Ma femme ne se souvient plus de moi. (Tome II)

Chapitre XXX : La rançon.

Chapitre 30

Point de vue William

- 9 milliards de dollars. Dit la voix de la dernière fois. Je vous enverrai l'adresse quand vous serez en chemin.

Pourquoi me le donne-t-il pas tout de suite celui-là, comme si il savait qu'il était à l'écoute. Les flics n'ont pas pu localiser l'appel étant donné que celui-ci a raccrocher directement.

9 milliards de dollars. Il faut que je debloque 9 milliards. En espérant que le banquier voudras bien nous les débloqué.

- On donne tous un peu. Je peux déjà débloqué quelques millions. Dit Kilian.

- Oui, c'est vrai, on donne tous un peu. Je peut aussi débloqué.

Du coup, il y a tous le monde qui s'y est mit. Ils sont tous aller à leur banque et en moins de six heures nous avons les 9 milliards.

C'est vrai qu'après tout, ils ne sont plus nos amis mais font partie de la famille. Et franchement, je le réalise que maintenant. Avec tous ce qu'ils ont fait pour nous jusqu'à présent. Nous n'avons aucun secret et tous le monde connais la vie privée de autre. C'est pour ça qu'aujourd'hui, je les aime comme ma propre famille.

Comme aujourd'hui, ils sont là pour nous. Ils s'inquiètent pour Célia autant que nous. Cassie et moi, on ne sait pas ce qu'on ferait si ils n'étaient pas là. Pour le plus grand nombre, on se connait depuis l'enfance, pour Barbara et Carla eux s'est récent. Je ne sais réellement pas jusqu'à où notre amitié irait. Même nos parents à Cassie et à moi, les considèrent comme si ils sont leur propre enfants.

Émilie, elle, malgré tous ce qu'il s'est passé entre elle et Cassie et revenue comme une feuille et la soutient a 200% même si elle ne connait pas assez Célia. Elle s'est excusé mille fois et elle attend que Cassie retrouve la mémoire pour pouvoir s'excuser encore une fois.

- J'ai pas envie que tu y ailles tout seul William. Je ne le sens pas. Ça sens le coup monté à plein nez.

- Elle a raison William. N'y va pas tout seul. Emmene l'un des garçons avec toi. Me dit à son tour Émilie.

Comme si elles savaient toutes les deux qui était derrière tout ça. Je pense qu'elle ne sont pas toutes seule à avoir deviné qui était derrière ça. Je sais aussi que tout ça a commencé depuis notre mariage. Car certaine personne ne veut pas que Cassie et moi vive heureux. Quand Cassie retrouvera entieremment la memoire, il y a beaucoup de chose qui vont être éclairci, comme le fait qu'elle est partie du jour au lendemain ou encore qu'elle a fait exprès de provoquer notre dispute avant sa disparition. Il faudrait qu'on mette tout ça a plat une bonne fois pour toute.

- Je sais. Mais on ne sais jamais ce qui peut arrivé a Célia si ils savent que je ne suis pas seul.

- Il a raison Cassie. Dit Mike. Te connaissant, si tu allais avec lui, je pense que tu aurais tout fait foirer et tu les aurais tuer sans leur laisser le temps de respirer.

- Oui, c'est vrai. Dit Billie a son tour. Laisse William réglé ça, il est plus calme que toi.

C'est mal me connaitre. J'essaye de rester calme face à la situation. Un petit pas de travers et a dieu Célia. C'est trop délicat pour me mettre dans l'embarras. Cassie n'a jamais eux de self contrôle quand ils s'agissaient de se qui lui appartenait. Surtout maintenant, elle n'est pas stable du tout.

- Si je ne suis pas là dans les trois heures, localisé mon portable. Je leur dit en mettant ma veste et en prenant le portable de Cassie étant donné que c'est dessus qu'ils envoient les instructions.

J'embrasse Cassie qui ne veux pas que je parte et qui me tient la main fortement. Moi non plus je ne veux pas la quitté, on ne sait jamais ce qu'il peut m'arriver, mais on le fait pour Célia, pour notre fille.

Je suis maintenant sur la route pour aller à l'endroit qu'on m'a toujours pas donné, je tourne en rond en attendant les instructions du ravisseur. Mon téléphone vibre et je reçois un message en numéro privé avec les instructions de l'endroit ou je dois déposé l'argent. Franchement, c'est des débutants, quand on veut kidnappé quelqu'un on ne donne pas son numéro. Je reconnais alors l'adresse de l'ancienne appartement de Cassie. Je sens le coup monté me fouetter le nez. J'envoie le numéro que j'ai reçu à Cassie espérant qu'ils arrivent à localisé.

J'arrive à destination et au moment ou je commence à marché à l'intérieur. Je reçois un nouveau message me disant de jeter mon téléphone dans une poubelle. Je fais comment pour les localisés maintenant ? Comme si ils lisaient dans mes pensés. J'espère simplemeny qu'il ne sera pas cassé, au moins ils arriveront à localisé le lieu exact.

Je fais ce qu'ils me disent et je commence à monter les marches des escaliers jusqu'à l'appartement. Ça fait bizarre de revenir ici. La dernière fois que je suis venu, Cassie était dans les escaliers la tête en sang. Qu'elle mauvais souvenir.

La porte et grande ouverte. Je commence à y aller. Mon cerveau me dit de ne pas rentrer à l'intérieur mais mes pas font le contraire. La porte se referme d'un seul coup comme si il y avait un fantôme. Je sursaute et je vois deux silhouette cagoulé juste en face de moi. Je tourne ma tête et en aperçois un autre derrière moi. Je présume que c'est lui qui à fermer la porte.

- Comme c'est mignon, c'est le mari qui est venu.

Je reconnais cette voix. Je l'ai déjà entendu quelques part. Je ne fais pas trop attention et dépose le valise pleine d'argent devant eux.

- Ou est ma fille ? Je leur demande froidement et d'un regard noir.

Aucun d'eux ne me répond. Je pense qu'il se foute tout les trois de ma gueule depuis le début.

- Relax William. Ne t'en fait pas la petite pitchoune va bien. A part qu'elle réclame sa maman. Me dit la deuxième personne que je reconnais la voix aussitôt en étant celle de Gwen.

Je me pince l'arrete du nez en pouffant de rire. Maintenant j'ai compris qui ils étaient et mes soupçons étaient bien fondé.

- Vous aurez quand même pu utilisé un transformateur de voix les gars, c'est facile de vous reconnaitre.

Au moment ou je me retourne pour voir la troisième personne. Je me reçois un coup de barre en fer dans la tête. Je m'ecroule au sol sonné par le coup. J'essaye de me relever, je reçois cette fois-ci un coup de barre dans le ventre, puis un autre dans les reins, jusqu'à que je m'evanouisse réellement. A ce moment là, je vois réellement ma vie défilé.