Perfect school

Chapitre 17

J'ai l'impression qu'un camion m'écrase la tête, c'est horrible! J'ouvre mes yeux difficilement après avoir fait mainte et mainte essaie pour décoller mes paupières. A première vu je vois beaucoup de personnes allongé à différents endroit dont un qui a ses jambes emmêlés au miennes. Je me relaisse tomber sur le sol pour essayer de me rappeler avec qui je suis. Ah oui c'est les membres de mon groupe... Mais c'est qui à côté de moi ? je n'ai aucune affinité avec aucun des gars... Mis à part Hugo à un moment mais... Je rouvre les yeux et vois en effet la masse brune de cheveux rebelle d'Hugo. Qu'est ce qu'il fou torse nu lui ? Il est collé à moi torse nu ? Des papillon débarque pour me retourner le ventre dans tous les sens. Je vérifie que tous mes vêtements soit présent, Je ne me souviens que d'une chose, il a pensé à me violer. Je porte un t-shirt... trop grand, beaucoup trop grand. Je le reconnaitrais entre mile, c'est celui de mon voisin. Oh mon dieu pourquoi je porte seulement son t-shirt et mes sous vêtement ? Expliquez moi où sont passé mon jean, débardeur, basket ? Parce qu'à mon avis vu l'état dans le quel j'étais j'aurai du dormir avec mes Vans.

Au lieu de trop vite tirer de conclusion attife, je décide de secouer doucement Hugo pour qu'il se réveille et m'éclaire l'esprit. Bien que je n'ai pas le moins du monde envie de lui parler. J'ai peut être fais des conneries hier mais il ne change en rien à mes yeux. C'est toujours le connard qui ma menacé de me violer.  

- Oh réveille toi!

Il grogne mais ouvre un yeux puis l'autre. Argh! Il me donne envie de rire alors que je suis censé jouer les dur pour savoir ce qui c'est passé hier soir. 

- Pourquoi tu me réveille, viens te rendormir avec moi. 

- Non mais je rêve tu ne crois pas sérieusement que je vais dormir avec toi, un connerie à la fois s'il te plait. Je te rappelle qu je te hais. 

Il ignore la dernière partie de ma phrase et se redresse. 

- Pourtant ce n'est pas se que tu disais quand tu criais mon nom hier soir. 

Je sens mon sang se vider de ma tête et devenir totalement livide. Il part dans un fou rire et je me rend compte que ce n'est pas vrai, qu'il ne m'a pas touché... Enfin pas trop. 

- Je te signale que c'est un sujet sensible. 

Je le foudroie du regard me rappelant la scène devant ma chambre. 

- Tu veux savoir quoi ? 

- Ce qui c'est passé hier soir. 

- Harry est à l'hôpital pour avoir fais un coma idyllique et quant à toi tu m'as sauté dessus.  

Mon cœur rate un battement. Quoi ? à l'hosto ? Mais c'est le Harry d'Anna. Oh mon dieu elle doit être traumatisé. Tant pis pour ce qui c'est passé hier, de tout façon c'est fait et j'ai tout le temps d'en apprendre d'avantage. Pour l'instant il faut que j'apporte mon soutiens à mon amie. 

Je me dépêche d'enfiler mon slim (je me le suis approprié) qui était à côté du lit.. Il va falloir que je sache plus de ce qui c'est passé hier soir. Le tu m'as sauté dessus ne me rassure pas vraiment. Je sais comment je suis quand j'ai trop bu, enfin mes anciens potes m'ont fait part de ce que j'avais fait et ça peut très mal tourné avec moi. 

J'essaie d'oublier le trou dans mon estomac qui veut dire que je meurs d'inquiétude à l'idée d'être allé trop loin avec Hugo. Et en même tant j'ai envie de m'arracher le crâne à cause de ce stupide mal de tête que j'ai du à l'alcool. Je cours pour ne pas louper le dernier bus qui passe avant midi. Merde! je ne vais pas pouvoir me payer mon ticket, je n'ai rien pris et... Et je suis resté avec le t-shirt d'Hugo. Je suis la dernière des blondes! Je monte quand même de toute façon je verrai bien s'il y a un contrôleur. Pour une fois j'ai de la chance, j'arrive sans aucun problème à l'hôpital. Tout le monde me dévisage... Je vais voir mon reflet dans le miroir des toilettes et je comprends mieux pourquoi.. J'ai une mine affreuse: les cheveux en pagaille, le maquillage noir corbeau s'est étalé sur une bonne partie de mon visage, des d'horrible cernes encerclent mes yeux. Je ne vous raconte pas avec ma tenue, slim troué plus t-shirt trop grand qui visiblement ne m'appartient pas. On croirait que j'ai passé la nuit dehors à me droguer en de très mauvaises compagnies.