Partie 64 : «Écorchée vive parce que j'comprends rien au bonheur.
Car à chaque fois qu'j'y ai goûté, j'ai toujours fini en
Pleurs»Des bruits agacent se font un peu plus loins de mon bâtiment. Toutes les commères se mettent par leurs fenêtres et regarde ainsi la scène, j'me lave le visage et regarde en cachette par la fenêtre bah oui l'ami les embrouilles sont intéressantes ici mais quand même, j'reste discrète. Je m'attendais pas avoir sa, jsuis pas sûre mais j'crois voir Sisco. J'met mes basket à l'arrache et descend. J'vois Sisco crier dans tout les sens, un daron sur les nerfs mais pas celui de Sisco, une meuf et un jeune homme surement son frère. J'comprend plus rien, j'vois aussi la daronne de Sisco pleurait sa m'fait mal de l'a voir comme sa il s'apprêtait à frapper l'mec mais je le retiens et sa mère lui dis tu va te marier avec elle. Elle porte ton enfant en parlant de la fim-bi qui pleurer. en la regardant de plus près j'ai pu voir que c'était celle qui était au barbecue la dernier fois j'ai compris très vite j'suis parti aussi vite que j'étais venu j'monte jusqu'au toit. Ah ce bon vieux toit j'espère que tu partira jamais. Il m'avait promis de prendre soin, de mon coeur, de ne pas le briser mais il vient de brisér le peu qui rester à le maintenir.Pff les promesses son faite pour ne pas être tenu quel conne j'ai était ! Vous vous rendez compte j'ai cru que un mec m'aimer. Ahh non j'aurais dû savoir qu'à MOI le bonheur ne viendrai jamais ,il me fuit akhy comme si j'étais atteinte d'une maladie grave. Une meuf comme moi ne trouvera pas le prince. J'entend la porte s'ouvrir j'me retourne et c'est Sisco j'essuies vite les larmes et me lève.
Moi : Part ta rien à faire ici tu devrais écouter ta mere et assumer l'enfant.
Sisco : Putain même toi tu l'a crois ! Eh j'suis pas l'père ouais j'avoue j'les fourrer mais elle c'est fait tourner par tout l'monde c'est impossible !
Moi : Comme tu l'a dis tu l'a fourré tu devrais voir la vérité en face et assumer les actes !
L'air triste il baisse la tête. De ses mots je m'apprêtais à partir mais il me tient par le bras et me dis :
Sisco : C'est Djalil.
Moi : Hein ?
Sisco : Mon vrai blaze c'est Djalil.Puis il part en me devansant. C'est donc sa son nom Djalil.
«Écorchée vive quand j'dis bonjour à l'amour
Et qu'on me dit "c'n'est pas votre tour, veuillez passer
Un autre jour»
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《 Petit cœur du ghetto 》
Ficção GeralLe petit cœur dans cette vie il a était solide malgré les coups bas qu'il a eu il a su les encaisser. Je vais vous raconter mon histoire et c'est loin d'être un conte de fée mon histoire c'est du vécu et de la misère mais c'est avec sa que j'ai su m...