Chapitre 47 : Désir inassouvi

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⚠️Warning⚠️ : Ce chapitre contient une scène à caractère sexuelle.
Je suis responsable de ce que j'écris et vous de ce que vous lisez qu'on soit claires la dessus.
Si vous n'êtes pas à l'aise ou autre je vous conseille de skip.

Bonne lecture à vous <3

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« Il veut me peindre...qu'il me peigne alors, toute entière. »

ADELINA

Je suis rentrée en bus et plus tôt que prévu pour pouvoir ignorer l'immondice que j'ai pu commettre...

Mes cheveux bouclés sont encore à la quête d'une source de chaleur pour pouvoir sécher correctement.

Même si honnêtement ça fait tellement longtemps que je n'ai pas été malade que ça ne me dérangerait pas de choper la grippe pour une fois...

Lorsque j'essaye d'en prendre soin pour aller mieux mentalement et pour éviter de penser à ce qui s'est passé il y a quelques heures, mon téléphone ne l'entend pas de cette oreille et décide de me rappeler que j'ai une vie "sociale" à gérer depuis que j'ai accepté d'utiliser ses réseaux sociaux.

Je déglutis et ferme mes yeux qui piquent déjà à cause de ma luminosité puis finis par le poser lorsqu'on frappe à la porte de ma salle de bain :

— Maman vient d'arriver, il faut qu'on aille manger.

La voix grave d'Aiden résonne à travers la porte de la pièce.

J'hoche la tête et prends ceci comme une diversion, mon téléphone en main je me dirige vers notre salle à manger conviviale.

Je grimace intérieurement face à mes 19 notifications qui proviennent d'un peu partout et préfère les ignorer parce que je ne veux pas que les problèmes prennent le dessus sur mon état.

J'ai déjà du mal à arrêter les brûlures alors ne me donnez pas une raison d'empirer cette addiction...

En arrivant à table je croise mon oncle qui me sourit chaleureusement en criant quelque chose comme :

— Ah la voilà enfin, sortie de sa grotte ! ricane-t-il pendant que certains gloussent de rire.

Non, vous ne rêvez pas.

Le père d'Aiden et Kyra est revenu de son voyage puisqu'en tant que reporter il se doit de se déplacer un peu partout.

C'est quelque chose que ma hanti Rita n'apprécie pas mais elle ne veut pas empêcher son époux de vivre sa passion comme il se doit.

J'avoue que depuis son arrivée pas mal de choses ont changé, et il est clair que ses enfants l'adorent tout autant que sa femme et ma grand-mère.

J'arrive avec un sourire qui peine à se dessiner sur mon visage, mes pieds sont mous quand il s'agit de rejoindre l'activité familiale.

Ma grand-mère me pousse à m'asseoir près d'elle, toujours aussi hospitalière elle me sert à manger et plus que tout les autres.

Elle considère que je suis bien trop maigre, que mon père ne me nourrissait pas et que j'ai besoin de force.

Comment lui dire que mon estomac n'est pas assez grand pour tout finir même si je ne veux pas être celle qui gaspille et qui ne finis jamais son assiette.

Basorexie (en réécriture)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant