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Le soleil peinait à nous éclairez à travers la fenêtre , iluminant à peine la pièce par sa faible lumière. Mais j'en avais bien assez, je pouvais facilement devinez les formes du visage de Theo, toujours paisiblement endormi. Ses mains me tenais toujours fermement la taille, une de mes jambes était entre les deux siennes. C'était une position particulière de la quel j'était prisonnière, et pourtant, je me sentait bien. La chaleur que rependait son corps contre le mien était agréable, elle me réchauffais comme il fallait. Heureusement qu'il avait été là toute la nuit d'ailleurs où je serait morte de froid avec la cheminée qui s'était éteinte. J'observais son visage , si doux, si angélique. Bien loin de celui que j'avais vue dans mes rêves. Il semblait si bien là, serein. Ma main était poser sur son torse, je sentait son coeur battre à une vitesse lente et régulière. Son souffle chaud me balayait le visage. Légèrement hésitante, j'ai levé la main à la hauteur de son visage, puis je lui est caressée la joue, doucement. Je ne voulais pas le réveillée , mais c'était plus fort que moi, j'avais envie de le toucher. Alors j'ai dessinée la forme de son visage avec mon index, puis quand je fut près de son oreille, j'ai repris mes caresses et à mon grand étonnement, j'ai pu apercevoir un léger sourire ce dessinée sur ses belles lèvres. Laissant ma main où elle était, à mi chemin entre sa joue et son oreille, mes yeux se sont attardé sur ses lèvres. C'est fou comme elles avait de l'effet, sur les miennes entre autre. Mon bassin à vibrez étrangement quand il s'est mis à bouger contre moi. L'une de ses mains et doucement glisser jusqu'à mes fesses, restant ici. Non, là il ne dormait plus. J'ai levé les yeux, légèrement amusé car il faisait toujours comme s'il dormait.

«-Hé. J'ai chuchoté en lui touchant le bout du nez de mon index. Tu ne dort pas, je le sais.

-Grillé. A-t-il soufflé en ouvrant un oeil, puis l'autre , tout en douceur.

-T'a main s'il te plait. Remonte là.

-Elle se trouve bien ici. A-t-il dit en fermant les yeux, ses lèvres s'étirant en un large sourire.

-Mais elle me gêne. J'ai râler.

-Continue. A soufflé Theo calmement, les yeux toujours clos.

-Continuer quoi ? J'ai arqué un sourcil.

-Ce que tu me faisait, t'es caresses.

J'ai sourie et je me suis exécuter. Je me suis mise à redessiné les traits de son visage a l'aide de mon index, puis finalement, c'était tellement tentant que j'ai même frôler ses lèvres. Alors que je continuais à lui caresser le visage, je me suis attardé sur ses dernières, comme si j'essayais de m'en rappeler le goût, et je me suis mordu la lèvre inférieur. Grosse erreur. Il a grogné et a ouvert un oeil.

-Luna. A-t-il soufflé. Je t'ai déjà expliqué l'effet que tu me faisait ?

-Je suppose. J'ai répondu en hochant les épaules naïvement.

-Arrête de te mordre la lèvre. Il m'a ordonné en refermant les yeux, serrant ma taille contre lui.

Je ne l'ai pas écouté, a l'instant où ses paupières se sont fermé, je me suis mordu la lèvre inférieure, souriant intérieurement. Je ne me suis pas rendu compte du comment, je n'ai pas calculer la vitesse. Il se retrouvais au dessus de moi, ses bras de part et d'autre de mon visage, le souffle saccadé comme si il allait me dévorez, ses yeux me fixant avec intensité. J'aurai jurez pouvoir y voire une flamme danser.  Mon coeur battait à tout rompre, je n'avais rien eu le temps de comprendre. Calmant sa respiration, il s'est penché sur moi. Son souffle me chatouillait le visage, j'avais véritablement envie de ses lèvres. S'est alors qu'il les a plaqué sauvagement sur les miennes, lâchant un drôle de grognement tout aussi sauvage que son geste. J'ai enfouis mes mains dans ses cheveux en me laissant aller, allant même jusqu'à introduire de moi même ma langue dans sa bouche. Mais c'était tellement bon. Comme si un feu d'artifice explosait en moi. Puis, doucement , retenant ma lèvre inférieur entre ses dents, il s'est séparé de moi. J'aurai presque grogné de mécontentement si j'avais été comme lui. Il s'est redressé pour s'étirez, debout devant moi. Puis je l'ai imiter, il était peut-être temps pour nous de rentrez maintenant. J'ai ramasser les plaids et essayer de rendre le chalet dans le même état qu'il était lorsque nous y avons les pieds, ce qui n'a pas été difficile. Puis, nous sommes sortit tout les deux , j'ai fermer la porte à clé derrière nous et l'est remise à l'endroit où elle était sensée ce trouver. Silencieusement, nous avons repris la route pour rentrez chez moi. Nona allait nous tué tout les deux, c'était certain et je lançais un dernier regards en direction du chalet et des sources chaude s'y trouvant non loin. Il s'y était passé de belle chose, tout de même.

The Only Alpha - Theo RaekenOù les histoires vivent. Découvrez maintenant