Chapitre 26

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Je me réveille pour la deuxième fois. On m'a changé de place, je suis allongé et attaché par les pieds et les bras en une sorte de croix. Je commence à paniquer et à manquer d'oxygène à cause de ce truc de merde qu'ils ont foutu dans ma bouche. Je bouge dans tous les sens pour essayer de libérer mes poumons et de leur fournir de l'oxygène. Je n'arrive pas à respirer par le nez. Je pousse des cris étouffé par le chiffon. 

- Putain, bordel de merde! Qui lui a foutu ça dans la bouche, bande d'abruti. 

Ça voix me dis quelque chose mais je suis encore trop dans le brouillard pour l'identifier à un nom. Pourtant cette voix appartient à celle de mes cauchemars. Je me vois dans mon pire cauchemar à ses côtés et une crise reflet surface. Il m'enlève le chiffon mais c'est déjà trop tard. J'essaie par tout les moyen de faire revenir ma respiration à la normal mais rien n'y fait. Mon bars ne répond plus, ma bouche s'engourdit et plus aucun mot n'en sort. Les larmes me coules le long du visage ce qui veut dire qu'il m'a enlevé le bandeau. 

- Nina, non s'il te plait ne recommence pas... Je t'en supplie répond moi. 

Il me détache les poignées qui étaient sans doute ligoté au barreau du lit, à supposé que ce soit un lit. Il exécute le même procédé avec mes chevilles mais plus pressé cette fois. Je suis toujours dans ma fasse manque de respiration et contrairement à d'habitude, elle persiste. Je n'arrive pas à en sortir et je n'ai toujours aucun effet de ma migraine. Je panique encore plus. Je sens ma tête tourner. 

- Nina pardonne-moi... Reviens moi. 

Je l'entend me supplier. Je ne sais même pas ce qu'il attend de moi, je suis entrain de suffoquer et il me demande pardon. Emmène moi à l'hosto bordel! A moins que tu veuille une mort sur la conscience. Mes poumons font rage, je ne peu plus les alimenter et pour la troisième fois il me semble que je retombe dans les vapes mais juste avant un masque viens se poser sur mon visage.  

De l'aire m'arrive enfin. Je respire de grande goulée d'oxygène, j'ai l'impression que mes poumons sont comme mon ventre, ils ont faim! Je me sens en quelque sorte revivre. Après un long moment à respirer, dormir même, je reprends des force et je suis prête à rouvrir mes yeux. Autant en profiter pendant que rien ne me cache la vue. 

- Tu vas bien ? 

Qui a osé me poser CETTE question ? S'il vous plait! Je me fais enlever et on me demande, enfin mon agresseur me demande si je vais bien ? Il se croit où ? chez caméra caché ? vidéo gag ? Ça relève du niveau quand même là. 

- Oh bah oui, je pète la forme! 

Sarcastique comme à mon habitude. La voix que je n'ai pas pus dire qui s'était s'approche de moi. Je referme les yeux. Je sais qui sais. Je le sais au font de moi mais je n'ai pas envie de l'admettre. J'ai envie de me tromper et lorsque je verrai son visage, je ne pourrai plus me mentir à moi même. Ce serait bien réelle. 

Il s'assied sur le lit et me prend les bras. Un mouvement d'auto-défense me reviens en souvenir. Je lui colle un coup de poing dans la mâchoire tout ça à l'aveuglette. Bravo Nina!

- Arrête. 

Bien-sûr, je vais t'écouter, mais il a perdu un neurone dans la bataille où ça se passe comment ? 

- Ouvre-les yeux. 

Je n'obéis pas aux ordres, Qu'est ce qu'il e comprends dans cette phrases. Bon okay depuis tout à l'heure je la pense et ne l'ai dis pas mais il devrait comprendre quand même. Il m'a enlevé putain. 

Il me saisit la main que je retire aussitôt mais il me l'accroche fermement, tellement fort que je ne peu l'en retirer. Il me passe un bracelet, c'est froid. On dirait une menotte, c'est ça il me rattache. Aucune pitié le mec, je viens de pratiquement crever sous ses yeux et c'est déjà fini. 

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