45. Autre rêve

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Coucou,
Comme le dernier chapitre, ce chapitre sera un chapitre pour adultes. Si vous ne voulez pas lire ce genre de scène, vous pouvez passer au prochain chapitre.

Sinon, soyez clément·e·s, c'est toujours que le deuxième texte de ce genre que j'écris.

Bonne lecture et merci de continuer à me lire !

Antonin

Je suis un putain d'enfoirés. Je sais qu'elle est fragile, je sais ce qu'elle a vécu. Elle n'a même pas fini de récupérer, elle n'a toujours pas retrouvé la parole, et pourtant dès que je ferme les yeux, je vois son regard gêné, ses joues rougis. Et j'ai une putain d'envie de retourner la voir et de l'embrasser férocement.

Je replace avec agacement ma bite devenu légèrement plus dur rien qu'à l'idée de mes lèvres sur les siennes. Chose qui n'arrivera pourtant jamais.

On toque à la porte. Je redresse la tête.

Au milieu de mon bureau, se tient Aliénor dans son nouveau pyjama que Camille lui a choisi.

Un débardeur fin et léger et un short aussi court qu'une culotte. Ce genre de tenue sur une tout autre femme m'aurait laissé de marbre, mais sur elle...

Bien sûr, je l'ai vu ainsi souvent, mais c'est bien la première fois que je n'arrive pas à contrôler le réveil de ma bite.

Sous mes yeux ébahis, sans que je ne puisse rien faire, elle se met à genoux devant mon bureau. Les jambes écartées me donnant une vue sur sa chatte à peine dissimulée par son short.

- Je suis désolée, Antonin, me chantonne sa voix. Je me suis comportée en égoïste. Je suis une vilaine fille.

La voir ainsi réveille une sensation inconnue en moi. Jamais je ne me serais imaginé éprouvé autant de plaisir à voir une femme à mes pieds.

Mais la voir ainsi me demandant pardon avec son regard si provocateur... Je craque. Elle est la tentation même.

Je suis devant elle, début, je la domine. Elle est à mes pieds, à genou, en position de soumission, juste vêtu d'un soutien-gorge et d'une culotte. Et pourtant, le regard qu'elle me lance derrière ses longs cils et provocateur. Dans son regard faussement désolé, c'est elle qui a le pouvoir.

J'ai envie de la retourner sur mes genoux, d'enlever les derniers remparts qui me séparent de sa peau douce et claire et de la fessée comme elle le mériterait pour s'amuser à me mettre dans cet état.

Mais si je le fais, c'est en effet elle qui aura le pouvoir, je lui aurais fait ce qu'elle désire. Je suis joueur et mauvais perdant. Prenons donc notre temps.

Au lieu d'aller vers elle, je vais m'asseoir sur mon lit en enlevant mon haut. J'aime beaucoup voir son regard appréciateur le parcourir.

Je me gratte la gorge avec un sourire. Je la vois rougir aussi rapidement que ses yeux rejoignent les miens.

- Pourquoi je devrais te pardonner, Aliénor ? Tu viens me dire que tu veux que je partage mes repas avec moi, tu m'assures que tu me fuiras plus. Promesse que tu n'as pas tenue plus de quelques minutes. Tu as préféré m'exciter en me révélant que tu me vois dans tes rêves et disparaître.

J'ai employé un ton ferme et détaché, celui que j'utilise pour diriger mes hommes, bien que je ne puisse m'empêcher d'y mettre plus de chaleur. J'ai repris mon visage impassible.

Cela semble davantage l'exciter que la perturbée. Elle me glisse son sourire innocent, presque sincères.

- Que puis-je faire pour me faire pardonner, Antonin ? Minaude-t-elle.

Elle joue avec moi et bien jouons. Je m'approche de son corps délicieusement attaché à mon lit par mes soins. Jambe et bras écartés en croix.

Je pose un genou pour l'embrasser juste sous ses belles lèvres et reste un peu au-dessus d'elle. Elle tend sa tête pour essayer à son tour de m'embrasser, mais je m'écarte suffisamment pour qu'elle ne puisse pas me toucher. Il lui faudrait seulement un centimètre de plus, mais mes liens l'en empêchent.

Je pars à l'exploration de son magnifique corps, cherchant tous ses points faibles. Quand je les trouve, je joue avec juste assez pour l'exciter puis repars en exploration pour la laisser frustrée.

- Antonin, supplie-t-elle, d'une voix douce, alors que je n'ai toujours pas trouvé son sexe.

Il m'attend, accueillant, trempée, juste pour moi. La regardant dans les yeux, je commence à jouer avec son clito et son vagin. Je trouve facilement son point G, et je m'amuse à la voir s'agiter, le regard désespéré, sachant pertinemment ce qui l'attendait.

- Non, s'il te plaît, Antonin, s'exclame-t-elle quand je m'éloigne d'elle alors qu'elle était au bord de la jouissance.

Je lui fais mon plus beau sourire, recule jusqu'à mon fauteuil duquel je l'observe avec une jolie vue.

- Antonin, je suis désolée, reviens, je serai gentille.

Elle me regarde tandis que je prends fermement ma queue en main. Je commence à m'astiquer en la regardant droit dans les yeux. La voir ainsi, attaché, frustrée, dégoulinant de son désir pour moi, je pourrais jouir en quelques secondes.

- Antonin...

Ses suppliques m'excitent, mais je ne suis pas cruel au point de la laisser ainsi plus longtemps.

Elle monte sur moi, elle s'empale lentement sur ma queue me regardant avec une telle intensité que j'ai du mal à me retenir de reprendre le dessus et de la pilonner. Mais c'est notre première fois, je dois la laisser avoir un peu le dessus.

Le spectacle d'elle se déhanchant sur moi et me fait presque autant de bien que la chaleur de sa chatte m'enserrant si agréablement.

Elle accélère le mouvement, me laissant dans une extase difficile à supporter, mais j'ai déjà pris beaucoup de plaisir, il faut qu'elle prenne le sien.

Elle crie de plaisir, sa chatte serre si fort ma bite que je grogne de plaisir à sa suite.

J'ouvre les yeux. Je me suis endormie dans mon bureau.

Quel connard je fais, putain ! Elle souffre encore de ce que lui ont fait Sylvie et Pascal sous mon toit, elle souffre parce que je ne l'ai pas traité correctement. Et moi, je suis un salop qui fantasme qu'elle se soumette à moi.

Quel connard !

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⏰ Dernière mise à jour : Aug 14 ⏰

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