NDA: Chapitre révélation sur vous ou quoi😹😹😹😹😹😹
But first, hey and i hope you're fine💕
EN TOUT CAS c'est assez long comme d'hab mais j'aime ça vous me connaissez👀...
C'est partie🙌🏽!!!
—————
"𝑸𝒖𝒊𝒄𝒐𝒏𝒒𝒖𝒆 𝒄𝒐𝒎𝒃𝒂𝒕 𝒍𝒆𝒔 𝒎𝒐𝒏𝒔𝒕𝒓𝒆𝒔 𝒅𝒐𝒊𝒕 𝒔'𝒂𝒔𝒔𝒖𝒓𝒆𝒓 𝒒𝒖'𝒊𝒍 𝒏𝒆 𝒅𝒆𝒗𝒊𝒆𝒏𝒕 𝒑𝒂𝒔 𝒍𝒖𝒊-𝒎𝒆̂𝒎𝒆 𝒖𝒏 𝒎𝒐𝒏𝒔𝒕𝒓𝒆. 𝑪𝒂𝒓 𝒍𝒐𝒓𝒔𝒒𝒖𝒆 𝒕𝒖 𝒓𝒆𝒈𝒂𝒓𝒅𝒆𝒔 𝒂𝒖 𝒇𝒐𝒏𝒅 𝒅𝒆 𝒍'𝒂𝒃𝒚𝒔𝒔𝒆, 𝒍'𝒂𝒃𝒚𝒔𝒔𝒆 𝒂𝒖𝒔𝒔𝒊 𝒓𝒆𝒈𝒂𝒓𝒅𝒆 𝒂𝒖 𝒇𝒐𝒏𝒅 𝒅𝒆 𝒕𝒐𝒊."
𝑵𝒊𝒆𝒕𝒛𝒄𝒉𝒆.
S V E T L A N A
Ma...man? Je cligne des yeux...une fois, deux fois, puis trois. Je regarde mon poignet, attrapé par cette main qui le tient fermement. Une bague en or brille sur son annulaire. Mes yeux passent de ce poignet à ce visage ébène, toujours aussi bien soignée peu importe la circonstance. Ils analysent ce visage, qui n'a pas pris une ride depuis mes souvenirs. Des grands yeux noisettes, avec une bouche si pulpeuse qu'on pourrait croire qu'elle est refaite. Des pommettes relevés, accompagnée de sourcils assez fin, tout le contraire des miens. Ses un mètre soixante et onze me montre que je suis toujours aussi petite comparé à elle. Si il y'a une chose qu'on ne peut pas reprocher à ma mère, c'est bel et bien sa beauté.
En revanche, son âme était à voir.
Comme si le temps s'était arrêté, je me perds dans le peu de souvenirs que j'ai. Cette femme est...ma mère? Son air autoritaire a disparu en une seconde, et j'ai une vive impression d'avoir inventé la scène précédente.
-Bah alors? Tu ne prends pas ta mère dans tes bras?
-Euh...
Bafouillé-je, perdue par ce qu'il vient de se passer.
Ma mère, ou plutôt cette inconnue me rapproche d'elle. Je me retrouve effectivement prise dans ses bras, qui m'étouffent. Je suis tellement surprise, que je reste statique comme une statue. Ses cheveux frisés, chatouillent mes narines. Comme ceux d'Amaya lorsqu'on se faisait des câlins. Décidément, je crois que Dieu avait créer les Sanchez, en disant "copier coller". Elle se détache de moi, et m'observe. Elle a l'air heureuse que je sois...là? Comme si rien ne s'était passé durant ces quatres ans. Je crois qu'elle n'a même pas compris pourquoi j'étais autant surprise.
-Tu adorais les câlins lorsque tu étais enfant.
Je souris, timide, alors que son toucher me rend plus que mal à l'aise. Lorsque sa main s'approche de mon visage, je sursaute par réflexe.
Comment puis-je avoir peur si je ne la connais pas vraiment ?
-Je ne vais pas te frapper. Je te fais peur?
Ma tête bouge de droite à gauche pour lui indiquer que non. Comme d'habitude, c'est moi qui en fait des tonnes. Elle me touche alors le visage, et me contemple comme ces mères à la remise de diplôme de leurs enfants.
Ses doigts passent délicatement sur ma joue gauche, et j'essaye de ne pas déglutir. Je sens mes paupières se fermer, et un souvenir glacial me traverse.
VOUS LISEZ
EL MONSTRUO.
Acción𝐋𝐨𝐲𝐚𝐮𝐭𝐞́ 𝐞𝐭 𝐡𝐨𝐧𝐧𝐞𝐮𝐫. C'était tout ce qu'Aïdan connaissait, et avait connue. Il avait accepté de grandir dans ce monde de guerre et de sang, pour oublier qui il était vraiment: un petit garçon muet. La fois où Aïdan avait mis en péri...
