Chapitre XXXV: La confrontation

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Chapitre 35

Point de vue Cassie

J'ai sentie la colère de Voldemort à dix mille kilomètres. Voldemort alias William. Je l'ai vue s'énerver contre moi quand j'ai proposé une confrontation avec les trois énergumènes. Je sais que c'est très dangereux, enfin surtout pour eux. Mais je sais contrôler ma colère depuis quand j'avais mon AVC. Franchement, il doit le savoir ça. Je ne suis pas stupide et surtout dans un commissariat. Je ne vais pas commettre de meurtre.

Je suis aller faire un tour a Stevens compagnie après avoir reçu les instructions de mon chair mari. A vrai dire, c'est la première fois que je gère son entreprise et il faut que je m'habitue au fonctionnement, car si un jour il est encore cloué au lit avec de la fièvre ou autre, je serais contraint de gérer l'entrprise. Après tout, tout comme Édouard Compagnie, elle m'appartient tout autant que Édouard Compagnie appartient à William. Même si quand il est sur pied, je ne m'occupe pas des affaires de l'entreprise mais simplement de la mienne et vice versa. Et pour la première fois, je suis en vidéo conférence avec William qui est à la maison. Il m'explique un peu le dernier travail qu'il était en train de faire. C'est-à-dire choisir le mannequins qui pourrons être sur le prochain magazine qui présentera le projet "Souvenir". Ça me fait bizarre de me dire que je suis en train de travailler dans l'entreprise d'un autre pour ma propre entreprise.

Le lendemain, je me rend au commissariat pour cette affrontation. Le policier arrive vers moi et me conduit vers la salle d'interrogatoire ou les trois zigoto y sont. Je pense qu'ils ne savaient pas que c'était moi qui les avaient convoqués. Je fais un sourire machiavélique et m'assieds en face d'eux. Je les regarde un par un presque morte de rire.

- Dit moi Gwen, ça fait quoi de ne pas pouvoir se maquiller ? Je demande sans même un bonjour au trois qui me font un regard noir auquel je reste indifférente.

Elle ne me répond pas et c'est Donovan qui répond a sa place. Ils sont encore bien amoché de se que je leur ai fait.

- Tu es venue pour nous narguer ? Demande-t-il.

- Ouais. Je dis simplement toujours avec mon sourire qui fait peur.

- Tu peux repartire et continuer ta petite vie tranquille. Dit-il se levant près à partir.

- Oh mais ne t'en fait pas. Pendant que vous trois aller pourrir des années en prison, moi je vais me la couler douce. Pour l'instant tu repose ton cul sur cette chaise, j'ai plein de chose a vous dire. J'ai bien le droit à ça après que vous m'avez torturer pendant un an, non.

Ils me regardent tout les trois incrédule et choqué aux mots cru que je leur envoie dans la figure.

- Franchement, ça vous à servie à quoi à me faire du mal ? Surtout pour perdre à la fii. Je leur demande.

Aucun ne me réponds.

- Tu sais au moins pourquoi on a fait ça ? Demande Gwen a deux doigts de pleurer.

- Au oui, je sais. Je lui dit. Toi tu as fait ça en croyant pouvoir récupérer William et parce que je t'ai gâché la chance de te marié avec lui. Mais même sans moi autour de lui, il aurait trouvé un autre moyen de gâché les fiançailles. Et pourquoi ? Parce qu'il ne t'a jamais aimé et ne t'aimera jamais. Vu que celle qu'il a promis d'aimer jusqu'a la fin de sa vie quand il était petit c'est moi et rien que moi. Et si ce n'est pas lui qui aurait gâché les fiançailles c'est moi. D'après toi, pourquoi je suis revenue ? Pour lui, ça faisait déjà un an avant mon retour que je me suis mise à me dire que je le récupérait coûte que coûte. William n'a jamais appartenue ni à toi, ni a Émilie ou au autre greluche qu'il a pu fréquenter pendant mon absence. Mais a moi. Donc franchement, ça a servie à rien vos petite manigances. William et moi, c'est le destin. Même avec ma perte de mémoire, il a réussi a me retrouvé, a savoir que j'étais encore vivante.

Aucune réponse de leur part étant donné qu'ils savent que j'ai raison et que leur coup, n'a pas marché. Je reprend ma respiration et continue mon monologue.

- Mathias, toi tu n'as pas supporté notre rupture et tu ne le supporte pas. Tu m'as lâchement abandonné quand j'étais en train d'agoniser. Tout le monde a essayé de t'appeler ce jour là, mais tu avais disparu de la surface de la terre. Alors je ne comprends pas ton résonnement vis à vis de moi, étant donné que tu c'est toi le fautif. Et toi... La pire crapule que je connaisse Donovan, tu m'as largué sous les directifs de ta petite soeur en ayant le même monologue que William au lycée. Mon surpoids. Et maintenant que vous avez vu tous les deux que j'ai changé, que je ne suis plus la même Cassie en surpoid vous vous êtes tous les trois allier pour pourrir ma famille et gâché ma vie alors que vous êtes en faute depuis le début. Franchement, ça n'a aucun sens.

Wahou, j'ai jamais autant parler de ma vie.

- Donc. Je continue mon monologue. A mon tour de jouer. Je suis venue vous dire. Étant donné que vous avez pourri ma vie et celle de ma famille pendant tout se temps, c'est à mon tour de jouer. De un, vous allez tous les trois pourrir dans une prison rempli de psychopathe qui bons vous pourrir votre existence pendant un certain temps. Pendant ce temps là, moi dehors, je vais pourrir vos famille. Ils vont tous faire faillite sauf Émilie car grâce à elle, j'ai pu vous mettre ici. Quand vous sortirez tous les trois, vous n'aurez plus rien. Même plus un toit pour vous couvrir de la plus et pas un seul boulot pour subvenir à vos besoin. Vous residerez clochard vous et vos familles jusqu'a la fin de vos vie. Et quand vous sortirez de prison, je m'assurer que vous ne vous approchez plus ni de ma famille, ni de mes amis, ni de nos maison et encore moins de mes entreprises. Parole de Cassandra Stevens.

Je termine mon monologue et je tape a la porte pour qu'on vient m'ouvrir. Gwen a les yeux qui sort des orbites et se lève d'un seul coup.

- Tu n'as pas intérêt de faire ça Cassie ! Tu n'as pas intérêt de toucher à ma famille.

- Sinon quoi ?

- Sinon...je...je...je...

- Tu...Tu...Tu... Vas me tuer ? Si tu veux retourner encore en prison juste après ça, tu n'as qu'a le dire chérie, je demanderait au juge de rallonger ta peine.

Je sors de cette confrontation le sourire au levre. Et ce que j'ai dit, je vais réellement le faire.

Ma femme ne se souvient plus de moi. (Tome II)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant