24. Doutes

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Ça n'a l'air de rien. Jusqu'à ce que l'ouragan frappe.

Hannah Becker.






Kyle



Chicago, Illinois. 3h. Deux jours plutôt.





Quand j'arrive devant mon quartier générale je peux de suite remarquer les rafales de balles loger dans les murs et les baies vitrée de mon building.

Ça me met réellement en rogne. J'ai tellement dépensé pour ce bâtiments. Ils vont me le payer chère ses fils de putes de Bloodward.

Puisqu'ils connaissent maintenant la localisation de mon quartier générale je n'ai plus d'autres alternatives. Me casser d'ici ou les affronter directement. Mais il est trop tôt pour le faire et alors je préfère la première solution.

Je prends mon téléphone et envoie directement un message à Noé :

De moi :
> Désactive le mode protection. J'suis là.

Il lit directement et me réponds un simple « ok ».

Je range mon téléphone et commence à patienter dans la nuit noire et obscure. Je décide d'allumer une cigarette pour me détendre. Je la glisse entre me lèvres et laisse la nicotine s'infiltrer dans mes poumons.

La fumé blanche se dirige vers le ciel et disparaît quelques secondes après. Je recrache la nicotine et prend mon téléphone pour regarder l'heure.

Pendant un moment j'hésite à rentré dans l'appli message et envoyer un message à Athena pour savoir si elle va bien.

Elle fait quoi ?

Elle se sent seule ?

Elle fait des crises ?

Elle pense à moi ?

J'espère qu'elle va bien...

C'est tout ce qui m'importe.

Son bien être.

...où peut-être elle est entrain de continuer à faire des recherches...

Mes doigts reste suspendus devant le clavier de mon téléphone, prêt à écrire un message à Athena.

Mais je me ravise et éteint mon téléphone et le range dans ma poche arrière.

J'entends à présent les portes blindé du QG s'ouvrir, signe que Noé a désactivé le mode protection.

Soudain je vois une tête blonde sortir du bâtiment avec les bras grand ouverts pour m'accueillir.

Je tire un sourire en coin et m'approche de mon meilleur ami. Arriver à son niveau, on se chèque comme on a toujours eu l'habitude de faire quand on se retrouvait après long moment.

Bon retour parmi nous Wheeler.

— Ferme là, dis-je en ricanant.

Il m'ébouriffe les cheveux et je râle tout en l'insultant comme à mon habitude.

On rentre à l'intérieur et je remarque tout de suite que tout mes hommes sont entrain de travailler comme si il n'y avait pas eu de fusillade il y a quelques heures.

Ici, quelques soit l'heure, tout le monde travaille. On a tout les jours de nouvelles cargaisons que l'on reçois et que l'on doit revendre pour se faire du matos.

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