Ces larmes salées roulants, glissants, le long de ces joues.
Ces spasmes fréquents et les lèvres sèches et rêches.
Le corps tremblant et la tête pivotant.
Les crises de sentiments arrivent de plus en plus souvent, comme ça, sans avertissement.
L'adolescence, disaient les parents, ou les règles, argumentaient les mamans.
Mais ce n'était que le cœur battant, lui qui devenait trop gros.
Ces crises causants la tristesse et la faiblesse.
Ces crises libérants la souffrance ambiante.
Les perles salées dévalants encore ce visage autrefois souriant.
Et l'enfant, devenu adolescente, priant pour survivre face aux changements dans sa vie.
Son existence pénible aux multiples facettes, toutes plus méprisantes.
Ce n'était pas fini.
La chagrin mis à l'avant, les mensonges rebondissants.
Elle partageait ses sanglots avec elle-même, écoutant les gens la critiquer.
Sans pour autant vraiment s'en soucier. Sauf pour le plus blessant.
Et son monde s'effondrait, lentement mais sûrement.
Pour laisser une enfant sans défenses, essayant de se dégager de cet enfer.
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Textes d'une idiote
ŞiirNDA : Ces textes sont le produit de la 13-14-15 ans que j'étais. Ils ne sont pas corrigé depuis leur publication, donc soyez indulgents. Certains sont bons, d'autres pas, à vous de juger. « Le cycle ne s'arrête pas. Ça clique ou ça clique pas. Passe...