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POINT DE VUE EINAR.







Je repense à ce qu'il s'est passé entre moi et Myabell ces derniers jours. Les souvenirs affluent, que ce soit nos conversations, nos rires ou même nos désaccords. Chaque moment semble chargé d'émotions et je me demande si j'ai pris les bonnes décisions à ce moment-là.

J'ai aimé l'embrasser, et si je devais le refaire, je le referais jusqu'à la fin de ma vie.

Ce moment était tellement intense et significatif pour moi. Chaque seconde était remplie de passion et d'une connexion profonde que je n'oublierai jamais.

Lorsque nos lèvres se sont rencontrées, j'ai ressenti une vague d'émotions qui m'a envahie. C'était comme si le temps s'était arrêté, et tout le reste avait disparu autour de nous.

Si j'avais l'occasion de revivre ce moment, je le ferais sans hésiter.

C'est une expérience qui m'a marqué et qui représente tout ce que je ressens. Je sais que ces sentiments resteront avec moi pour toujours, et je ne regretterai jamais d'avoir partagé ce moment avec elle.

Ezio : À quoi tu penses ?

Il me demande alors qu'on est en train de compter une liasse de billets, après avoir réceptionné une cargaison. Je pose les billets et pousse un soupir.

Nous sommes juste tous les deux, et j'ai besoin de me confier à mon grand frère.

Moi : À Myabell.

Il laisse échapper un rire et pose aussi les billets, me regardant avec curiosité.

Ezio : Vas-y, raconte.

Moi : On s'est embrassés.

Ezio : J'espère que tu ne puais pas de la gueule.

Moi : Voilà pourquoi je ne peux pas avoir de conversation sérieuse avec toi.

Il éclate de rire tandis que je le fusille du regard.

Moi : Elle m'a embrassée trois fois, donc je ne pense pas que je puais de la gueule.

Il hausse les épaules en le donnant raison alors que je roule des yeux de son comportement d'enfant.

Ezio : Et tu l'aimes ?

Je hoche la tête en laissant échapper un soupir. Son sourire taquin m'agace.

Moi : Dis quelque chose au lieu de sourire comme un idiot.

Ezio : Tu veux que je te dise quoi ?

Moi : Je ne sais pas, dis juste quelque chose. Tu me stress avec ton sourire, merde.

Ezio : Eh bien... faites des enfants maintenant.

Moi : Ferme-la, finalement.

Ezio : Allez, je rigole ! Mais sérieusement, tu devrais lui dire ce que tu ressens.

Moi : Je sais, mais j'ai peur de ce qu'elle va penser.

Ezio : Si elle t'a embrassé, c'est qu'elle ressent quelque chose aussi.

Moi : Je ne sais pas.

Ezio : C'est quoi que tu ne sais pas ?

Moi : C'est compliqué. Elle m'a dit des choses il y a quelque temps qui me laissent perplexe.

Ezio : Elle t'a dit quoi ?

Je laisse échapper un soupir, détournant le regard. Ezio, amusé, laisse échapper un rire moqueur.

- 𝑬 𝑵 𝑬 𝑴 𝒀 -Où les histoires vivent. Découvrez maintenant