33| Una mujer como yo.

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NDA: Hey, hope you're fine🎀. J'espère que vous passez des bonnes vacances!

Après m'être cachée dans ma grotte, je réapparais😓(j'en parlerai à la fin). Je préviens, le chapitre est long: 15 000 mots...

On passe enfin à l'arc où les choses sérieuses commencent😏.

Soit je poste pas, soit je poste un chapitre qui fait la taille d'un dictionnaire! Giflez moi! Pour vous tenir au courant, j'ai créé un Instagram: gigi.marquez___

Je m'excuse encore, et aussi désolé pour les fautes, i try my best! ❤️

BUENA LECTURA🌹










S V E T L A N A


La festivité touche à sa fin, et seule l'enceinte continue de jaillir dans la salle de mariage. J'ai retiré mes talons, qui ne supportait plus le fait que j'ai passé la nuit à danser.

Une infime partie des invités sont affalés sur les tables, soit bourrés, ou soit trop fatigués par l'événement. D'autres comme Aïdan sont restés debout, même si il est actuellement dehors. Je ne supportais pas le bazar, alors je tente de ranger quelques tables.

Une photo de Malia et moi traîne sur la table, plus jeunes, devant les marches de cette même l'église. Pendant quelques secondes, j'ai l'impression d'avoir était présente à ce moment. De l'avoir vraiment vécu, et de m'en rappeler. En tout cas, je me rappelle bien de mon ressenti en apercevant cette photo.

J'étais triste ce jour là, comme l'entièreté de mes années au lycée. Les murs sont similaires à ceux de l'église de ce matin, et je me rappelle de mes baskets aux pieds au lieu de mes Jordan. Malgré cette douleur qui crisse mon cerveau, je vois cette image d'Aaliyah, et d'un homme qui se dispute.

Bam...bam...bam...

Cette douleur à la tête me surprend, alors qu'elle est loin de m'être inconnue. Lorsqu'un souvenir apparaît, mon cerveau reproduit ce schéma de migraine et de malaise insupportable, allant jusqu'à me plonger dans l'évanouissement.

Ma tête cogne, suivi des points noirs qui s'affichent dans ma vue, et cette sensation de chanceler surprend mon corps. Je devrais arrêter de négliger mon traitement pour les migraines, que je ne prends plus depuis très longtemps.

Une autre secousse brutale dans mon crâne, m'alerte. Je crois que celle-ci est la douleur de trop.

Mes dents se serrent par automatisme, et je tente de m'appuyer sur la chaise pour ne pas faire un malaise.

Je réussis à me faufiler dans les toilettes à temps, où je me rafraîchis. À travers le miroir, je fais face à mon reflet blafard, qui ne se dissimule plus sous ma tonne de maquillage. Un son, ou plutôt une voix inconnue me fait sursauter:

-Tu es fascinante, Svetlana.

Avant que je puisse hurler de surprise, cet inconnu pose sauvagement sa main sur ma bouche. Qu'est-ce qu'un homme foutait dans les toilettes des filles? Son corps colle au mien pour que je cesse de gesticuler, tandis que sa grande main recouvre le bas de mon visage pour que je me taise. Lorsque sa prise sur mon corps se détache, je toise le miroir, en tentant de dévisager l'homme qui m'a agrippé. Ces chaussures tapent sur le sol, et il s'avance pour me devancer.

Son aura s'imprègne majestueusement dans la pièce, et je tombe d'abord sur un homme grand. Voir très grand, car il est presque au niveau de Faycal. Il est habillé d'un smoking gris, sûrement pour se fondre de la masse d'aujourd'hui. Jusque là, rien d'alertant, mais je me crispe lorsque mes yeux remontent sur le haut de son corps.

EL MONSTRUO.Où les histoires vivent. Découvrez maintenant