Chapitre 19

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Le semaine ce fait ennuyante, on a eu quelque réunion de groupe mais rien de très passionnant. Ils nous ont averti qu'on aura une sortie la semaine prochaine. Cool! Ce sera en pleine semaine de cours. Ils sont vraiment con! Les connaissant on ne va pas rentrée tôt ni en bon état. En revanche j'ai eu de la chance qu'ils ne nous imposent pas un deuxième weekend d'internat. Parce que comme e l'avais prévu je rentre chez moi ce soir. On est vendredi après-midi et j'ai vraiment hâte de me casser d'ici. J'ai dis à mes parents que je finissais samedi vers midi et que je rentrerai à la maison vers 15h00 le temps de faire le trajet... Mais en réalité c'est parce que j'ai demandé à Josh, un anciens ami (mauvaise fréquentation à ce qui paraît) de venir me chercher avec sa moto. Il est en première mais je ne sais pas combien d'année il a redoublé. Il à 19 ou 20 ans si mes souvenirs sont bon.

Je viens te chercher à quel heure ?

Tiens quand on parle du loup.

Dans deux heure, il me reste le sport et j'ai fini.

Ok Staylon.

Il m'appelle plus souvent par mon nom de famille que part mon prénom. J'aimais pas ça au début donc il à continuer pour me faire chier mais j'ai fini par m'y habituer.

Je prend une bouffé d'air au sport, on fait du rugby et ça me fait un putain de bien de foncer dans le tas. Je me fais quelques bleus au passage mais j'en ai rien à foutre. Jusqu'à ce que quelqu'un fasse rencontrer son point avec mon œil. Putain de bordel de merde ! Ca me nique à mort. Je ne laisse rien paraître de plus qu'une grimace. Là maintenant, je n'ai qu'une envie c'est de faire passer l'envie à celui qui m'a fait ça de recommencer même si c'était un accident.

- Je suis désolé Nina, tu vas bien ?

Amy. J'ai envie de l'égorger, la décapiter ou l'éventrer. J'ai pas encore choisi ma stratégie pour l'assassiner. Je me redresse pour lui faire face. Un petit sourire hypocrite se dessine sur ses lèvres. La garce elle fait son élève model devant la prof mais elle viens de me faire un œil au bord noir. Merde!  Et sans que j'eu le temps de réfléchir je lui saute dessus. J'ai envie de dire chacun sons tour. Ca fait quand même deux fois qu'un se bat toutes les deux, si ça continue ça va devenir une habitude. Après quelques coups par-ci par-là, la prof ordonne à un de nos camarades de me tiré hors d'Amy pendant que la prof s'occupe d'elle.

- Mais vous êtes malade ou quoi ? Allez vous rhabiller et filez chez le directeur, nous gueule la prof, Rose tu les accompagne, on ne sait jamais.

Nous marchons de chaque côté de Rose, le plus éloigné possible. Dans les vestiaires règne une atmosphère pas des plus plaisante. Personne ne parle jusqu'à ce que Rose brise le silence.

- Regardez moi ça, la nouvelle du lycée qui est devenu Perfect, se bat avec une Ancienne. C'est à mourir de rire. Surtout que celle-ci en pince pour le copain de l'autre.

Elle part dans un rire bizarre. Vraiment bizarre. Je ne saurai même pas décrire comment il est, c'est très étrange. Amy l'a remarqué aussi, elle me regarde avec un regard disant elle est taré celle-là. Je soutiens son regard signifiant que je suis d'accord avec elle.

- Vous êtes pas très bavarde.

Bien! Tu as un don d'observation toi! Avant que j'eu le temps de préparer une remarque bien sanglante Amy me devance en répondant.

- Depuis quand tu te permet de nous parler ? On est pas du même monde alors oublie nous et on oubliera que tu as essayer de discuter avec des perfects. Ca pourrait très mal se finir pour toi sinon.

- Vous me faites marrer avec vos règles à la con.

Amy me regarde de nouveau et m'averti cette fois de ne pas essayer de lui adresser la parole. Rose fait un monologue tout le trajet qui nous mène au bureau. Dans le vestiaire la tension entre Amy et moi s'était un peu calmé à cause de Rose mais plus nous nous rapprochons du directeur et plus l'atmosphère s'électrise. Ce n'était juste une trêve pour défendre le groupe dans le quel nous sommes toutes les deux.  Juste avant de franchir la porte du directeur Amy me fusille du regard. Je crois qu'elle veut que je me la ferme mais elle rêve. Ma haine envers elle est revenue aussi vite qu'elle était parti. Je suis plus remonté que jamais.

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