Chapitre XV: Thomas

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Chapitre 15

Point de vue Cassie.

Pauvre William qui est à côté de moi en train de serrer les dents. J'ai dû lui broyer tout les os de sa main. Je m'escuserai plus tard. Je suis trop obnubilé par la douleur que j'ai dans le ventre et dans mon vagin pour me préoccuper de lui.

Kilian. Bien sur que je me souviens de lui. A vrai dire, cette situation me rappelle quelque chose. Je  suis sur de l'avoir déjà vécu mais dans un autre endroit. Kilian, mon cher meilleur ami. Je m'escuserai aussi apres de lui pour ne pas l'avoir reconnu plus tôt. Et franchement, je remercie dieu qu'il soit là au bon moment.

En ce moment, je n'ai pas le temps de pensé à quoi que se soit. Trop pressé que ce gosse sorte de mon ventre et que je sois enfin soulagé de ne plus avoir tout ses symptômes de femme enceinte.

- Aller Cassie pousse encore une fois. On vois déjà une partie de sa tête.

Je pousse de toute mes forces. Un seul nom me vient en tête. Célia. Et je le cri haut et fort ce qui me fait avoir une vingtaine de yeux braqué sur moi. Des souvenir me vienne. Comment ai-je pu oublié cette enfant. Mon enfant. Ma fille. Je suis consciente que mes souvenir revienne petit à petit comme des lettres qui reviennent dans une boite au lettre petit a petit. Il suffit que je me souvienne de toute ma vie. Tout ce que j'ai pu construire jusqu'a present. Mais comment j'ai pu oublié Célia.

Quand je ne sens plus de douleur, je me sans comme soulagé. Je réalisé que le bébé est enfin là que quand Kilian me le depose sur le ventre.

Je réalise que je n'ai encore rien préparé pour sa venu et que je n'est aucun argent en poche pour lui acheté tous ce qu'il faut. À vrai dire, j'attendais le neuvième mois mais même au neuvième mois, j'aurais rien pu acheter. Il faut dire aussi que je dépends de Clara jusqu'a présent.

J'observe le petit bout de chou qui est a present sur ma poitrine. Je ne realise pas tous ce qu'il c'est passé depuis que je me suis retrouvé dans cette clinique. Je me suis souvent tapé la tête essayant de me souvenir d'un détail de ma vie. Mes larmes maintenant vienne tout seule. Je ne me souvient pas encore du père de mes deux chérubin. Mais maintenant que je me souviens de qui je suis, je sais que c'est William, même si je ne sais rien de lui.

Thomas. Son nom à ce bébé est Thomas. Je ne sais pas d'où m'est sortie ce prénom mais je l'adore. Thomas n'est pas brun mais blond, c'est bizarre pour un bébé de voir qu'il est blond, il aurait bien pu sortir brun en premier et au fil des ans blond. Ses petits yeux sont fermés du coup on ne peu pas encore constaté de quelle couleur ils sont.

Quelques heures sont écouler depuis sa naissance. Un hélicoptère est arrivé une heure apres. William c'est effondré à même le sol juste après que le petit soit sortie. Carla c'est même moqué de lui. Il c'est réveiller 20 minutes plus tard. Je pense qu'ils m'ont transféré dans l'hôpital de New-York. Je ne vois pas pourquoi la clinique du village etait très bien. Thomas est dans une couveuse maintenant. J'ai demandé aussi avec le peu de force qui me resté si Clara pouvait venir avec nous à New-York. Je ne vais nul par sans elle.

Là je me repose. Il faut dire que l'accouchement m'a exténuée. Je me rappelle de mon accouchement pour Célia. J'avais voulu que ce soit Kilian qui m'accouche et personne d'autre et même si il est que médecin chirurgien. C'est pour ça qu'il a su m'accoucher sans le moindre problème.

Depuis mon arriver, j'ai déjà eu deux visites, une femme et un homme de la cinquantaine. Ils etaient là bas, dans le Conecticut avec le reste, il y avait aussi une autre femme, brune. Quand elle m'a vu elle m'a serré dans les bras. Elle me connait aussi. D'ailleurs elle m'a même serrer dans les bras en disant "Dieu merci, tu es vivante". Oui, il me semble la connaitre son visage me disait quelque chose.

Un bruit de porte se fait au moment ou j'avais les yeux fermés. Je me retourne et aperçois Kilian en blouse blanche. Je le regarde en souriant.

- Je ne savais pas que j'allais etre le premier que tu allais reconnaître. Me dit-il.

- Parce que la situation me disait trop quelque chose. Je m'en suis souvenu comme si j'avais mal à la tête. Mais tu n'es pas le premier.

- Ah bon ? Et qui donc ?

- Donovan. Ce connard.

Il pouffe de rire avant de me dire.

- Même amnésique, ton language est formellement grossier. Ton accident ne t'a pas fait changé entièrement. C'est bon à savoir.

- Je me souviendrais de tout. J'en suis sur. Je me suis souvenue de Celia aussi. Comment ai-je pu l'oublier ?

- En tout cas Donovan ne t'as pas loupé.

- J'aurais sa peau. Et quand j'aurais retrouver l'intégralité de ma mémoire et que j'aurais trouvé assez de preuve contre lui et cette Gwen ainsi que ce Mathias, je les ferais enfermé.

- Je croirais entendre William. Vous êtes pas mari et femme pour rien.

Je le regarde sans rien dire. A vrai dire j'y ai pensé. Si William est si important pour moi, pourquoi je ne me suis pas souvenu en premier de lui. Comme si quelque chose bloqué. Il faut que je sache c'est quoi.

- Je sais à quoi tu penses. Ne t'en fait pas tu retrouvera l'intégralité de ta mémoire. C'est pour ça qu'avec William, on a décidé que t'iras voir un spécialiste dans l'après midi.

- Super. Je fais avec une fausse enthousiasme.  Et quand est-ce que je sors ? J'aime pas les hôpitaux.

- Je  sais. Tu dois resté une semaine. Pour voir si tout va bien. Tu sais que tu n'aurais pas du normalement accouché a voix normal mais par césarienne ? Je comprend pas comment toi es le bébé vous avez survécu. Vous êtes vraiment des miraculé. Déjà pour l'accident. Puis ensuite ça.

- Je sais.

- Bon repose toi, si tu as besoin de quoi que ce soit, tu as juste à appuyer sur le bouton rouge derrière toi.

J'acquiece et il s'en vas fermant soigneusement la porte derrière lui.

Maintenant je culpabilise. Il faut réellement que je présente mes escuses à William pour lui avoir broyer la main. Je ne sais pas si c'est tout a fait normal. Je sais que William et moi nous somme mariés. Et je ne sais même pas si mes sentiments à son égard sont les même qu'avant. Mais oui, je le reconnais. J'aime William. Depuis que je l'ai vu quand je suis venu à New-York. Bien plus fort de ce que je pensais. Et j'espère que c'est toujours pareil de son côté.

Ma femme ne se souvient plus de moi. (Tome II)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant