Mes larmes gracieuses et silencieuses. Quelques fois malheureuses et d'autres fois heureuses. Mes larmes qui creusent plus profond dans mon cœur quand rien ne sort. Quand tout ce retient. Mes larmes et mes états d'âmes ambigus, mais ni vus ni connus. Avec cette haine malsaine et cette rage sauvage qui flamme en moi. La tristesse qui caresse mes journées. Bouleverse mes soirée quand j'y pense trop. Quand les larmes finissent par couler. Lentement, laissant un filament salé sur mes joue rosées. Ma colère ne fait que s'accroître encore et toujours, elle sort de sa boîte. Dès que le soleil est couché, tout semble me retomber dessus. Tout devient superflu. Dans cette grande étendue, je ne semble que de plus en plus perdue. Avec ces larmes qui roulent, s'écoulent lentement mais sûrement. Dans le silence oppressant, grandissant avec le temps. Mes larmes autant élégantes que dégoûtantes. Et mes larmes de colères. Par terre, elles s'écrasent lourdement. Sans bruits. Sans soucis pour trouver la sorties de mes yeux, pour gravir la barrière de mes paupières. Mes larmes qui n'en font qu'à leur tête, me faisait paraître pour une petite sensible. Ce sont des larmes qui ne cessent de couler, qui me sont impossible d'arrêter. Je vois tout embrouillé, mes joues sont mouillées. Mouillées par mes larmes gracieuses et silencieuses, coulant jusqu'à épuisement.

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Textes d'une idiote
PoetryNDA : Ces textes sont le produit de la 13-14-15 ans que j'étais. Ils ne sont pas corrigé depuis leur publication, donc soyez indulgents. Certains sont bons, d'autres pas, à vous de juger. « Le cycle ne s'arrête pas. Ça clique ou ça clique pas. Passe...