Partie 67 : « L'amitié ne tient qu'à un fils celui d'un string »
Dalil : Ouais ta compris ou j'dois te le dire en reubeux.
Moi : J'te dit de t'expliquer et toi tu m'redis ton "ouais".
Dalil : Bah ouais y a rien à expliquer.
Moi : Non vazy exprime toi explique clairement les choses.
Dalil : Quoi tu veux que j'te dise quoi ?!Que j'ai annulé mon mariage pour ta geule parce que madame ne voulait pas être présente !
Moi : T'a besoin que j'sois là pour que tu t'mari.
Dalil : Tu comprends rien putain t'es comme ma reus c'est comme si que Sisco il venait pas autant foncé dans un murs... Vzy salem.
Il ne m'a même pas laisser lui répondre qu'il tape une accélération. Une journée trop mouvementé j'ai même pas eu l'temps de penser à ça que j'retourne au taff.
Responsable : Jsuis désolé mais il n'est pas possible que vous reprenez le travail.
Moi : Comment ça j'peut pas ?
Responsable : Après la scène qu'il vient de se produire il est inacceptable que nous vous reprenions.
J'prend sur moi et essaye de ne pas frapper ce bouffon qu'il m'vire comme une mal-propre.
Moi : C'était un malentendu ça ne se reproduira plus.
Responsable : Tout à fait puisque vous êtes viré je ne veux pas faire de scandal donc j'vous prie de sortir.
Putain... J'sors à l'arrache j'ai perdu mon taff juste à cause d'une folle dingue.J'rentre à la tess et monte au toit, j'allume un gros oinj pour essayer d'oublier ma journée, j'voulais offrir un voyage au bled à ma mère et puis me voilà de nouveau sans taff. Argh j'ai la haine j'redescend et marche un peu sans destination fixe j'pense à toute cette journée, jveux pas que Dalil gâche son mariage à cause de moi sous prétexte que j'viens pas j'veux pas être fautif de son malheur. J'marche encore un peu mais avant de rentré à la tess j'passe à celle des trios il m'avait bien manqué. J'vais au bât où en rester tout les 4 ils étaient là j'les tsheque tous un par un.
Bakir : Plus j'te vois et plus tu grossis.-rire-
Moi : La même pour toi.-rire-
Bakir : Non calme j'ai maigri un peu.
Vin'z : Se batard il est juste gros des fesses. -rire-
Bakir : C'est ta sœur qui a des grosse fesses.-rire-
Vin'z : J'ai pas d'soeur enfoiré !
Latif : Des cas eux les calcules même pas.-rire- Sinon sa va toi ?
Moi : J'ai perdu mon taff j'suis deg wallah.
Latif : Bah viens travailler à la salle de boxe.
Moi : Ils vont même m'accepter.
Vin'z : C'est sûre avec ton corps de lâche. -rire-
Bakir : Pousse pas aussi c'est toi l'corps de lâche ici.
Vin'z : Eh j'vais même pas parler avec vous vous êtes te des rageux un truc de ouf.
Bakir : Il a la haine. -rire-
Latif : Non en sah viens c'est moi j'vais les prévenir tu m'dois bien ça vu que t'es pas vnu à mon combat la dernière fois.
Moi : Ah ouais smeh j'avais zapper.
Latif : Au calme comme sa j'aurais un œil sur toi.
Moi : C'est moi plutôt j'vais voir si tu boxais.
Latif : Bah ouais bien sûre jsuis une légende quand même.
J'reste encore un peu avec eux et puis rentre à la casa.
VOUS LISEZ
《 Petit cœur du ghetto 》
Fiction généraleLe petit cœur dans cette vie il a était solide malgré les coups bas qu'il a eu il a su les encaisser. Je vais vous raconter mon histoire et c'est loin d'être un conte de fée mon histoire c'est du vécu et de la misère mais c'est avec sa que j'ai su m...