être encore un peu aujourd'hui. Mais moins qu'avant. Ça fait déjà 10 ans, après tout.
Je mets mon sous vêtements et enfile la tenue préparer par Isabella pour que je puisse aller dormir. Une robe de nuit verte clair longue.
Je sors de la salle de bain et trouve près de ma table de chevet mon petit déjeuner composé de tartine beurré, un thé et un jus de fruit. Je m'assois sur mon lit et regarde les plantes vertes qui envahissent ma chambre. Du cactus au géranium et plantes grasses. Ma sœur aime beaucoup les fleur.
Moi, j'aime tout ce qui est constitué uniquement de feuilles.Les rideaux fermés laisse passer un peu de la lumière du jour et je suis épuisée. J'ai pris mon temps avec ces trois là pour ce soir. Je suis simplement noctambule. La journée ne me sert presque à rien et ce n'est seulement qu'à 18h que commence vraiment la journée. Mais bon, il fait nuit bien plus tard à cette période de l'année. Mon petit déjeuner finis, je me lève et sors de ma chambre pour le mettre sur une petite table prévue à cet effet.
Je saute sur mon lit et profite de sa fraîcheur avant de m'endormir. Quelques cauchemars viennent habiter mes nuits mais il ne me réveille plus.
*
23h10.
C'est bientôt l'heure de partir et j'attache rapidement mes cheveux un chignon sur ma tête avant de revêtir des vêtements noir sans oublier une paire de gants. Le tissu frais me rassure et je récupère mes couteaux et pieux en argent. Je ne chasse pas le loup garou mais ce n'est qu'une question de légitimité.
Il me faut bien des armes d'un certain niveau et c'est bien mieux au cas où il y aurait des soupçons. Je sors de ma chambre et ferme la porte. Les nombreux escaliers que comporte la tour ne me fatigue pas et je n'ai pas besoin de passer par l'entrée principale pour sortir.
C'est parfait. L'air qui s'est refroidi caresse mon visage et il ne me faut pas longtemps pour me mettre à courir à grande vitesse. La forêt ne devient que des fins de traits à peine perceptible mais je connais cette forêt comme ma poche alors il ne m'en faut pas longtemps pour savoir où est chaque élément.
J'arrive au abord de Zald, une ville de plus d'un million d'habitants mais sui regorge également de beaucoup de vermine. Il me faut également faire attention au chasseurs de vampires illégaux qui gagnent difficilement leur pain maintenant que vampires et humain ont trouvés un terrain d'entente.
Je m'arrête à l'entrée de la ville et marche plus lentement cette fois, à la recherche de nouvelle victime. Ne pensez pas qu'il n'y en a pas. En cherchant et en écoutant bien, j'entends des rires de jeunes filles d'à peine quelque années de moins que moi. Et puis une odeur subtile de chloroforme vient chatouiller mes narines. Je grimace et avance lentement. Et des cris ce font rapidement entendre. J'arrive à eux et une des deux jeunes filles est à terre, inconsciente, alors que l'autre se débat pour s'enfuir.
Un autre homme vient à son d'aide et il ne me faut pas longtemps pour intervenir. Il me faut toujours une preuve concrète, car après tout, je peux bien faillir et tué un innocent par inadvertance. J'attrape celui qui arrive et l'envoie brutalement contre le mur, il ne finit pas inconscient mais complètement sonné. Je veux qu'ils soient bien vivant pour leur faire ressentir la douleur qu'ils allaient leur faire.
- Qui es tu, toi?!
Je l'attrape par le bras sans lui répondre et lui tord brusquement. Son cris de douleurs emplie mes oreilles et il tombe par terre. La jeune fille me regarde horrifié et s'approche rapidement de don amie.
- Merci... Dit-elle.
- Appelle quelqu'un. Dis-je.J'attrape celui qui est inconscient et le traîne avec moi, bien contente de la force que j'ai. L'homme au bras casé recule.
- Ne t'approche pas de moi! Il y a un vampire! Cri-t-il.
- Malheureusement pour toi, je ne suis pas un vampire.Je lui donne un coup de poings de le nez et son nez qui craque me fait du bien. Il tombe un peu sonné et je l'attrape par le col en les entraînant rapidement avec moi.
Quand j'arrive au centre de la forêt, leur vêtements dans leur dos sont déchirer et l'odeur du sang qui sort de leur dos blessé me dégoûte déjà. Comme si j'allais être douce et les porter.
Celui qui est encore conscient est essoufflé et je les lâchent. Je ne perd pas de temps et mon premier couteau se plante directement dans son bras. Il hurle et tente de reculer, en vain.
- Pourquoi tu fais ça, je ne t'ai rien fait.
- Moi oui, mais à ses filles, qu'est ce que vous alliez leur faire?
- Rien, je te jure!
Ah, tellement fatiguant ses mensonges. Il se sait proche de la mort aloès il va tout niez en bloc. Mais je ne suis pas dupe. Et les battements de don cœur montre clairement qu'il mens.
- Je déteste les menteurs. Dis-je.Je retire mon couteau de son bras et ignore son cris de douleurs. Cette fois, il aura une plus bonne raison de crié qu'un couteau dans le bras. Je plante mon couteau sur cette zone qui fait si mal et fait tant de dégâts, entre ses jambes.
Son hurlement résonne dans la forêts et je le torture encore, jusqu'à ce que son partenaire se réveille. Malheureusement, il meurt bien trop vite et c'est de même pour le deuxième.
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Alors, vos premières impressions pour ce premier chapitre ?
Vos impressions sur la protagoniste?
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Guerre de sang. TOME 1.5
VampiriLe silence. Il n'y a plus besoin de parler inutilement maintenant. Je vis bien mieux, malgré l'horrible douleur que j'ai pu sentir. Ces regards ont cessé et maintenant, je vis bien mieux caché. Je n'ai pas oublié ce que j'ai vécue et je vais devoir...