coeur de glace

chapitre 28 -rester sur le chemin

Pov: kaïa
Samedi 23 mars
10h02
Patinoire

Honnetement ? J'ai hâte que ça se termine.
C'est long.
Je meurt à chaque fois que y'en a un qui sourie.
Donc je meurt en continue depuis 1min.
Ça peut semblait court mais avec ça sous la yeux c'est très long.
C'est évident que y'a aucune alchimie entre eux.
Je sais meme pas pourquoi Martin à laissé faire ça.
Et vue ça tête il pense la même chose que moi.

C'est bon les deux minutes sont fini.
Elle le lache enfin. Ah non. J'ai parlé trop vite. Mathilde est accroché à Johan comme une moule à son rocher. Et me demander pas pourquoi mais Johan repond à ça. Dans qu'elle merde tu t'es embarqué Kaïa... je sais pas mais en tout cas il faut que tu te depeches de reprendre tes esprits car ton cœur se noie...

L'équipe me sort de mes pensée en applaudissant. Pourquoi faire ? Pour nous dire bravo d'avoir reussi à regarder ça sans saigner des yeux ? C'est vrais qu'on mérite des applaudissement !

-Bon je pense qu'on vas rester sur le duo Kaïa-Johan pour le gala.

Ah bah merci j'suis pas la seule qui à trouvé ça catastrophique.

- Hein !? Quoi !? Mais pourquoi !? Notre duo marchait bien l'anné dernière et ça n'a pas changé !

- Il faut croire que avec l'arrivé de Kaïa si.

Si un regard pouvais tuer je serais clairement morte en ce moment. Déja sous terre. Mais que qulequ'un lui dit d'arreter de me fixer comme ça ! Ça fait peur là !

- bon aller tout le monde sur la glace faut qu'on avance, les national sont dans 3 semaines !

Et allais hop le petit coup de stresse quotidiens, on peut y'aller maintenant !

Et voilà comment se déroule les entrainements depuis maintenant 2 semaines. Martin à déja commencer à réfléchir au gala et on ne l'arrete plus, notre coach bouillone.

-On commence par le duo ! Kaïa, Johan en place !

On était au centre de cette même patinoire, ma main droite dans celle de Johan, ma jambe droite plié et le bras gauche de Johan qui me tenais par la taille: notre position de départ. Sa main serait fort la mienne cherchant du réconfort. Il était stressé. Je le sais, il l'était à chaque fois même si se n'était qu'un entrainement. Il l'assumera surment jamais et il a pas besoin de me le dire, je ressant toute ses émotions comme si c'était les miennes.

-Aller, on vas gérer ! Lui dis-je

Et la seconde qui suit la musique commença. Dès la premiere note sa main se décrispa et il me sufisait juste de ça pour me faire sourire. Et c'est partie...

Un pas après l'autre, doucement mais surment, on y arrivera ! Ensemble on soulèvera cette coupe ! Et ensemble on sera champion, champion de france d'abors, puis champion du monde et on finira sur la premiere marche du podium main dans la main et la médaille au 5 anneaux autour du cou. C'est avec ça dans la tête que je commence mon programme, et c'est avec se but en tête que je me lève chaque matin.

Et c'est comme ça qu'on vas y'arriver ! , pas après pas, saut après saut, pirouette après pirourette, portait après portait, yeux dans les yeux et main dans la main en allant toujours plus vite, toujours plus haut et toujours plus loin.

Main dans la main, yeux dans les yeux, nos deux corp collé, nos souffle qui s'entremelle et la musique qui se coupe,  c'est notre dernier pas.