- 𝑬 𝑵 𝑬 𝑴 𝒀 -

60

POINT DE VUE SOULEYMAN.

Ezio a réussi à passer sous le portail en métal de justesse. Je savais qu'il allait réussir, il est tellement agile. Peu importe ce qui se passe, il ne peut pas mourir, même avec une bombe nucléaire, il survivrait tellement il est tenace.

Je savais qu'il allait réussir, il a toujours cette capacité à s'en sortir dans les situations les plus difficiles, cet abruti.

Einar : Tu m'as fait peur, enfoiré ! Putain, tes vraiment tenace.

Ezio : On ne t'a jamais dit qu'on m'appelait Speedy Gonzales ? Ces idiots ne m'auront jamais.

Jasmeen : Tu peux m'expliquer qui t'appelle Speedy Gonzales ?

Ezio : Tu ne veux pas m'appeler Speedy Gonzales ?

Il dit ça en lui adressant un sourire en coin. Jasmeen roule des yeux alors que je me tends.

Moi : Rentrez tous.

Je dis cela fermement, il me regarde alors que je lance un regard à Omar, qui comprend immédiatement.

Omar : Allez, tous dans la voiture.

Il poursuit, tandis qu'Alaia fronce légèrement les sourcils en réponse au signe de tête d'Omar. Ezio se dépoussière les vêtements et fait un signe de tête aux autres, tous prêts à partir, quand Jasmeen se plante devant moi.

Jasmeen : Où est-ce que tu vas ?

Elle dit cela froidement, me scrutant de haut en bas, les bras croisés autour de sa poitrine, me questionnant du regard.

Moi : Tu n'as pas besoin de savoir.

Jasmeen : Bien sûr que j'ai besoin de savoir. Réponds à ma question. Où est-ce que tu vas ?

Elle insiste, déterminée à ne pas lâcher l'affaire, tout comme moi, je ne compte pas céder.

Moi : Rentre avec les autres.

Jasmeen : Où est-ce que tu vas ?

Moi : Si tu ne veux pas que je te balance sur mon dos et que je t'embarque de force, rentre.

Elle hausse les sourcils, mais reste toujours devant moi. Elle ne bougera pas tant que je ne lui aurai pas donné une réponse.

Je laisse échapper un soupir, sachant pertinemment qu'elle ne lâchera jamais l'affaire.

Moi : Je dois régler une affaire personnelle. C'est la seule chose que tu dois savoir.

Elle plisse des yeux, me regardant comme si elle essayait de lire en moi. Je reste impassible en la voyant si sérieuse, me retenant de rire.

Jasmeen : Tu m'énerves.

Elle dit cela en me toisant avec mépris. Je laisse échapper un sourire provocateur en coin.

Moi : Je t'ai déjà dit que t'énerver était l'un de mes passe-temps préférés, ma douce ?

Elle soupire, alors que je lui adresse un sourire en coin.

Moi : J'ai plein d'autres passe-temps à te présenter si ça t'intéresse.

Dis-je en lui adressant un sourire en coin. Elle roule des yeux avant de tourner les talons. Je la regarde s'éloigner, la scrutant de haut en bas alors qu'elle se dirige vers les autres.

Cette femme est irrésistible et inaccessible, et c'est justement ce qui m'attire chez cette garce.

Peu importe les efforts pour la séduire, elle reste toujours hors de portée. Elle fait comprendre à tous qu'elle est impossible.