Chapitre 31
Point de vue Cassie ( Première partie)
Quand William est partie, j'ai eu peur qu'il lui arrive quelque chose. Je ne sais pas a quel fou furieux nous avons a faire. Qui me dit que ce n'est pas les même de mon accident et qu'ils attendent qu'une chose, finir le travail. Surtout que si William y est aller la prochaine c'est moi.
Ça fait une heure qu'il est partie et je me ronge les sangs depuis son départ. Je n'ai pas confiance, je suis à deux doigts d'essayer de l'appeler sur mon portable qu'il a pris avec lui. Je ne veux en aucun cas qu'il lui arrive quelque chose.
- Cassie calme toi, tout va bien se passer. Me dit Émilie qui me frotte le dos.
- Non, je ne le sens pas. C'est réellement bizarre qu'il n'a pas encore appeler.
- Il a dit trois heures, attend encore. Si il n'est pas revenue d'ici là, on essayera de l'appeler. Dit Kilian qui, si il croit que je ne l'ai pas vue faire une tête bizarre car il sait que j'ai raison, peut se mettre le doigt dans l'oeil.
- Je peux pas rester sur place, allons le chercher tout de suite. Je dis en me levant tout d'un coup.
- Mais Cassie...
- TOUT DE SUITE !!! Je cris cette fois-ci comme une hystérique.
Cette situation me rend folle, j'ai besoin de savoir si il va bien, si il a pu voir Célia.
- On ne sait pas ou c'est en plus de ça. Me dit Johanna cette fois-ci.
- Si vous voulez pas aller le chercher j'irais toute seule.
- Non Cassie! C'est dangereux.
- Je m'en fou. Je ne peux pas resté ici sans rien faire.
- Nous allons par un premier temps essayer d'appeler monsieur Stevens. Nous dit le policier.
Apparemment, il n'a pas le choix, sinon je serais la première à lui péter la gueule. Force de l'ordre où pas.
Je prend le téléphone fixe est essaye de joindre mon propre portable. Il sonne une fois, aucune réponse. Déjà rien qu'il n'y a pas de réponse, je panique. J'essaye de l'appeler encore et encore. Toujours aucune réponse. Là, je panique. Je n'aime réellement pas ça et si il lui était réellement arrivé quelque chose.
- Il a peut-être laisser en silencieux. Dans se genre de cas, c'est normal. Essayons de le localisé.
Il prend son ordinateur et me demande d'entrée le numéro de téléphone. Il nous reste plus qu'a attendre que son foutu appareil nous donne le lieu d'où il peut être. Mais aucune réponse n'est donné. Soit le téléphone est éteint, soit il est cassé. À ce stade, je risque de faire une crise de panique. Je met ma tête dans mes mains et essaye de garder mon calme. Mission impossible.
- Hum... Cassie, je sais que tu as perdu la mémoire. Mais es ce que tu te souviens du lieu exact d'où tu t'es fait kidnappé la première fois ? Me demande Kilian.
Je souffle un bon coup et essaye de me souvenir du lieu. Je pense qu'il a compris qui était derrière tout ça. Et il n'est pas tous seul. Tout le monde le sait. Il n'y a que eux pour m'en vouloir autant. D'ailleurs je ne sais pas pourquoi.
- Non. Je me souviens que de l'intérieur.
- Ferme les yeux et essaye de voir à quoi ressemble l'intérieur.
Je m'execute. Franchement je ne suis tellement pas calme du tout, que j'ai du mal a visualiser et a réfléchir convenablement.
- Hum. Les murs était orange, le séjour était ouvert sur la cuisine d'où on apercevait un plan de travail vert...
- Attend ça me dit quelques chose. Dit tout à coup Kilian. Ce ne serait pas ton ancien appartement ?
- Exactement. Dit Émilie de retour dans le salon. Elle était aller se chercher un verre d'eau.
J'ouvre les yeux et me lève d'un bon. Je vais y aller voir sa de plus près je dis.
- Mais avec ta perte de mémoire tu ne sais pas ou c'est.
- Vous n'avez qu'a me donner l'adresse. Le GPS fera le travail.
Ils savent que si il y a un mot de plus pour me contredire je serais en mesure de péter un câble. Du coup, Kilian se charge de marquer l'adresse sur un bout de papier que je m'empresse de prendre sans demander mon reste.
Je met ma veste et vais dans la cuisine pour prendre un objet qui pourrait peut être me servir à me défendre en cas de besoin. Je trouve alors un canif. Bon t'en pis. Sa feras l'affaire en plus c'est discret. Je le met dans mon dos et commence à partir sans l'approbation de la police qui fait rien depuis tout à l'heure.
- Si je ne suis pas de retour dans les deux heures qui suis. Emmenez une patrouille devant les lieux maintenant que vous connaissez l'adresse.
Puis je pars. J'ai même pas pu faire un bisou à Thomas qui dormais encore. En tous cas, j'ai une énorme penser à mon petit prince.
J'arrive dix minutes plus tard devant les lieux. Exactement, ce lieu me dit vaguement quelque chose. Kilian a dit que c'était là ou je vivais avant. Je sors de la voiture et monte les escaliers quatre à quatre. C'est au deuxième étage. Entre le premier et le deuxième étage il y a des gouttelettes de sang sécher. Je ne sais pas qui à les règles qui coule abondamment comme sa. C'est inadmissible.
J'arrive devant la porte. J'entends des voix à l'intérieur et reconnais la voix de ce cher Donovan. Ils ne sont pas discret. J'essaye d'ouvrire la porte discrètement et sans faire aucun bruit. Elle est fermé à clé. C'est bon, je suis énervé. Je donne un bon coup de pied dedant et comme par miracle, la porte s'écroule faisant sursauter les trois énergumènes. Oui parce qu'ils sont trois.
- Tient, il manquait plus que la troisième personne de la petite famille. Fait la fille qui je pense et la soit disant Gwen.
- Toi ferme là. Je dis froidement en la fusillant du regard. Ou est ma fille et mon mari ?
Ils me regardent tout les trois avec un sourire idiot sur le visage. Je m'approche d'eux tel une folle furieuse. Et je commence a donné un premier coup de point à la fille. Elle était dans mon champ de vision, j'ai pas pu m'empêcher de la tabasser en premier.
- Je ne vais pas me répéter ! Ou est ma fille et mon mari ?
Je lui donne un deuxième coup de point. Puis un troisième et encore, je lui inflige coup de point et coup de pied a plusieurs reprise jusqu'à qu'elle perde réellement connaissance. Aucun d'entre eux ne me répond.
D'un seul coup, je me reçois un coup derrière la tête. Un coup fatal. Je vois alors tout les flashback de ma jeunesse à maintenant. Tout dans les moindres détail. Je me souviens enfin de tout, ma mémoire et revenue. J'entends à peine l'un des hommes dire.
- Désolé mais tu es bruyante.
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Ma femme ne se souvient plus de moi. (Tome II)
Roman d'amourS'être réveillé d'un coma d'un mois sans savoir qui on est, c'est très dure. S'être réveillé d'un coma d'un mois en étant enceinte et ne pas savoir qui est le père de cet enfant est une vraie torture. Cassie à complètement perdu la mémoire et son ob...