Chapitre 41

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- J'ai fait partie de ces hommes, je ne l'a voulais que pour moi, mais ce fut Richard Grinn qui à conquit son cœur. Indiqua Carter.

- Quel rapport avec Brooke ?

- Attends, je vais y venir.

- Dépêche-toi.

- Ecoute misérable femme, je ne suis pas à ta merci. Répliqua Carter en haussant le ton.

Je fronçais les sourcils sauf qu'il ne s'adressait pas à moi.

- C'est ce que je lui avais dit, le jour où elle a disparu... Ajouta-t-il.

- Attends tu as sauté des chapitres là ?

- Oh désoler, donc je reprends, elle s'était marié avec lui, mais malheureusement elle n'était pas heureuse avec lui, elle venait chaque soir me voir, elle se confier à moi, je ne pouvais rien faire d'autre que d'être là pour elle, je l'aimais. Enfin, un soir, j'avais décidé d'aller la voir, je m'inquiétais pour elle, je rentrais par la fenêtre de son manoir et je l'aperçu devant un landau, elle parlait dans une langue que je ne connaissais pas à l'époque.

- C'était quoi ?

- Tu vas m'interrompre à chaque fois ? Demanda-t-il.

- Désoler, continue.

- C'était du Giza, une langue que seules les sorcières peuvent connaitre, enfin bref, j'étais là devant la porte à les fixait, je la vis brandir un couteau en disant « Meurt maudis » Je ne pouvais pas la laisser faire, j'avais ouvert la porte et me précipita sur elle, juste avant qu'elle ne tue je ne sais quoi, je l'avais plaquer au sol, la tenant fortement, son mari par terre, totalement mort, je l'a fixais et dit « Katherine, mais qu'est-ce que tu as fait » je l'a voyais qui se débattez, elle s'était arrêter pour me dire « Lâche-moi, je te l'ordonne ! » c'est à ce moment-là que je lui avais dit la phrase de tout à l'heure, je l'a frappais pour qu'elle s'évanouie, je m'étais lever pour voir ce qu'elle voulait tué, je vis un bébé, une jolie petite fille.

- Elle voulait tuer une petite fille ? 

- Pas une petite fille, c'était sa fille. Indiqua-t-il.

- Pourquoi ?

- Attends, j'y arrive. Alors dès que je vis ce bébé, je la pris et l'emmena chez moi, mon père n'était pas d'accord pour qu'on la garde, alors j'ai dû trouver une fille, la famille Rossiti. Un jour après, les villageois avaient découvert ce qu'elle avait fait à son mari, elle devait être pendue, j'étais aller la voir, elle se tenait debout, les mains attacher dans le dos, la corde au cou, elle me fixait et se mit à dire « Malheur à toi, Jonathan, tu es un démon, tu ne pourras plus vivre auprès des tient, ce que tu as fait, tu le payeras par la suite, il faut la tué, il le faut, maudit sois-tu. » c'est à ce moment-là qu'ils ont pendue.

- C'est pour ça que par la suite, tu es devenu un démon ? Demandai-je.

- Oui.

- Alors pourquoi faire le mal ?

- La seule chose qui peut me sauver est une sorcière dotée d'un pouvoir immense.

- Et tu penses le trouvé chez qui ?

- Ce sont mes affaires, je ne trahirais personne. Indiqua-t-il.

- Très bien. Mais tu ne m'as toujours pas dit la raison qu'elle a avec Brooke.

- Brooke est une descendante du bébé. Elle est donc maudite.

- C'est-à-dire ?

Black HouseOù les histoires vivent. Découvrez maintenant