Touche moi, allez touche moi.
Pose ta main sur mon corps, juste un doigt ou même un cheveux.
Fais juste me toucher, allez.
Je veux sentir ta main sur mon corps, tes bras forts autour de mes reins ou de ma cage toracique.
Je veux sentir ta chaleur et la douceur de ta peau.
Je veux plus que des mots.
Je ne veux que ton poids sur moi.
Que mes os en ressentent la douleur.
Que mon cœur palpite et me fasse mal quand tu es avec moi.
Je veux que tu te colle à moi, que ta voix me souffle des paroles à l'oreille tellement près que je pourrais sentir tes respirations faisant bouger mes cheveux.
Je veux que nos corps s'enchaînent, qu'ils ne forment qu'un.
Alors touche moi, embrasse-moi.
Fais ce que tu veux, je veux juste sentir les papillons me déchirant le ventre et prenant la place de mes organes.
Embrasse-moi à m'en mordre les lèvres, touche moi jusqu'aux endroits les plus intimes.
Je veux juste que tu me touche.
Je veux ta main dans ma chevelure, ta jambe sur ma cuisse, tes bras entourant mon ventre.
Fais-moi une étreinte, tu peux même me briser le dos.
Fais juste me câliner, me toucher.
Je veux une infinité de rapprochements physiques.
Pose tes lèvres sur moi, n'importe où je m'en fou.
Fais juste mettre fin à cet espace entre nous.
Je ne veux plus de tes regards lourds emplis de sous-entendus.
Mets fin à tes désir et fais action.
Maintenant, embrasse-moi.
Aller, encore une fois.
Je ne peux t'aider, je suis scotchée au sol, immobilisée par cet élixir de désir.
Je veux saisir ton cou et le parsemer de marques violacées.
Ça me ronge de l'intérieur.
Tu reste là et tu me regarde, alors que moi j'ai envie que tu me prenne et me colle au mur.
Que tu n'ai plus possession de ton corps, que seul lui soit maître de tes actions.
Je veux que le désir soit trop grand.
Ne t'arrête pas de me toucher, je ne pourrai pas survivre sans tes lèvres au goût salé, sans ton torse collé au mien.
Ma poitrine est oppressée et je meurs d'envie de t'arracher les tissus recouvrant ton corps.
Ne me laisse pas tomber, mon cœur va lâcher sinon.
N'ai pas peur de t'aventurer, je ne vais point te repousser.
Continu de me toucher et je serai comblée.
Comme ça, embrasse-moi tendrement et doucement, laissant l'envie prendre les devants.
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Textes d'une idiote
PoesiaNDA : Ces textes sont le produit de la 13-14-15 ans que j'étais. Ils ne sont pas corrigé depuis leur publication, donc soyez indulgents. Certains sont bons, d'autres pas, à vous de juger. « Le cycle ne s'arrête pas. Ça clique ou ça clique pas. Passe...