I'm in love with a vampire.[D.S]

Damon's call And Klaus theatens

Mon père s'assit au bord du lac et m'invita à faire de même.

Papa : Tu l'as bien remis à sa place tout à l'heure, il n'avait pas à t'attaquer il n'en a fais qu'à sa tête.

Moi : Celui qui a faillis me tuer ? C'est la moindre des choses que je pouvais faire à part lui arracher un bras.

Il rit légèrement et bus une gorgée de sa bière.

Moi : Rassure moi tu n'es pas devenue alcoolique ?

Papa : Non, ne t'inquiète pas. Mais je voulais savoir comment tu es devenue une louve.

Je baissais le regard vers le lac.

Moi : Comme tout le monde...en tuant quelqu'un.

Papa : Je veux savoir comment ça s'est passé, je veux tout les détails.

Je soupirais.

Moi : C'était dans une voiture, j'étais avec un ami et je suis sortis de la route, le choque a été tellement fort qu'il n'a pas survécu.

Mon père me regarda tendrement.

Papa : Je suis désolé de ne pas avoir été là pour toi.

J'essuyais du revers de ma main quelques larmes qui avaient coulés.

Moi : Arrêtons de parler de ça, racontes moi comment c'est de vivre dans une forêt.

Papa : Et bien ce n'est pas aussi facile que ça en a l'air, les écureuils sont très embêtants des fois.

On éclata de rire pendant une minute quand mon téléphone sonna.

Moi : Je vais aller répondre.

Je m'éloignais un peu en direction de la forêt et décrochai.

Moi : Allo ?

... : Devines qui t'appel d'une cabine téléphonique à coté d'une station de service au beau milieu de nul part ?

Moi : Damon ? Tu n'es plus à Mystique Falls ?

Damon : Je suis allé faire une petite course pour Stefan, tu le connais il n'est jamais content.

Moi : ça va aller là-bas, pas d'hérétiques trop capricieux ?

Damon : ça va mieux les choses sont plus calmes, et en Nouvelle-Orléans ça avance ?

Moi : Si on veut...

Je sentis un courant d'air derrière moi. C'était Klaus.

Moi : Je dois te laisser, à plus tard.

Je raccrochai et me retournai pour lui faire face.

Klaus : Depuis quand connais-tu Damon Salvatore ?

Moi : Depuis quand toi tu le connais, et puis ça ne se fait pas d'écouter les conversations des autres.

Il me sourit moqueusement. Je me rapprochai un peu du camp et entendis une conversation entre mon père et un autre homme.

... : Gregorio, l'originel ne peut pas rester, le bayou est interdit au vampire, c'est la règle.

Papa : Je le sais bien.

Je me tournai vers Klaus qui avait surement tout entendus, il s'approcha et presque tout le monde recula en arrière.

Klaus : Si cela vous pose problème que je sois ici dites-le clairement.

Il les regarda d'un air noir.

... : Nous ne voulons pas de vampires ici !

Des veines apparaissaient sous ses yeux qui devinrent doré, des crocs remplacèrent ces dents et il s'approcha encore plus lentement des loups.

Klaus : Personne et je précise bien personne n'est en droit de me dire où je dois être et ce que je dois faire, et pour vous le prouver...

Il vint vers moi rapidement et mit son bras sous mon cou. Ma respiration s'accéléra et j'essayai de me dégager de son emprise mais il était malheureusement beaucoup plus fort que moi.

Papa : NON ! Lâchez-la, je vous en pris.

Je regardais mon père d'un air effrayé tandis que mon cœur martelait rapidement dans ma poitrine, j'étais à 100% sûre que tous les loups présents pouvaient l'écouter battre.

Klaus les dévisagea rapidement et desserra son emprise autour de mon cou.

Je partis rapidement me réfugier dans les bras de mon père et essayai de reprendre une respiration plus au moins régulière. Je fermai les yeux une seconde pour reprendre les esprits et quand je les rouvris Klaus était déjà parti.