La tête dans les nuages,
Le cœur n'est que mirage.
Les pieds au rivage,
On rend hommage,
À cette personne prise en otage,
Entre la vie et la mort.
Un si jeune âge,
Pour cet enfantin visage.
Battant pour la survie,
N'étant pas totalement en vie.
Elle partira,
Cette personne s'en ira,
Car son heure aura sonné.
En attendant, les autres pleurent ce corps abandonné,
De sa douce personnalité.
Ils rendent hommage au garçon à l'hôpital,
Ayant mal pour lui,
Ayant mal pour eux.
Ils réalisent que le corps,
Couché sur ce lit laid,
Garde emprisonné entre des murs épais,
Les valeurs de ce bonhomme parfait.
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Textes d'une idiote
PoetryNDA : Ces textes sont le produit de la 13-14-15 ans que j'étais. Ils ne sont pas corrigé depuis leur publication, donc soyez indulgents. Certains sont bons, d'autres pas, à vous de juger. « Le cycle ne s'arrête pas. Ça clique ou ça clique pas. Passe...
