6| Bienvenido en infierno, princesa.

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Avant de commencer, j'ai une mauvaise nouvelle...je suis dégoûté mais bon.

À cause de mon contexte familiale irrégulier (MDR CHAOTIQUE), je ne sais pas si je pourrais publier ou écrire régulièrement les prochaines semaines.

Donc excusez moi si y'a quelques fautes, j'ai pas le temps de bien corriger🙁. Heureusement j'ai des chapitres d'avances...mais pas corriger du coup.

BUT HEYYYY! Hope y'all are fine💓!

Are you ready for this chapter?

C'est partie!

Buena lectura🎀




S V E T L A N A






-Que pensez vous des meurtres qui ne font que de s'amplifier à Chicago?

-Êtes vous au courant du meurtre de Dylan Olson?

-Est-ce bien vous sur cette vidéo, mademoiselle Sanchez?

-Qu'en pensez vous de votre mère? L'avez vous aidez à s'échapper de prison?

Je mets mon sac sur ma tête pour éviter d'autres flashs. Les paparazzis et les médias étaient vraiment des cons. Je n'étais pas un personnage publique, alors je ne vois pas pourquoi ils s'acharnaient autant sur moi. Ah oui, j'avais oublié, Faycal est un basketteur beaucoup trop connu. Et les Smith, n'en parlons pas. Je continue de marcher jusqu'à la voiture de Faycal, en ignorant les caméras et les micros braquées sur moi.

-Mademoiselle Sanchez! Répondez!

-Une minute, s'il vous plaît!

-Mademoiselle Sanchez, connaissez vous personnellement El Monstruo?

Mes talons arrêtent de claquer sur le sol, et je m'arrête soudainement de marcher. Comment ça, connaître personnellement?

Et si il savait que...c'était moi?

-P...pardon?
Prononcé-je en regardant la journaliste.

-Certaines sources disent que vous...

Un klaxon me fait sursauter et brise ma conversation avec cette journaliste. C'est Faycal qui appuie sur son klaxon comme un fou! Il m'attend depuis bien longtemps, et je comprends son impatience.

-Mademoiselle Sanchez, je peux vous aider. Contactez moi!
Redit la même journaliste.

Elle me balance une carte, que je saisis dans la volée en entendant le troisième klaxon de Faycal.

Je marche vite et me précipite dans sa voiture. Quelle ironie, on doit aller chez les Olson. Il pose ses yeux sur ma robe, et arque un sourcil. Bah quoi! Au moins, elle est noire! J'avoue...y'a un petit décolleté, et elle est au dessus de mes genoux. Pas ma faute si ce genre de robes me mettent en valeur, ça rends mes petites jambes plus longues qu'elles le sont, et fait passer mon bonnet B à un C. Je me regarde à travers le pare soleil, et remonte le haut de ma robe.

-Tu...es au courant que la famille Olson sont...conservateurs et très strictes?

-Sans blague. Roule, et vite.

EL MONSTRUO.Où les histoires vivent. Découvrez maintenant