Vous savez, ce sentiment?
Celui où l'on a simplement envie de s'arracher la peau avec les ongles.
Qu'on veut se donner des tonnes et des tonnes de gifles jusqu'à a puisement.
Ce sentiment où l'on est déçu de soi-même.
Où il est tellement difficile de se regarder dans le miroir sans vouloir vomir après.
De vouloir s'arracher le cœur, tailler ses veines et perdre la raison.
Vouloir sortir de notre corps oppressant.
Ce sentiment bien trop influent.
Ainsi que la façon dont on se perçoit.
Quand on se rabaisse et on s'insulte sans raison apparente.
Le même sentiment qui hante notre cœur et bouffe notre joie.
Quand on ne veut même plus sortir de la maison ou parler à nos amis.
Il est déchirant et ça devient tellement épuisant.
Fatiguant d'essayer de paraître bien.
Car, ce sentiment va probablement rester là longtemps.
Les dégâts qu'il fera vont être apparents.
Vous savez, ce sentiment?
Quand on ne veut plus être nous.
Où l'on envi les autres à un tel point que l'on s'oubli soit-même.
Cette impression dégueulasse de déplaire à tout le monde et de ne compter pour personne.
Putain, y en a marre de ce sentiment.
La sensation d'être une tache et d'énerver tout notre entourage.
Quand on regrette d'être la personne que l'ont est.
Décidément, le sentiment est malsain.
Il rend ses possédants fous.
Et ceux-ci ne font que tomber encore plus bas.
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Textes d'une idiote
PoetryNDA : Ces textes sont le produit de la 13-14-15 ans que j'étais. Ils ne sont pas corrigé depuis leur publication, donc soyez indulgents. Certains sont bons, d'autres pas, à vous de juger. « Le cycle ne s'arrête pas. Ça clique ou ça clique pas. Passe...
