Chapitre DIX-HUIT

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Hongjoong

Hongjoong : I dont give a fuck about what you have to say !

Elle s'écroule de façon pitoyable au sol devant ses enfants et se met à pleurer désespérément, pensant que ca me fera changer d'idée, ai-je l’air si  faible !?  Je me met a rigoler en regardant  cette scène et lui agrippe violemment les cheveux pour lui remonter  le visage vers moi.

Hongjoong : Do you really think to act like this infront of your child it’s a good idea ? You shame them ! Act like a fuking adult  ! 

Sourire aux lèvres, j’augmente la puissance  de mon emprise sur ses cheveux. Elle est pitoyable, je ne crois pas avoir de meilleurs mots pour la décrire. Elle me dégoûte. Je crache devant elle et commence a la tirer par les cheveux afin de sortir de ce putain de  batiment, la laissant  trainer au sol. 

D'un coup, une silhouette prend place devant moi et m'empêche  de continuer mon chemin. Un autre citoyen qui semble être bouleversé par ce qui se passe. Encore mieux, deux pour  le prix d'un. J'ordonne à San de s'occuper de lui tandis que je continue mon chemin jusqu'à la fameuse pièce.

Elle hurle, elle pleure, elle se débat comme pas possible.. mais au fond, elle ne fait qu’augmenter mon profond désir de la  torturer. J’agrippe ses poignets, les soulève puis les attache au mur avec les  menottes en fer. Son corps n’est pas suffisamment soulevé pour ne pas toucher au sol, mais n’est pas également suffisamment bas pour toucher convenablement le plancher. En d'autre mot, elle doit se débattre afin que les menottes ne lui entre pas dans la peau. 

Je me tourne maintenant vers San pour lui ordonner de s'occuper du mec.  C’est tout simplement moins plaisant  quand je dois m’occuper de deux personnes en même temps et je préfère de  loin m’occuper de la meuf. Elles sont beaucoup plus sensibles et ne cacheront en aucun cas leur détresse.

La table derriere moi est remplis de toute sorte d'objet qui peuvent être utile pour de la torture. Je souris,le petit nouveau a bien fait son travail. Je lève les yeux, le cherchant du regard mais a ma grande surprise il n’est pas présent. Dommage, il ne pourra pas contempler mon travail bien réalisé  par le sien. J’agrippe le petit couteau pour commencer de façon plus légère et m'approche d’elle,  toujours le  sourire aux lèvres.

J'agrippe les bretelles de sa  robe et, d'un coup de couteau franc, je  les coupes  laissant ainsi sa robe tomber au sol et elle se retrouve aussitôt nue devant moi. Les yeux dans les siens, j’ai envie de rigoler. Son regard qui me supplie de la lâcher  mais son corps qui refuse de parler. Ses larmes qui ne font que couler a flot.  Ses lèvres tremblent sous le stresse et le surplus d'émotions.

Hongjoong : Putain que tu me fais pitier. Tellement pitoyable.

Le couteau caresse délicatement sa peau, puis la pression se fait de plus en plus forte jusqu'à déchirer sa chair. Ses hurlements sont  de nouveau au rendez-vous, que  le plaisir commence. Couteau, teaser de police, noyade temporaire, étouffement.. tout y passe. Son corps ne tient pratiquement plus, le sang coule de partout. Les menottes accrocher autour de ses poignets ont créé une chemin au travers de  sa chair.

J’agrippe le fouet et en la regardant droit  dans les yeux, je commence à la fouetter. Un coup par ci- un coup par la, de plus en plus fort. Le sentiment d’extase s'empare de moi et je ne peux tout simplement pas m'arrêter.  Son regard qui n’arrive meme pu a me demander de laisser tranquille, son  corps qui se laisse tomber dans le vide laissant les menottes s'enfoncer davantage dans sa chair.. se sang qui recouvre la majeur  partie de son corps, du mien ainsi que le mur et le plancher.. je suis en plein rêve.

Succomber à la noirceur *SeongJoong* Où les histoires vivent. Découvrez maintenant