Un drame, une larme, puis une lame.
Une faille, une entaille, ça déraille.
Une goutte, deux gouttes et trois gouttes.
Un enfer, c'est amer, ça dégénère.
Un mot, c'est trop, c'est gros.
L'intimidation, ça en dit long.
La mutilation, ne doit pas être motivation. La mutilation ne doit pas motiver, influencer les agresseurs à arrêter. La mutilation ne doit pas être la cause de la prise de conscience, de même que le suicide. Les sentiments sont translucides, mais les marques, elles, sont visibles. L'intimidateur ne doit pas voir les marques pour réaliser son gâchis. Il doit réaliser ses erreurs, car il sait au fond de son cœur que c'est mal. Il doit souffrir de l'intérieur. Alors c'est trop facile de lui montrer ses marques. La victime doit se sauver. Et laisser passer cet intimidateur. En gardant la tête haute.
Une larmes séchée, un sourire collé.
L'esprit retourné, une démarche assurée.
Les lèvres pincées et des regards étonnés.
Sentiments cachés, lame débarrassée.
Cicatrices réparées.
Intimidateur éloigné.
Une vie sans soucis.
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Textes d'une idiote
PoesiaNDA : Ces textes sont le produit de la 13-14-15 ans que j'étais. Ils ne sont pas corrigé depuis leur publication, donc soyez indulgents. Certains sont bons, d'autres pas, à vous de juger. « Le cycle ne s'arrête pas. Ça clique ou ça clique pas. Passe...