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Vers les environs de deux heure du matin, j'ai entendu des hurlements animaux. Des cries douloureux, perçant, déchirant. Je me suis levée dans la panique, j'ai allumée les lumières au risque de m'aveugler et j'ai couru dans les couloirs. Je savais d'où venais ces cries, ils venaient de la chambre du blesser. Nona était sensée le surveiller pour la nuit, mais de toute évidence elle ne l'avais pas fait. Quand je suis arrivez dans sa chambre, j'ai remarquée que Nona n'était pas là. Elle m'avais mentit. Je ne me suis pas attardez sur ça, j'ai préfèrez m'occuper du garcon. Celui ci continuait de crier, il hurlait en se débattant contre une force invisible. Il semblais souffrir. Je ne savais pas quoi faire, j'était complètement perdu face à une reaction comme ça.

Alors, j'ai essayée de regardée si l'une de ses blessures ou de ses plaies avait été ouverte. Je me suis précipité sur le lit, essayant de bloquer ses bras sur le matelas pour ne pas qu'il me fasse du mal, mais il bougeait beaucoup est avait également beaucoup de force. Quand j'ai frôlez sa peau, j'ai été surprise de constater qu'elle était brûlante désormais. Quelques temps auparavant elle était complètement gelée, c'était quand même dingue qu'en quelques heures seulement elle est augmentée à ce point. Il fallait que je surveille ça. Aucune de ses blessures n'avait été touché, il n'avais rien mais continué d'hurler. Peut être faisait-il des cauchemars ?

J'ai pensée à la première chose qui me rassurait moi même lorsque je faisait des cauchemars, je me suis installée à côtez de lui sur le lit, j'ai passé un bras au tour de sa tête et je l'est pris contre moi, collant son oreille contre mon coeur. D'un geste doux, je lui est caresser les cheveux du bout des doits dans le but de le calmer un peu . C'est ce qu'il a fait, plus un son n'est sortit de sa bouche et il a arrêtez de ce débattre. Je savais que le battement lent et régulier de mon coeur était un son qui pouvais le calmer facilement. Comme il aurait calmée un petit enfant paniqué qui cauchemardé, c'était a ça qu'il ressemblait à l'instant même. Dans mes bras, il avait l'aire tellement fragile et effrayé. Son visage était plus doux que tout à l'heure, il semblais être plus serein, comme en paix. J'ai continuée de lui caresser les cheveux, qu'il avais doux, lui caressant parfois même le visage.

Il devait bien avoir une famille ce garcon sortit de nul part, des amis et qui sais sûrement une petit-amie aussi alors pourquoi se retrouvait-il abandonné à présent ?
Je me suis imaginé sa famille, dans leurs maison , en train de s'imaginer le tas de chose horrible qui aurait pu arrivez à leurs fils, loin de s'imaginer qu'une adolescente comme moi l'avais recueillie pour le sauvez de la mort.

La chaleur qu'émanait son corps était agréable , délicieuse, hypnotisante. Sûrement anormalement trop élevé pour un garcon normale, mais tellement agréable. J'avais envie de me laissée sombrez dans cette chaleur engloutissante, comme on s'engouffrai dans les ténèbres , me laissant enveloppé par cette vague chaude et confortable. Mes paupières mon paru plus lourde et m'a tête à basculer vers l'avant à plusieurs reprise, jusqu'à ce que j'abandonne complètement, m'endormant entièrement avec dans mes bras, un inconnu.

Quand j'ai ouvert les yeux au petit matin, notre place n'avais pas changé. Sa tête était toujours posé à l'endroit où se trouvait mon coeur, l'un de ses bras enroulait désormais ma taille et la couverture était sur le sol de la chambre. La température de son corps semblais être toujours la même, toujours trop élevé par rapport à la normale. Avec douceur et le plus de discrétion dont je pouvais faire preuve, j'ai poussé son bras de sur moi, j'ai aussi remplacer ma poitrine par une oreiller. J'ai ramassé la couverture traînant sur le sol pour recouvrir son corps, presque aussi dénudé que lorsqu'il était dans la forêt d'ailleurs. A l'exception près, qu'il portait désormais un short.

J'ai descendu les escaliers à toute vitesse, j'hesitait à dire si j'avais ou non bien dormit. La position dans la quel j'était m'avais un peu esquinter le dos, mais la chaleur que me procurait son corps avait été comme une couverture pour moi. Je fronçais les sourcils, décidément sa chaleur corporel était à examiner.

Je brûlait d'impatience à l'idée de prévenir Lexy de ce que j'avais fait la veille. J'avais tout de même sauvé la vie de quelqu'un, ça n'arrivait pas tout les jours. Je souriait en imaginant la scène d'ici, elle arriverai à toute vitesse dans le salon et me poserait un tas de question. Comme elle le faisait.

Quand Nona est arrivé dans la cuisine, je ne l'est pas salué. Je ne l'est pas regardé non plus, je me suis contenté de faire comme si elle n'existait pas. J'était fâché contre elle, elle avais  toute ma confiance et pourtant elle m'avais trahit. J'employait de grand mot, mais c'était ce que je ressentait.

«-Je ne vais pas m'excuser si c'est ce que tu attend. A t-elle dit en préparant son petit déjeuner. Je ne voulais pas l'amener ici, encore moin passée ma nuit près de lui. En faite, je pensais qu'il allait mourir.

Je ne l'est toujours pas regardé, m'occupant à préparer correctement mon bol de céréales et de lait.

-Je ne veux pas le tuer je t'assure. A t-elle soupirez. Mais c'est un étranger comme je ne les aimes pas, il n'aportera que du malheur sur nous ! Ce n'est pas bon !

Tout un tas de sottise au quel je ne croyais pas du tout. Moi et Nona étions tellement différente que je me demandais souvent comment on faisait pour s'entendre à la longue. J'ai saisie mon bol de céréale et j'ai fait ce que Nona détestait que je fasse. J'ai continué à l'ignorez en plus d'aller prendre mon petit-déjeuner sur le canapé du salon. Les jambes en tailleurs, le bol en leurs centre, j'ai allumé la télé-vision sans m'y intéresser vraiment. J'ai en suite entendu Nona faire des aller / retour à l'étage.

-Je vais en ville. A t-elle déclaré en enfilant son énorme menteau, se pointant devant ma télé. Si tu a besoin de quelque chose, c'est le moment ?

-Écarte toi, je vois rien. Ai-je dit sans croiser son regard.»

Heureusement que les regards ne pouvait pas tuer, car le regard que me jetait Nona à cette instant était si violent que je pouvais le voire sans le regardez. Je le sentait. Elle est partit en claquant la porte, une sortit théâtrale qu'elle réservais seulement quand elle était fâchée. Mais elle n'avais aucune raison de l'être contre moi, c'était moi qui était fâché contre elle plutôt. Je suis en suite montée dans ma chambre pour saisir mon portable et pianoter en vitesse un message à Lexy.

"A Lexy 👭❤️ :

Viens me voire, j'ai quelque chose à te montrée ! Tu ne sera pas déçu . "

Ce texte paraissait peut être froid, contrairement au tas de smiley qu'on s'envoyait par jour, mais il fallait bien ça pour qu'elle comprenne que j'étais sérieuse.

The Only Alpha - Theo RaekenOù les histoires vivent. Découvrez maintenant