FASTER 2

5. Complications illusionnistes

Athéna

New York, Manhattan

Mon regard est fixé sur le diamant qui est autour du cou de Julia North. Elle remarque mon instance sur le bijoux et demande :

- Il y'a un problème ?

En même temps j'entends Wallis me poser la même question au bout de mon oreillette. Elle a du remarquer sur les caméras mon manque de mouvement depuis que je me suis retourné vers la trentenaire.

- Oui, je cherche les toilettes je pensais que c'était dans cette direction, finis-je par dire en pointant du doigt la salle d'exposition.

- Je peux vous montrer où sont les toilettes, dit-elle.

Je lui adresse un sourire chaleureux et la suis jusqu'au toilettes.

- Voici les toilettes.

Je la remercie et rentre dans les toilettes pour femmes. Il n'y a personne.

Parfait.

- Vous me recevez ?

- Oui, répondent-ils en même temps.

- Le collier est autour du coup de Julia ! Chuchotai-je.

- Merde, s'exclama Steve.

- Attends Athéna...., déclara Wallis.

- Quoi ? Dis-je.

- Tu peux essayer de la séduire, explique t-elle.

- Hein ? Et comment Sherlock ? M'exclamais-je.

- Julia est bisexuel, dit-elle.

Attends...quoi ?

De la où je suis je peux entendre un cri de surprise de la part de Steve.

- Fais comme tu peux, je sais que tu réussira cette mission c'est pas pour rien que tu es la meilleure mercenaire de Floride, m'encourage t-elle.

- Merci Wallis bon je vais y aller je vous tiens au courant et puis de toute façons vous entendez mes conversations...

Après ma tirade mes pas me dirigent vers la porte de la sortie des toilettes. Je trouve Julia devant celle-ci.

Elle m'attendait...?

Je lui souris chaleureusement et elle s'exclame en disant :

- Vous ne pouvez pas enlever votre masque c'est dommage j'aimerais voir à quoi vous ressembliez...je suis sûre que vous êtes extrêmement charmante, dit-elle d'un ton charmeur.

Elle me drague...ou....?

Je décide de rentrer dans son jeu. Après mon mon objectif c'est le collier qui est autour de son cou.

- Montrez moi un coin plus reculé pour vous montrer mon visage, dis-je au coin de son oreille.

Elle sourit et me prends la main. Je la suis comme son ombre. On arrive dans un couloir dans lequel il y a plusieurs portes. Elle ouvre l'unes d'elles et nous entraîne à l'intérieur. J'essaye de m'habituer à la lumière rouge de la chambre mais en vain.