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19 - Oh ... My God !

Final Part

A R I A

On a pris la voiture de Nicki direction le restaurant. Enfin je croyais qu'on allait au restaurant.

- Oh.. Drake a un problème, il faut qu'on passe chez lui. Me dit Nicki qui était au volant.

- Grouilles, déjà qu'on est en retard. Dis-je sans me soucier de rien.

[...]

- Putain Brey il abuse.

- Il a un problème de voiture. T'as les clefs ?

- Ouais.

Je sors les clefs de mon sac, les enfonce dans la serrure et ouvre la porte.

- Breeey, babe t'es où ?

Et la, les lumières s'allument.

- SUUUUUUURPRIIIIIIIIIIISE.

Tout le monde était la, ma mère, mon père, Brey, mes cousines, mes amis, Mikey, Harvey.

TOUT LE MONDE.

J'étais tellement choquée que j'arrivais pas à bouger, j'avais ma main sur ma bouche et je regardais tout le monde. J'étais sous le choque.

C'est ma mère qui est venu vers moi la première.

- Joyeux Anniversaire mon bébé.

Elle me prend dans ses bras. Puis mon père a suivi; il m'a carrément porté en me faisant pleins de bisous.

- Joyeux anniversaire ma puce..

C'était tellement trop d'émotion que j'en ai finis par pleurer en remerciant tout le monde. Mes cousins que j'avais pas vu depuis des années, des anciens collègue de NY, des anciens de la fac, Eliott, le concierge de mon hôtel à New-York, puis la team.

Je me suis avancé vers eux et je leurs ai fait un énorme câlin.

- Vous êtes les meilleurs, franchement c'est trop. Dis-je en essuyant mes larmes.

- C'est pas nous qu'il faut remercier, mais lui.. August me pointe Aubrey du doigt.

Brey était en train de parler avec ma mère, et ils regardaient tout les deux dans ma direction. Je me suis avancé vers eux, et j'ai fait un câlin à ma mère.

- T'étais de mèche toi aussi ?

- Haha bien sûr, je ne pouvais pas rater l'anniversaire de ma fille. Puis quand Aubrey m'a appelé, j'ai pas pu refuser..

Je me tourne vers Brey qui souriant.

- C'est toi qui a fait tout ça ?

- Ouais .. Mais August et les autres ont aidés.

- Tu gères .. T'es le meilleur. Merci Babe.

Je lui ai fait le meilleur des bisous, je m'en fichais qu'on nous voyais ou pas.

- C'est toi là meilleur, dit-il en me prenant dans ses bras.